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  • Sale réputation sous-entendue - Bibbo

    Mar 2 Avr 2013 - 19:47
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    Invité
    Anonymous
    Invité
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    Le luxe. Voila bien un secteur qui ne souffre pas des nombreuses crises planétaires, qu'elle soit financière ou directement liée à un autre secteur. Rien ne touche ce genre de choses. Les personnes riches ne voient aucune différence sur leur compte en banque. Un million en plus ou en moins, ils ne sont plus à ça prêt. J'en connais quelque chose. Mes parents font partie de ses personnes. Quant à moi, je fais attention à tout l'argent qui passe sur mon compte en banque. Je tente de l'utiliser à bon escient, aidant ceux dans le besoin. Mais voila, parfois, il faut savoir se faire du bien. J'ai donc décidé de me rendre au Spa de Los Angeles. Un endroit chic. Je pense pouvoir utiliser un peu de l'argent que mes parents me donnent pour moi. Oui. je l'ai mérité. Entre les disputes avec Victoire, mon affiliation au Phi Epsilon et bien d'autres choses qui sont souvent liées aux aides humanitaires ou dans ce genre là, je prends un peu de temps pour moi ! N'oublions également pas que j'ai mes cours. Et je bosse dur. Parfois, il faut savoir se détendre. Me voila donc arrivé devant. J'entre, je dis ce que je souhaite et je paye dès ma demande terminée. Oui. Ils doivent surement faire attention aux arnaqueurs. Payé d'avance, c'est avoir la confirmation que l'on a les moyens de faire ce genre d'écart. Je commence tout d'abord par un massage. Je me retrouve seul dans une cabine. La jeune femme qui m'a amené ici m'a clairement demandé de me déshabiller. je peux, malgré tout, garder mes sous-vêtements. Chouette. Je fais donc cela et je sors par une autre porte que celle empruntée pour me retrouver ici. La table de massage. Je m'allonge, ventre contre celle matière étrange. Et voila. Ca fait vraiment du bien ! Le massage a une durée d'une heure. je m'endors presque, sentant ces mains féminines me passer sur le corps et me détendre. Chaque carré de peau est touché, massé. Seul mon sous-vêtement ne bouge pas et délimite ce qu'elle peut toucher ou non. Je suis relaxé. Ca fait vraiment du bien. Elle arrête mais me je reste là, durant encore une bonne heure et personne ne vient me déranger. Je continue de me relaxer. Je me lève enfin. Une jeune femme vient me voir. Un sauna. Bien entendu. Elle me donne une serviette et me dis que si je le souhaite, je peux me déshabiller complètement. très bien. Je termine dans une petite cabine, je mets mon boxer dans un petit bac étrange et j'enroule ma serviette autour de ma fine taille. J'entre dans l'endroit chaud, bouillant même. Ca fait vraiment du bien. Je m'installe et je profite du moment. Je suis seul pour le moment. Chouette alors ! Je défais un peu ma serviette tout en faisant attention de garder le principal caché aux yeux du monde. Oui, je suis seul, autant être à l'aise mais presque pudique. « Que du bonheur ! » Murmurai-je à moi-même tout en fermant les yeux.

    Re: Sale réputation sous-entendue - Bibbo

    Sam 13 Avr 2013 - 18:19
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    Yannick B. Hobbs
    Yannick B. Hobbs
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    Messages : 874
    Date d'inscription : 08/02/2013
    Identité HRP : F.
    Gameplay : Variable. Je/il/lui.
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Sean O'Pry.
    Nationalité/origines : Américano-Suisse.
    Avertissements contenu : Mort/décès (Tsunami), drogues, alcool, divorce, bataille pour la garde parentale, infidélité, relation toxique, grossesse.
    Orientation & situation : Marié avec October S. Tyler, qu'il trompe à droite et à gauche (et même au milieu), notamment avec Bailey G. Prescott.
    Métier/occupation : (Toujours) assistant au rédacteur en chef du L.A. Times (Reed Gallagher)
    Études & fraternité/sororité : Diplômes: Bachelor en journalisme (majeure), bachelor en histoire (mineure). Ancien Delta Thêta.
    Résidence : Cohabitation avec sa femme, October.
    Je me demandais bien, encore, ce que je faisais dans un Spa ; ce n'était pas que les services proposés là bas ne me déplaisaient pas, bien au contraire. Simplement, je n'avais jamais réellement éprouvé de besoin de me faire "refaire une beauté" par tout un amas de masseuses et de conseillers de beauté. J'avais toujours été au naturel, mes cheveux ondulant telles des vagues sur mon front, coupés uniquement lorsqu'ils obstruaient ma vue. Je faisais partie de ces hommes capables de dégager une allure de force, de vitalité et de beauté en étant, simplement, au naturel. Si mon style vestimentaire était irréprochable, il n'était pas non plus ostentatoire. Moi aussi, j'aimais porter de simples jeans et des tee-shirts couleur unie. Moi aussi, j'aimais me balader en baskets. Quant aux massages ? Je n'en avais pas réellement besoin. Malgré tous les entraînements intensifs que je faisais pour l'équipe de football, une bonne douche et une nuit dans le lit de Brynn me suffisaient largement pour me remettre en pleine forme le lendemain arrivé.

    Et pourtant, me voici. Je venais de me faire masser pendant une heure par un homme plutôt trapu, aux mains fermes et aux bras vigoureux. Malgré la douleur qui s'était répandue dans l'intégralité de mes muscles dû à l'intensité avec laquelle ses doigts s'étaient plus à 'caresser' ma peau, j'avais réussi à me lever, une fois la 'séance' terminée, un léger sentiment de soulagement s'étant, cependant, épris de moi. Car si je n'avais pas l'impression d'avoir besoin de massages de façon régulière, je devais bien admettre que lorsque je rassemblais le courage de me rendre dans un lieu où un tel service était proposé, je me rendais alors compte du point auquel mon corps était tendu. Je m'apprêtais, alors, à partir, lorsque je remarquai le sauna situé non loin de la sortie de la salle de massage ; c'est alors que je me mis à réfléchir. J'avais, après tout, payé, au préalable, pour les services dont j'allais bénéficier ... Non ? Ne serait-il donc pas idiot de ne pas en profiter au maximum ? Certes, l'argent était une commodité plus qu'autre chose, dans ma famille, néanmoins, l'on m'avait toujours appris à le dépenser ... Soigneusement. Ni une, ni deux, j'entrais dans le bâtiment de bois, une serviette blanche enroulée autour de ma taille nue, m'apprêtant à savourer la solitude d'un bain de chaleur, en toute tranquillité. C'est alors que je me rendis compte, à mon plus grand regret, que le sauna n'était pas vide, contre toute attente. Pourtant, l'heure qu'il était ne figurait pas parmi celles qui étaient considérées comme étant celles "de pointe" ... Si ?

    Le saluant poliment d'un geste de la main, je m'assis, pourtant, à une certaine distance de l'inconnu, espérant ainsi pouvoir oublier sa présence ... Mais il était bel et bien là. J'espérais qu'il n'était pas du genre bavard ; j'avais horreur de ce genre de personnes. Quoi que ... Tant qu'il se contentait de me parler sans me poser trop de questions, ça irait. Je me contenterais alors de faire semblant de l'écouter. On verra bien.
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