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    Madelyn&Jude - On ne peu se délivrer des pêchés que l'on a commis.

    Jeu 25 Avr 2013 - 12:30
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    On ne peu se délivrer des pêchés que l'on a commis.
    • Et je roulais, je roulais souvent pour ne pas vous mentir. J’aimais bien conduire sans savoir ou j’allais, juste prendre le volant, appuyer sur l’accélérateur et me laisser guider par les marquages aux sols. C’était le moyen que j’avais trouvé pour faire le vide, tout oublié, repartir de zéro dans ma petite tête de blond. J’avais beau ne pas savoir ou j’allais, j’en avais rien à faire, tout ce qui importait pour moi était de voir la nuit tomber, allumer mes feux, conduire sans m’arrêter, ne pas faire de pause si ce n’est pour fumer rapidement une cigarette, mais c’est tout, je m’évadais de cette façon, j’avais pas besoin de drogue, d’alcool ou autre, juste voir des paysages défiler sous les yeux sans savoir où je suis, et puis, quand tout va mieux, j’essaye de retrouver mon chemin, revenir à la réalité pour que tout aille mieux. Que tout soit plus beau, plus… Fun. Face à vous, assis sur une chaise, dans un canapé ou bien face à une caméra comme s’il lisait un texte pour un film, c’est ce qu’aurait pu vous sortir notre ami Lewis si vous lui auriez demandé quel est son moyen d’évasion. Il connaissait les routes par cœur, les raccourcis, les rallongements, les endroits où la police passent, ceux où ils ne passent pas, il connaissait cette ville comme sa poche, et, depuis qu’il avait le permis, il aimait se laisser guider par le vent et ces envies. Tout le monde à un moyen d’évasion, une façon d’abandonner son quotidien, de faire le vide. Certaines personnes cartonneront les paquets de cigarettes, d’autres dégommeront des bouteilles d’alcool tandis que les plus faibles se mettront dans la drogue. Ça marchera au début, mais, il leur en faudra plus, toujours plus, jusqu’au point de non-retour. Ces personnes-là n’en prendront pas que pour faire le vide, c’était au début ça, plus maintenant ! Désormais, c’est quotidien, tous le temps, dès que l’occasion se présente, ça part, une petite dose, histoire de se sentir bien, mais, la question est là… Vas-tu vraiment te sentir si bien que ça ? Peut-être sur le coup, je suis d’accord, mais, après ? Est-ce que tu auras oublié à faire le vide ou alors, est-ce que le vide sera fait grâce à la drogue qui t’aura grillé tes neurones et qui te fera oublier tout, même ton nom ? Bonne question ça, car, au final, vous allez faire le vide, j’suis d’accord, mais, est-ce que c’est vraiment ce vide intersidéral que vous recherchiez ou bien un autre vide ? Celui qui te fait du bien et qui te pousse à aller de l’avant, à faire de ton mieux, à te montrer plus fort qu’avant ? Pour l’étudiant, c’est le volant, rien de plus. C’était loin d’être un pilote de course, il n’était même pas très professionnel au volant, je vous l’assure, s’il y avait une couille sur la route, un clou ou autre, c’était pour lui, il fallait tout le temps qu’il se tape des couilles. Mais bon, c’était la vie, il savait conduire, il avait eu son permis tout de même ! Bref, passons. J’étais là, assis dans ce bar avec mon verre d’alcool à attendre que le temps passe. Je n’avais rien à faire, je ne voulais rien faire. Tout ce qui m’importait était de boire ce verre pour ensuite me casser, rentrer chez moi ou je m’enfermerais dans la salle de bain pour fumer, histoire que ma sœur ne me voie pas le faire, même si je sais très bien qu’elle n’est pas conne et qu’elle connait l’odeur, mais, je me dis que si elle ne me voit pas le faire, je garde ce petit moment juste pour moi… •
    made by ℬlue ℐⅴy

    Re: Madelyn&Jude - On ne peu se délivrer des pêchés que l'on a commis.

    Jeu 25 Avr 2013 - 19:47
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    all they wanted ... was the world.
    avril, los angeles ; westwood + 21 ans + madelyn willock ft. jude salvatore. ses doigts ne cesse de taper sur les touches du clavier, écrivant tout ce qui lui passe par la tête, sans vraiment réfléchir, sans se relire. elle couche ses sentiments sur ordinateur plus facilement que lorsqu'elle en parle de vive voix. elle pense à tout et à rien. son regard bleu, profond et envoûtant se relève, se posant sur ce que sa vue peut lui offrir sur la vie. il est posé sur la 5th avenue de westwood, rue de la ville dans laquelle elle s'est perdue volontairement pour profiter de cette magnifique journée, plutôt que d'être enfermée dans une salle à écouter les lamentations de son professeur qui vient de se faire tromper par son mari avec sa secrétaire. bam, cinq nouvelles lignes en plus à ses six pages word de pensées intimes. elle capte tout, ce couple de sexagénaire qui ont l'air plus amoureux que jamais, ces enfants qui jouent aux ballons tandis que les mères prennent un cafés, telles des vraies desperates housewifes, ce soleil qui réchauffe l'ensemble du paysage. un sourire amusé s'étend sur ses lèvres maquillés de rose pales. elle continue de taper, ses doigts violant les lettres du clavier de son macbook posé sur ses jambes dénudés. il chauffe, comme elle en plein soleil. elle devrait s'arrêter, non elle doit s'arrêter. mais elle sait que si elle s'arrête de taper, son cerveau éclatera tôt ou tard avec tout ce qu'elle enregistre. elle se redresse finalement et ses doigts s'arrêtent, posés sur les lettres l, i, f, e. Life. Alors quelle continue sa contemplation, elle sent quelque chose vibrer dans la poche de son short. Elle roule des yeux, fatiguée d'être interrompue à chaque fois qu'elle est tranquille, hors du temps, seule dans son mode. Elle ne regarde pas qui c'est, peut-être aurait-elle dû. « allô ? » elle regarde son écran, ses doigts se décolle du clavier et un de ses doigts s'amuse sur la partie tactile, elle pointe la souris sur enregistrer, elle fait disparaître le document de l'écran et elle éteint son ordinateur. elle regrette d'avoir répondu, un de ses frères vient aux nouvelles. enfin, plutôt pour demander de l'aide. Tandis que Madelyn range son ordinateur dans son sac, elle écoute sans vraiment comprendre ce qu'il veut dire. « attend quoi ? il s'est mit quoi ? » elle regarde devant elle. elle coince son portable entre sa joue et son épaule pour avoir les mains libres. « t'es entrain de me dire que le couillon qui nous sert de frère s'est amusé à se mettre des tampons dans le nez et il y en a un qui est resté coincé ? évidemment, il ne l'a pas mit dans le bon sens, vous avez tiré sur la ficelle ? » alors qu'elle parle de ça ouvertement aux téléphones, un groupe de filles pas très loin d'elle la regardent bizarrement. Madelyn le remarque. « attend deux minutes. » elle prend son téléphone à la main et s'adresse aux filles. « vous voulez ma photo ou vous voulez participer à la conversation ? » mais elles se retournent, comme choquées qu'elle leur ai adressé la parole. « et papa et maman sont au courant ? .. non, bien sur que non. mais qu'il est con cet enfant, ba vous allez aux urgences, tu veux que je te dises quoi ! t'es à new-yorke et moi à l.a ... Quoi ? non mais je vais pas prendre l'avion rien que pour ça, vous vous démerdé les gars, c'est votre problèmes, c'est pas moi qui suis assez con pour m'enfiler un tampons dans le nez ! ... Bon faut que je te laisse, je dois y aller ... PRENDRE UN VERRE vous m'avez épuisez avec vos conneries ... By ... ouais, ouais c'est ça ... moi aussi ! » elle ne lui laisse pas le temps de réagir qu'elle a déjà raccroché. elle a besoin d'un verre et vite. Non mais qui lui a filé cette famille de dingue ?

    Arrivée devant le Seextine's Niht, la jeune femme n'hésite pas à y entrer, elle ne réfléchit pas, elle ne veut pas réfléchir, parce que si elle le fait, elle y repensera et non, très peu pour elle. Faisant le tour du club, la jeune femme regarde la salle, certains sont déjà là, seulement pour boire quelque verres où pour se préparer pour la soirée qui ne va pas tardé a arriver, quoiqu'il en soit, elle sent déjà les regards sur elle. Short et tee-shirt moulant, longue jambe et spartiates ? ex-mannequin. Elle regarde le bar, une silhouette. Un sourire s'affiche sur ses lèvres et des souvenirs arrivent, l'assaillant. Elle s'accroche à son sac en bandoulière et s'approche de lui. « wow, de si bonne heure ? » la jeune femme pose ses fesses sur le tabouret à côté du sien, elle s'en fout, qu'il veuille d'elle ou pas, elle est là et elle compte bien lui parler. « alors ? ton bras va mieux ? je vois que t'as perdu tes couleurs. » madelyn pose son avant-bras sur le rebord du bar, il ne colle pas, normal, les habitués ne sont pas encore là. Il faut qu'elle en profite.


    désolée pour ce début tout pourri, je me rattrape au prochain. love

    Re: Madelyn&Jude - On ne peu se délivrer des pêchés que l'on a commis.

    Jeu 25 Avr 2013 - 20:58
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    On ne peu se délivrer des pêchés que l'on a commis.
    • Vous êtes seul, vous êtes vraiment seul, sans personne pour vous aider, à l'abandon dans ce monde hostile, dans ces rues qu'on pourraient comparer à une jungle Amazonienne vu la foule qui passe chaque jours, chaque heures, chaque minutes, et vous avez pour but d'aller au pied de cet arc en ciel, pour trouver le trésor qui se trouve à son pied. Ce mythe, cette légende, beaucoup d'entre nous y ont cru plus jeune, et d'autre continue d'y croire, sauf qu'il n'ose pas l'avouer, soit par peur de passer pour un enfant, une personne pas très bien dans sa tête, dans sa peau, ou bien car ils ne veulent pas attirer les moqueries sur eux. Ce chemin qui pourra vous faire marcher toutes votre vie, ce moment où vous allez apercevoir cette merveille de la nature, ce phénomène unique, vous allez le suivre, lui courir après, et puis... Envolé, cet espoir, ce petit moment d'adrénaline aura disparu, et vous, vous serez là, prêt à attendre son arrivé pour y retourner, parcourir une fois de plus ce chemin qui peut être sans fin, pour trouver ce trésor... Cette légende pourrait être comparé à cette recherche permanente de l'âme sœur par certaine personnes, cette envie de plaire, de trouver la personne qui vous est destiné, votre rayon de soleil, votre arc en ciel, celle ou celui qui vous fera sourire et rire à n'importe quel moment de votre vie, celle que vous trouverez toujours magnifique le matin au réveil, celle que vous trouverez autant sexy, que ça soit en tenue de soirée ou au lit, complètement malade avec quarante de fièvre ou débordante de joie, ça sera elle, celle pour qui votre cœur battra, celle que vous comparerez à votre trésor. Vous aurez marché pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois, et même plusieurs années pour certains, marcher pour chercher votre trésor, cette femme ou cet homme qui vous rendra heureux et qui vous aidera à avancer, cette personne pour qui vous aimerez vous faire beau, cette personne que vous essayerez de reconquérir chaque jours, vivre chaque instant à ces cotés comme si c'était le dernier que vous passez à ces côtés. Sortir, marcher, visiter des endroits, des lieux, faire les magasins, la conseiller dans le choix de vêtements à acheter, lui demander conseil, l'aider quand quelques choses va mal, partager des souvenirs avec elle, crée votre vie, un petit bout de votre avenir, pouvoir vous projeter quelques mois dans le futur... Votre arc en ciel à vous, ça sera cette personne qui vous rendra heureux et qui animera cette étincelle dans vos yeux, cette flamme dans votre corps. Invincible, à ces côtés vous serez... Pour ne pas vous mentir, je le cherchais encore ce putain de trésor perdu je ne sais ou sur cette terre, à vrai dire, jamais je ne l’avais trouvé, jamais je n’avais eu la chance de « sortir » avec une fille et de l’aimer réellement, de ne désirer qu’elle, de vouloir faire ma vie à ces côtés, rentrer dans une petite bulle avec elle. Jamais je n’avais connu ça. Disons que j’étais un novice, les filles et moi, c’était plutôt un coup par si, un coup par-là, et me fait pas chier, c’est con à dire, mais jamais je n’ai pu trouver une fille avec qui j’ai envie de me poser, pourtant j’en ai envie, j’ai envie de mener cette petite routine amoureuse si belle, mais non, j’y arrive pas. Ce n’est pas que je ne trouve pas, c’est simplement que je ne cherche pas, que je ne me prends pas la tête, je vis ma vie merdique comme elle vient, j’essaie d’attirer l’attention de mes parents en enchaînant les conneries, mais il n’y a rien à faire, ils s’en branle, j’ai beau passer la nuit chez les flics, tabasser des connards qui m’ont mal regarder, faire cramer une poubelle dans mon lycée, ils s’en branlent, aucun mot pour me dire que c’est pas bien, aucune engueulade, ils sont dans leurs voyages d’affaire et nique sa mère si nous on est mal, si avec Jade on se sent mal. Assis à cette table, je bois mon putain de verre, ne captant rien à ce qui peut m’entourer, jusqu’au moment où une voix familière s’adressa à moi. Elle, c’est un peu ma sauveuse, la seule fille autre que ma sœur qui m’a aidé lorsque j’étais dans un état merdique après m’être battu, elle a pris soin de moi, elle m’a emmené à l’hôpital, même si habituellement j’y mets jamais les pieds, j’me soigne tout seul, et, à la place de rentrer chez elle, elle est restée toute la nuit à mes côtés. Peu de personne l’aurait fait. « Y’a pas d’heure pour se détendre ma belle ! » Marquant une pause et la laissant prendre place face à moi, elle me regarda avec son petit sourire malicieux. Je l’aimais bien cette fille en fait. Elle était plutôt cool, et, j’avais pas envie de l’envoyer chier ou faire je ne sais qu’elle connerie que j’aurais pu faire avec une autre, j’avais juste envie d’apprendre à la connaitre, à savoir qui se cachait derrière ce visage angélique. « Oh oui ça va oui, je sens plus rien, je t’ai dit que j’étais un warrior ! Mais, on s’en fou ! Comment toi tu vas ? » Je n’aimais pas vraiment parler de moi, peu de personne savait qui j’étais réellement, mais, je sentais qu’à elle, je pouvais lui parler, qu’elle ne planterait pas un couteau de boucher dans le dos… •
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