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    NIGHTCALL + JANE

    Dim 23 Fév 2014 - 19:28
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    Nightcall

    Il y a des rencontres qui sont parfois vraiment particulières. On ne s’attend en effet pas à faire connaissance avec une jeune fille et d’avoir un bon feeling avec elle alors qu’elle vous appelait à la base en inconnu pour vous insulter en pensant que vous étiez quelqu’un d’autre. Elle aurait pu raccrocher une fois qu’elle avait compris qu’elle s’était trompée de numéro mais non, à la place nous avions continué à discuter, à se taquiner et il était quand même plus intéressant de se voir en vrai non ? Je n’étais pas fan des relations uniquement basées sur le téléphone, j’aimais avoir un aperçu des gens avec qui je me liais et pouvoir apprendre à cerner leurs mimiques en plein dialogue. Passons, après une bonne petite conversation qui s’était aventurée sur le flirt parfois sans jamais aller trop loin nous nous étions mis d’accord pour ne pas perdre une seule seconde et nous rencontrer ce soir. Bon, il était tout de même deux heures et quelques du matin mais c’était venu subitement et je ne pouvais pas refuser de mettre un visage sur le mystère qu’elle représentait. Après avoir ajouté son adresse à l’un de mes brouillons sur mon smartphone pour pouvoir le retenir je m’étais dépêché de me vêtir. Et oui, je dormais avant qu’elle ne m’appelle et j’étais passé très rapidement par la case salle de bain pour me rafraichir le visage et me brosser les dents. Tant pis pour la barbe de trois jours. Après avoir pris le volant pour conduire jusqu’à Santa Monica, un quartier pas très éloigné de celui de Melrose dans lequel je vivais, j’étais arrivé à quelques mètres de sa somptueuse villa. Je savais que je devais être discret puisque son père était là et qu’il risquait de me frapper et de me séquestrer si je le réveillais à une telle heure de la nuit… Et oui, il était déjà trois heures, j’avais mis une petite demi-heure à venir et j’espérais qu’elle ne s’était pas endormie. Vêtue de manière très simple j’étais arrivé devant la porte, prêt à l’appeler pour lui dire que j’étais là sauf que… Putain, que j’étais con… Je n’avais même pas pensé à prendre son numéro, comment allais-je donc faire maintenant pour qu’elle comprenne que j’étais là sans faire trop de bruit ? Une idée stupide me vint soudainement en tête. Sans prévenir j’avais contourné la propriété (après avoir escaladé le portail de l’entrée) pour pouvoir rejoindre la piscine. Je m’étais dévêtu, de sorte à ne plus être uniquement vêtu que d’un boxer. Après avoir pris un peu d’élan je m’étais mis à courir et à prendre de la hauteur, en arrivant dans l’eau je fis donc une grosse bombe qui ne manqua pas de faire du bruit et d’éclabousser le sol. Allait-elle entendre le bruit ? Je l’espérais.

    Re: NIGHTCALL + JANE

    Ven 28 Fév 2014 - 4:03
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    Adélaïde Sullivan
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    Avertissements contenu : Maladies mentales sous traitement (bipolarité et nymphomanie), sexualité exacerbée, grossesse, fausse couche.
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    Orientation & situation : Bisexuelle en couple avec Aaron Campbell
    Métier/occupation : Directrice du Ritz-Carlton
    Études & fraternité/sororité : Etudes en dessin puis marketing à son arrivée à UCLA, membre des Alpha Bêta
    Résidence : Loft spacieux à l'intérieur même du Ritz-Carlton
    Nightcall

    Parfois, dans la vie, il nous prend un coup de folie. Un de ceux que vous ne savez pas expliquer, un de ceux qui, sur le coup, ne vous semble pas si fou que cela. Jane en était éprise ce soir. Elle avait appelé un mec qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam - pensant tomber sur un autre - et finalement, malgré les menaces proférées, il avait accepté de venir chez elle. Oui, chez elle! Là où elle invite peu de personnes et surtout pas des conquêtes. Et voilà qu'elle invitait un parfait inconnu pour qu'elle le prenne en photo. Une folie, une pure folie. Mais quitte à l'avoir faite, autant aller jusqu'au bout. Vêtue de l'un de ces pyjamas, elle fouillait activement dans son armoire. Elle lui avait promis qu'il tomberait à la renverse en la voyant, elle se devait donc de trouver la tenue parfaite pour cela. Robes courtes, minis shorts en jean, hauts très décolletés, jupes serrées, tout semblait passer sous ses yeux mais rien ne lui plaisait. Elle n'avait qu'une demie heure avant qu'il n'arrive et pour une fille comme elle, c'est très court. C'est alors qu'elle passait devant le miroir, regardant rapidement son reflet. Le rouge corail lui allait bien, c'est vrai. Se tournant, elle remarquait que son haut descendait assez pour camoufler ses fesses tout en laissant deviner ses formes prometteuses. Arf, come on, tant pis, ça serait suffisant comme ça. Enfilant simplement un peignoir de soie, elle descendait rapidement les grands escaliers de la villa. Si Lewis arrivait et que les chiens étaient toujours dehors, elle ne ferait pas long feu de son petit cul, c'est certain. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle ouvrait discrètement la porte pour ne pas réveiller son père et qu'elle les rappelait à elle. « Acker, Blake, On entre. » C'est ainsi qu'un doberman et un rottweiller passèrent près d'elle et allèrent se coucher directement dans le salon, sur leur tapis. Ahhh ces chiens, elle les aimait bien malgré qu'ils étaient surtout dresser pour garder la maison et protéger leurs maitres. Quoi qu'il en soit, il ne fallait que quelques minutes à Lewis pour arriver. Discrètement, toujours à l'intérieur de la maison, la jeune femme le regardait passer le portail. Le bruit métallique faisant redresser les chiens. « Assis, pas bougés et on se tait. » Suivant les ordres de Jane, cette dernière s'en allait rapidement, traversant la villa pour aller voir derrière, constatant bien que son invité surprise en avait fait autant. Dissimulée derrière un rideau, elle l'observait. Non mais dit donc, c'est qu'il est bien foutu le salaud, elle a bien fait de le faire venir. Se pinçant légèrement les lèvres, elle ne pouvait cependant pas s'empêcher de frapper son front avec sa main. Il avait fait un bordel monstre avec sa bombe. Sortant discrètement, elle appuyait son épaule contre un mur, laissant une jambe dénudée dépasser de son peignoir de soie. « T'as de la chance que mon père a le sommeil lourd et qu'en plus il porte des boule quies parce qu'il dort juste au dessus. » Un sourire malicieux sur les lèvres, elle croisait les bras, l'observant de la tête aux pieds, du moins pour ce qu'elle pouvait voir avec la pénombre. « T'as gardé ton boxer. Dommage. J'aurais aimé voir un peu plus que ce j'ai vu quand tu te déshabillais. » Ouais, elle avouait clairement qu'elle l'avait espionné. « Heureusement que tu es canon, je serais pas sortie de chez moi sinon et t'aurais bien eu l'air con. » Ouais, c'était méchant, mais réaliste. Il voulait connaitre sa force de caractère, il en avait maintenant les prémices.

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    Re: NIGHTCALL + JANE

    Ven 28 Fév 2014 - 17:56
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    Jane ne pouvait pas ignorer que j’étais arrivé chez elle après une telle bombe. La figure en elle-même avait déjà fait beaucoup de bruit mais l’eau tombant sur le rebord de la piscine en avait fait doublement. Satisfait par ma manière d’avoir sonné l’alarme je m’étais dirigé jusqu’au bord du bassin afin d’en ressortir uniquement à la force de mes bras. C’est ce moment-là que Jane avait choisi pour sortir par la baie vitrée dévoilant un superbe corps doublement mis en valeur par une nuisette qui, nom de dieu, devait en avoir fait saliver plus d’un. Moi-même je m’étais surpris à ouvrir grand la bouche en découvrant que la jeune femme qui m’avait téléphoné par erreur était du genre à réussir à faire s’élever un pénis sans avoir le moindre petit doigt à lever. Une chance pour moi qu’il ne soit pas aussi facile de me faire perdre sexuellement mon sang-froid, imaginez le moment gênant si je m’étais retrouvé à bander comme un cheval en caleçon mouillé et donc plus moulant que jamais devant cette déesse vivante. « T'as de la chance que mon père a le sommeil lourd et qu'en plus il porte des boule quies parce qu'il dort juste au dessus. » J’étais chanceux, en effet. Oh et puis si son père s’était pointé j’aurais improvisé un petit discours en expliquant que j’avais eu envie d’un bain de minuit et que c’est sur cette maison que je m’étais porté pour réaliser cette pulsion. Il n’y verrait que du feu concernant mon lien avec sa fille, lien qui n’était encore pas clairement défini d’ailleurs. « T'as gardé ton boxer. Dommage. J'aurais aimé voir un peu plus que ce j'ai vu quand tu te déshabillais. » Un sourire malicieux était apparu sur mes lèvres et c’est après avoir récupéré mes vêtements que je m’étais approché d’elle de sorte à pouvoir mieux admirer sa petite tenue. « C’est dommage hein… Mais vois le bon côté des choses, tu pourras me le retirer plus tard… Oh et… » Je marquais une brève pause, la regardant de haut en bas et n’hésitant pas à insister. « J’aime comment tu accueilles tes invités ! » Bon, j’aurais pu me venger parce qu’elle était là depuis le début mais c’était un petit détail sans importance. « Heureusement que tu es canon, je serais pas sortie de chez moi sinon et t'aurais bien eu l'air con. » En effet, avec un petit air de chien battu et une moue boudeuse j’avais repris la parole. « Je ne suis pas du genre à mentir sur la marchandise et puis… Tu n’aurais pas pu me laisser à la porte, comme une pauvre bête apeurée… »

    Re: NIGHTCALL + JANE

    Dim 16 Mar 2014 - 4:24
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    Adélaïde Sullivan
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    L'impulsivité de Jane n'était pas une légende. La jeune femme avait le don de tout faire sur un coup de tête, ou presque. Elle était comme ça, toujours à faire les choses quand elles viennent envahir son esprit, toujours à prendre la vie comme elle vient, parfois à ses dépens. Et ce soir, dehors, habillée de son peignoir court en soie qui laissait visible ses jambes à la limite du parfait, la vie avait fait venir chez elle un charmant jeune homme. Enfin la vie... le hasard plutôt, celui que Jane se soit trompée d'un chiffre en appelant quelqu'un. Finalement, c'était peut-être une chance. A la place d'être énervée contre la personne qu'elle devait appeler, il se trouve qu'elle était charmée par celui sur qui elle était tombée. La conversation commençait déjà à s'orienter dans le sens du flirt, continuant sur le même fil directeur que leur conversation téléphonique. L'idée de lui retirer ce caleçon n'était absolument pas gênante pour la nymphomane. Parce que là était la vérité, elle est nymphomane, et si Lewis continuait sur ce chemin, il allait très certainement réveiller ses pulsions malsaines. « Il me semble pas avoir dit que je te déshabillerais, simplement que je prendrais une photo de toi. » Et accessoirement voir si elle le reconnaît ou non. Et oui, elle le reconnaissait, effectivement, comme étant le fils d'une chanteuse relativement célèbre. Mais pour le moment, elle ne l'avouait pas, bien trop occupée à dériver sur la pente de la séduction. « Et tu n'as encore rien vu. » Pour cause, il ne pouvait pas encore voir sa nuisette très courte et affreusement sensuelle - et sexuelle. Dans tous les cas, célèbre ou non, elle le toisait un peu du regard, comme pour lui affirmer qu'il avait bien tort sur ce qu'il venait de dire. « Mon pauvre ami. Il faut être bien ignorant sur ma petite personne pour penser que je ne suis pas capable de laisser quelqu'un à la porte s'il ne me plait pas physiquement. » Se dirigeant vers la baie vitrée, elle l'ouvrait un peu sans pour autant rentrer, laissant le loisir à Lewis de le faire en premier. « Heureusement pour toi, et comme tu l'as dit, tu n'as pas menti sur la marchandise alors... après toi. » Elle l'invitait à entrer, le suivant de près. Oui, clairement elle en profitait pour mater ce petit cul moulé par son caleçon trempé. Il allait certainement faire des traces d'eau partout mais tant pis, elle pourrait nettoyer plus tard. Retirant son peignoir, elle lui laissait le loisir de l'observer en petite tenue, plus sexy que jamais. Sans attendre sa réaction, elle se dirigeait vers le grand escalier qu'elle avait descendu un peu plus tôt pour le prendre dans le sens inverse et monter dans sa chambre, persuadée que Lewis la suivrait, les fesses de l'Argentine sous le nez. « T'es le fils d'une chanteuse pas vrai? Promis, je donnerais pas ton numéro à mes amies. » Parce oui, elle avait un avantage sur lui. Elle connaissait son numéro alors que de son côté, Lewis n'avait eu le droit qu'à un numéro privé. Poussant la porte de sa chambre, elle le laissait entrer. « Je vais prendre mon appareil photo. » Parce qu'elle était bien décidée à le prendre en photo c'est pourquoi elle ouvrait sa grande penderie, il était probablement là-dedans.

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    Re: NIGHTCALL + JANE

    Lun 24 Mar 2014 - 22:34
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    Nightcall

    « Il me semble pas avoir dit que je te déshabillerais, simplement que je prendrais une photo de toi. » Comment croire très objectivement que nous allions uniquement prendre la pause chacun notre tour pour une petite selfie. Non parce qu’il aurait été très stupide de croire que j’allais m’arrêter là, c’était pourtant un programme sympathique mais les pensées qui m’envahissaient étaient bien plus intéressantes encore. Si je n’avais pas été habitué à ressentir du désir pour quelqu’un mon boxer aurait probablement commencé à gonfler à perte de vue histoire de m’offrir une humiliation publique mais ce n’était pas le cas, il m’en fallait tellement plus pour me faire sortir de mes gonds. « Certes mais tu n’as pas précisé si tu désirais une photo sage ou… Plus coquine impliquant que je sois nu et bien réveillé ! » Je souriais à la fois amusé et sûr de moi. Je n’avais rien à gagner ce soir et encore moins quelque chose à perdre si ce n’est une nuit passionnée. Quelque chose me disait qu’il y avait de toute manière très peu de chances pour que je termine la soirée vêtu d’un quelconque vêtement, elle ne cessait de m’envoyer des signaux allant dans un sens que j’appréciais davantage et sa tenue ne pouvait que me mettre en éveil un peu plus. « Et tu n'as encore rien vu. » J’appréciais sa répartie, un nouveau point positif en sa faveur. « Je n’en doute pas une seule seconde ! » Je n’hésitais pas à la taquiner au fur et à mesure que je diminuais la distance qui nous séparait. J’étais à présent paré pour la rejoindre à l’intérieur lorsqu’elle jugerait le moment parfaitement choisi pour rentrer au chaud et entamer la soirée comme il se devait. « Mon pauvre ami. Il faut être bien ignorant sur ma petite personne pour penser que je ne suis pas capable de laisser quelqu'un à la porte s'il ne me plait pas physiquement. » Je n’en doutais pas une seule seconde, elle devait être le genre de fille qui savait très bien ce qu’elle voulait et encore plus ce qu’elle ne voulait pas. « Heureusement pour toi, et comme tu l'as dit, tu n'as pas menti sur la marchandise alors... après toi. » Je remportais ainsi le ticket d’or, elle m’autorisait à entrer en confirmant que j’étais à la hauteur de ses espérances. Parfait, j’aurais vraiment été déçu de ne pas lui plaire en arrivant ici après une vingtaine de minutes de route et des idées plein la tête. Surtout lorsque le feeling était aussi bon. Après avoir découvert la villa plus qu’imposante de la jeune fille, une villa qui me rappelait un peu la mienne bien que la décoration et l’architecture soient loin d’être semblables, je m’étais sagement mis en route vers les escaliers. Après avoir retiré sa robe de chambre elle avait pris les devants pour que je puisse la suivre en découvrant son popotin des plus attirants. Je n’étais qu’un homme après tout et découvrir son corps parfait, sans le moindre défaut avait de quoi me faire saliver comme un chien devant un os et cet os je comptais définitivement lui faire sa fête, il n’y avait plus aucun doute à présent. « T'es le fils d'une chanteuse pas vrai? Promis, je donnerais pas ton numéro à mes amies. » Je l’appréciais définitivement beaucoup, un sourire charmé aux lèvres je lui avais répondu sans me démonter. « C’est ça, Alecia Graham et… Merci, je n’ai jamais changé de numéro depuis que j’ai eu mon premier portable, ce serait dommage de devoir changer à cause de fans hystériques qui veulent le numéro de ma mère ou une photo ou sortir avec le fils d’Alecia Graham ou encore de me demander des infos exclusives sur l’album que je prépare. » Il y avait tellement de raisons qui justifieraient que l’on m’embête si mon numéro tombait entre de mauvaises mains que j’espérais vraiment pouvoir obtenir de Jane le secret. En arrivant dans sa chambre je ne m’étais pas longuement concentré sur le cadre de rêve, étant habitué à habiter dans de tels lieux ou à en côtoyer lorsque nous allions chez des amis de ma mère. « Très belle propriété, ton père doit avec un sacré compte en banque, j’me trompe ? » Lui avais-je demandé en regardant autour de moi. « Je vais prendre mon appareil photo. » Je souriais, hochant la tête et ajoutant pendant qu’elle fouinait dans sa penderie. « Tu aurais une serviette également ? Je ne voudrais pas mettre de l’eau partout sur ton lit ! »

    Re: NIGHTCALL + JANE

    Mar 22 Avr 2014 - 19:00
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    Adélaïde Sullivan
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    Nightcall
    Un jeu s'était installé entre eux. Un jeu qui prenait de plus en plus d'ampleur et d'importance au fil de leur conversation. La séduction était là, en n'en plus finir. Chaque fois que Jane prononçait un mot, il transpirait la sensualité, la séduction, l'envie. Nul n'aurait pu le nier, entre eux, le chemin était tout tracé. Le tout était de savoir quand est-ce qu'ils allaient l'emprunter. Tel le chat et la souris, ils se couraient après, se tournaient autour et pourtant les rôles n'étaient pas bien définis. Qui était le chat et qui était la souris? Personne ne le savait vraiment et c'était là toute la richesse du jeu en soit. Ils se séduisaient sans pour autant franchir le pas. On avait beau dire, la séduction reste importante pour toute forme de relation, qu'elle soit simplement physique ou plus poussée, c'est-à-dire amoureuse. L'Argentine en avait parfaitement conscience et elle aimait perfectionner son jeu à chaque fois qu'elle en avait l'occasion. Lewis était une occasion de plus. Jouer avec les mots, avec les gestes, avec son corps tout entier. Attiser la convoitise du jeune homme, faire parler ses envies, faire réagir son corps. C'est ce qu'elle voulait, oui, qu'il réagisse, qu'elle le pousse jusque dans ses derniers retranchements pour qu'il craque le premier. Mais visiblement, tel était aussi l'objectif du jeune homme puisqu'il semblait vouloir la faire tourner en bourrique quand il proposait alors une photo plus ou moins habillée. Elle le prenait comme une invitation à choisir et elle n'allait certainement pas la rater. C'était son truc, son moyen à elle de commander les choses, de choisir, d'être la maitresse du jeu.

    Rejoignant sa chambre avec Lewis, elle parlait alors de la mère du jeune homme. Si elle semblait connaitre son nom, c'est parce qu'elle avait déjà assisté à un concert de sa mère dont Lewis faisait la première partie. Elle n'avait pas reconnu son visage probablement parce qu'elle était trop loin de la scène au moment du concert mais maintenant qu'il lui affirmait que c'était bien lui, elle replaçait assez bien sa voix dans les chansons qu'il avait interprétées. Elle l'écoutait parler sans trop rien dire pour le moment. C'est vrai que ça ne devait pas être facile de vivre avec une mère célèbre. Le père de Jane était aussi célèbre, mais seulement dans le monde de l'hôtellerie et de la finance. Rares sont les gens qui connaissent son visage s'ils ne s'intéressent pas un minimum à ce monde là. « Des informations exclusives sur ton album? Tu me tentes là, c'est mal. » Un sourire aux lèvres, elle continuait sur sa lancée. « Parce que Monsieur ne profite pas de la célébrité de sa mère pour sortir avec des jolies filles? Ca m'étonnerait bien ça. » Fouillant dans sa penderie à la recherche de son appareil photo qu'elle avait très certainement pendu à l'un des cintres, elle hochait doucement la tête. « Non tu te trompes pas. C'est le directeur général du Ritz-Carlton depuis des années, alors ça aide un peu pour avoir de jolies choses. » Notamment l'appareil photo dernier cri qu'elle sortait de son armoire à l'instant. Se tournant vers lui, elle lui sortait un sourire malicieux. « Si je comprend bien, tu comptes t'allonger sur mon lit alors. » Braquant son appareil photo sur lui, elle le prenait en photo deux ou trois fois, histoire d'être sûre d'en avoir une bonne. « C'est dommage, t'es plutôt sexy quand tu es mouillé je trouve. » Se dirigeant vers sa salle de bain, elle allait lui chercher une serviette propre dans une commode avant de la lui ramener. Se postant alors devant lui, elle lui lançait un regard qui ouvrait les hostilités sexuelles entre eux. « Embrasses-moi et je verrais si tu la mérites cette serviette. » Tenant fermement le linge en question, elle lui lançait son regard de défi et si jamais il n'embrassait pas assez bien à son goût, elle était tout à fait capable de le priver de la serviette et même de le priver tout court. Après tout, un homme ne sait pas se servir correctement de ses lèvres et accessoirement de sa langue pour embrasser ne doit pas bien utiliser son service trois pièces et il était hors de question pour Sullivan de perdre du temps avec un amateur.
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    Re: NIGHTCALL + JANE

    Sam 26 Avr 2014 - 13:03
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    Je ne m’attendais pas à finir la soirée comme ça. Rien ne m’indiquait que j’allais finir dans la chambre d’une fille aussi sexy paré pour un jeu de séduction qui ne laissait aucun doute sur ce qu’il allait se passer ensuite. Il ne restait plus qu’à savoir qui allait faire le premier pas vers l’autre pour lancer les hostilités. En attendant, j’étais le plus dévêtu de nous deux, en boxer bien moulant à cause de l’eau et je devais donc faire attention, ne pas hésiter à calmer mes ardeurs pour ne pas laisser entrevoir que des tonnes d’idées naissaient lorsque mon regard se perdait sur ses formes, sur ses sublimes fesses que je rêvais déjà de parcourir avec mes lèvres. « Des informations exclusives sur ton album? Tu me tentes là, c'est mal. » Je souriais amusé, la regardant à nouveau de haut en bas, me mordillant la lèvre inférieure et répondant du tac au tac, taquin. « Ouaip, mais pour avoir des infos il faut réellement me séduire… Je ne donne pas ça à n’importe qui tu vois ? » Je ne perdais pas le sourire, heureux qu’elle se soit trompée de numéro plus tôt dans la soirée. Nous aurions tous les deux raté quelque chose sinon, non ? « Parce que Monsieur ne profite pas de la célébrité de sa mère pour sortir avec des jolies filles? Ca m'étonnerait bien ça. » Elle aurait presque marqué un point, j’appréciais sa capacité à me rendre la balle. Elle avait du répondant et j’adorais ça, elle en était doublement plus sexy. « Je pourrais mais j’évite justement, j’aime quand il y a plus de saveur, si j’ai juste besoin de dire que je suis le fils d’une star pour séduire une fille ça n’a rien de drôle. » En découvrant sa somptueuse chambre je n’avais pas pu m’empêcher de lui faire une petite réflexion sur la fortune de son père, il devait avoir un sacré compte en banque que j’aurais presque envié si je ne faisais pas non plus le bonheur de mon banquier. Certes, je devais être très loin de ce que possédait son père mais pour mon âge c’était déjà un bon début. « Non tu te trompes pas. C'est le directeur général du Ritz-Carlton depuis des années, alors ça aide un peu pour avoir de jolies choses. » Tu m’étonnes, alors qu’elle cherchait son appareil photo dans son armoire je ne me faisais pas prier pour lui mater les fesses. Elle n’avait pas idée de combien l’idée de lui faire l’amour commençait à me titiller, j’allais lui faire sa fête, il n’y avait plus aucun doute là-dessus. « Si je comprend bien, tu comptes t'allonger sur mon lit alors. » Je souriais, observant son lit et répondant, sûr de moi. « C’est une probabilité oui… Bien que je puisse m’allonger ailleurs que sur ton lit également. Cette pièce est riche en options. » Son appareil photo entre les mains elle prit quelques clichés, je m’étais sagement laissé prendre en photo, n’hésitant pas à prendre la pose en souriant, en la toisant coquinement du regard. « C'est dommage, t'es plutôt sexy quand tu es mouillé je trouve. » Je souriais, baissant la tête le temps d’adopter un regard de chien battu et une moue boudeuse. « J’espère ne pas avoir besoin d’être mouillé pour être sexy, ça serait triste sinon. » Je la suivais toujours du regard alors qu’elle s’était éloignée pour rejoindre la salle de bain, elle revint quelques secondes plus tard avec une serviette et un regard qui ne présageait rien de bons pour ses draps… Oh non, eux aussi ils allaient prendre cher ! « Embrasses-moi et je verrais si tu la mérites cette serviette. » Elle y allait franchement, c’est finalement elle qui avait fait le premier pas et il était temps pour moi d’aller encore plus loin. Me rapprochant d’elle jusqu’à ce que nous soyons quasiment collés l’un à l’autre et que son souffle bien plus irrégulier que tout à l’heure s’abatte contre mon cou. « Et si je te montrais que je le mérite d’une manière plus… Précise ? » Je souriais coquinement, frôlant volontairement ses lèvres histoire de la distraire, je m’étais fermement emparé de ses mains. Qu’est-ce que je comptais faire de ses mains ? Avec gourmandise je les avais porté à mon caleçon que j’avais fait descendre le long de mes cuisses, mon soldat étant libéré d’une emprise qui devenait bien trop étouffante depuis tout à l’heure.

    Re: NIGHTCALL + JANE

    Dim 11 Mai 2014 - 18:13
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    La malice, la spontanéité, sa façon de répondre au tac au tac, c'est ce qui faisait que Jane était elle, et Lewis n'échappait à cette règle. Il subissait comme tous les autres les envies de la jeune femme, ses dérives et surtout son audace. Parce qu'elle en avait oui, énormément, peut-être trop même. Elle n'hésitait jamais à l'ouvrir quand elle a quelque chose à dire, que cela soit positif ou non. Elle avait toujours son mot à dire, quelque chose à exprimer, et là encore, c'était le cas. Penchant légèrement la tête, elle souriait malicieusement, prête à sortir une connerie qui se voulait pourtant réaliste. « Il faut réellement te séduire? Mais regardes-toi Graham. Ta façon de te pincer les lèvres, celle de me regarder, de me dévorer des yeux. Je n'ai rien à faire, tu es déjà séduit et tu le sais aussi bien que moi. » Un regard amusé, elle avait sorti cela avec beaucoup d'audace, persuadée de ce qu'elle avançait. Et si ce n'était pas le cas, elle savait qu'elle arriverait à le séduire en deux temps trois mouvements, ça faisait aussi parti de sa personnalité et surtout de son expérience de savoir faire craquer les hommes très facilement. Cherchant son appareil photo, elle ne répliquait pas concernant le fait de ne pas draguer par le biais de sa mère, parce que cela n'avait aucune valeur ni saveur. Dieu sait à quel point elle peut le comprendre à cet instant! Il lui arrivait la même chose. Dès qu'elle acceptait d'accompagner son père dans des soirées branchées et surtout friquées, bon nombre de mecs lui couraient après une fois les présentations faites et qu'on l'avait nommée comme étant la fille de. Alors forcément, le jeu n'en valait jamais la chandelle et la jeune femme finissait toujours par se désintéresser de ces hommes-là, dont la cueillette serait bien trop facile. Au contraire, elle aimait les défis. Alors naturellement, pendant ces soirées, elle séduisait les hommes mariés ou les plus renfermés. C'était un jeu pour elle, aussi diabolique soit-il. Braquant son appareil photo sur lui, elle ne pouvait que s'amuser de sa façon de poser et de la toiser. Le chemin était tout tracé, ils allaient finir hardeusement l'un sur l'autre. « T'allonger sur mon lit ou ailleurs, ça serait bien bête pour toi, je ne suis pas séduite par les hommes passifs. » Un haussement de sourcil, un petit clin d’œil et une énième photo dans la boite avant qu'elle ne pose son appareil sur un meuble. Éclatant de rire à sa moue, elle haussait un peu les épaules et le frôlait pour aller chercher une serviette. « Je sais pas trop, je verrais bien quand tu seras sec, je dois avouer que je n'ai eu que le temps de t'apercevoir. » Allant dans la salle de bain, elle ne mettait pas de temps à revenir avec la serviette tant désirée et bien évincée il fallait l'avouer. Et pour cause, à peine était-elle revenue avec elle qu'elle le défiait de l'embrasser pour se la procurer. Il était clair que la serviette l'intéressait peu, elle s'en servait seulement comme un moyen d'obtenir ce qu'elle veut. Et Lewis semblait aussi peu enclin à s'en préoccuper puisque sans attendre, il s'approchait d'elle tandis qu'elle ne le lâchait pas du regard. Leur proximité était extrême, leurs corps se touchant presque, leurs souffles s'échangeant un instant. Se mordillant un peu la lèvre, dès qu'il attrapait ses mains, elle lâchait la serviette, la laissant s'écraser à leurs pieds. Sa curiosité venait d'être piquée à vif et c'est avec un regard plein d'envie qu'elle se laissait faire et qu'elle saisissait avec lenteur la virilité libérée de Lewis. Et pourtant, même après l'avoir eu dans les mains, elle ne le quittait pas du regard. Elle n'avait pas besoin de regarder ce qu'elle faisait, elle savait parfaitement y faire, même à l'aveugle. C'est bien pour ça qu'elle commençait à faire des va-et-viens lents sur lui, de quoi être agréable sans forcément le perturber pour le moment. « C'est t'offrir à moi qui prouve que tu mérites cette serviette? » En réalité, tous les deux savaient que la serviette était devenue l'image d'une partie de jambe en l'air entre eux. Lui mordillant la lèvre inférieure avec férocité, elle accélérait ses mouvements autour de sa volonté, se collant un peu plus à lui, sa poitrine taquinant son torse. De sa main libre, elle finissait de lui retirer totalement son boxer avant de venir l'embrasser fiévreusement. Elle ne pouvait définitivement pas niée qu'elle était elle-même excitée, d'autant plus en sentant le désir du jeune homme monter au creux sa main experte. Sans attendre une seconde de plus, elle le faisait reculer jusqu'à son lit sur lequel elle le poussait. « Tant pis pour les draps, ils en verront d'autres et des bien pires. » Et elle savait que "le pire" était à venir et elle comptait bien le provoquer ce pire. Et pour cela, rien de plus simple pour la jeune femme... Grimpant sur son amant du soir, elle l'embrassait encore quelques secondes avant de descendre le long de son corps et de s'agenouiller sur le sol, à côté de son lit, pour mieux entamer une danse lascive de sa langue sur son intimité, lui lançant des regards aussi coquins qu'affamés. Elle allait le bouffer...
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    Re: NIGHTCALL + JANE

    Mar 17 Juin 2014 - 19:01
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    « T'allonger sur mon lit ou ailleurs, ça serait bien bête pour toi, je ne suis pas séduite par les hommes passifs. » Je ne pu m’empêcher de sourire, un sourire mutin qui traduisait ô combien ce qu’elle disait m’amusait et m’intéressait à la fois. Elle n’avait donc pas idée, elle pensait être celle qui maniait toutes les cartes, manque de pot pour elle, ce n’était pas le cas. Je n’étais pas un gentil garçon qui allait attendre bien sagement qu’elle prenne les devants, je n’étais pas un petit chien, je prenais les initiatives quand j’en avais envie et je répondais à celle des autres quand je le désirais. Nous avions donc de fortes chances de prendre du bon temps tous les deux, nous représentions indirectement une sorte de « challenge » puisqu’il serait impossible pour nous de totalement dominer l’autre. « Une chance pour moi, je ne suis pas trop branché à l’idée d’être manié comme un bon petit soldat ! » Elle me prend à nouveau en photo et je sens le moment tant attendu se rapprocher à grands pas. Je ne savais pas encore exactement comment les choses allaient se terminer mais il y a cependant une chose que je savais, nous allions faire l’amour et plutôt deux fois qu’une ! « Je sais pas trop, je verrais bien quand tu seras sec, je dois avouer que je n'ai eu que le temps de t'apercevoir. » Je la suivais du regard sans rien ajouter, parfois il fallait en effet savoir se taire pour ne pas gâcher la tension qui planait dans l’atmosphère, pour ne pas en dire trop et sombrer dans la surenchère inutile. Il fallait savoir se montrer subtile et je maitrisais cette qualité, la subtilité, même si je ne m’en servais pas en permanence, la faute à un tempérament bien trop impulsif. La partie devenait finalement intéressante, après avoir pris l’initiative de mettre un coup de pied à la fourmilière je n’avais pu que constater que Jane était plutôt habile de ses mains, elle ne se démontait pas, ne se défilait pas non plus et prenait même soin d’aider ma tour à fièrement s’ériger sous ses impulsions douces et fermes à la fois. « C'est t'offrir à moi qui prouve que tu mérites cette serviette? » Je souriais, me mordillant la lèvre pour contenir un petit soupir qu’elle provoquait en me masturbant avec une certaine sensualité. « Non, c’est de t’offrir la garantie de prendre ton pied qui le prouvera ! » A vrai dire, la serviette ne servait à présent plus qu’à illustrer notre envie de nous jeter l’un sur l’autre. Je me trouvais à présent entièrement nu, Jane n’allait pas tarder de me rejoindre dans la nudité pour que nos courbes puissent s’épouser avec fièvre. Pour le moment, j’acceptais de me plier à ses volontés, reculant pour m’allonger sur son lit sans la quitter du regard, sans arrêter de la dévorer du regard, je frémissais… Elle me faisait frissonner à chérir mon sucre d’orge de la sorte, mettant un coup de fouet à une libido déjà très en forme. « Tant pis pour les draps, ils en verront d'autres et des bien pires. » Je souriais, découvrant ses lèvres avec ardeur et la laissant s’agenouiller, appréciant déjà l’idée que je me faisais de son futur acte. Et que dire sur ses capacités buccales… Lorsque mon intimité entra en contact avec ses lèvres je ne pu contenir un gémissement, le début d’une longue série de soupirs accompagnants ses vas et viens. Elle était vraiment très douée. N’était-il pas venu le moment de lui en donner un peu pour son argent à elle aussi ? Je m’étais redressé pour pouvoir lui tirer le bras afin qu’elle me rejoigne sur le lit. Elle s’était gentiment laissée faire et s’était agenouillée sur moi, de manière à sentir l’ardeur avec laquelle je comptais lui faire l’amour. Mes lèvres vinrent à nouveau chérir les siennes avec une certaine passion, ma langue se permettant une petite intrusion momentanée pour découvrir sa jumelle. « Tant pis pour les draps ! » Répétais-je en me redressant pour pouvoir me glisser entre ses jambes, les écartant avec une certaine douceur tout en la déshabillant. A présent qu’elle était nue je pouvais me permettre de parcourir chaque petite parcelle de sa peau brûlante de mes lèvres, approchant petit à petit de l’objet de mes désirs, cette petite pétale que je souhaitais mettre en feu au simple contact de mes lèvres, de ma langue et de mes doigts. C’est avec un plaisir non dissimulé que je m’étais attaqué à son intimité. Ma langue préparait le terrain pour que mes doigts ne la fassent pas trop souffrir, doigts qui ne s’étaient pas trop fait priés à passer le seuil de la porte, allants et venants avec énergie.

    Re: NIGHTCALL + JANE

    Lun 30 Juin 2014 - 19:13
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    Un sourire fort intéressé. Voilà ce qu'elle lui servait. Lewis venait d'affirmer qu'il n'était pas un gentil petit soldat qu'on peut manipuler comme bon lui semble. Intéressant! Jane n'aimait pas les hommes passifs mais elle n'aimait pas être passive elle-même. En réalité elle adorait l'équilibre qu'on peut donner entre deux corps, deux envies, un même plaisir. Que l'un fasse plaisir à l'autre, que l'autre lui redonne la pareille ou s'amuse à augmenter encore plus l'enjeu. C'était ça le réel challenge entre les deux: faire craquer l'autre le premier. Parce que tous les deux savaient parfaitement que leurs forts caractères et que leurs envies mutuelles allaient se répondre d'une façon ou d'une autre, mais ce que tous les deux ignoraient, c'était lequel allait atteindre le plaisir ultime en premier, lequel allait faire jouir l'autre en premier. Aucun ne doutait de ses capacités mais chacun ne pouvait pas évaluer la résistance de l'autre au plaisir. Tout ce que Jane savait c'est qu'elle avait eu de nombreux amants et qu'avec le temps elle avait appris de son corps, de ses envies, de ses pulsions. Mais peut-être qu'en face d'elle, Lewis avait eu autant d'amantes qu'elle d'amants et là, ça pourrait être drôle. Tous les deux entrainés à résister ou à faire durer le plaisir, ça promettait largement une nuit de folies! Une nuit de folie qui commençait très sérieusement à commencer. Lewis lui avait demandé une serviette, elle s'était exécutée parce qu'elle savait que ça aiderait probablement à entamer les choses sérieuses. Et ce fut le cas puisque le jeune homme lui laissait l'honneur de commencer les hostilités en se délivrant de sa prison de tissu pour mieux laisser Jane s'occuper de lui comme il se doit. Une Jane toujours aussi provocante dans ses paroles. Elle pouvait se le permettre puisqu'elle avait eu la joie de constater que Lewis avait du répondant et il fallait avouer que dans ce genre de situation, rien n'est plus excitant. « Je te trouve bien sûr de toi. » Il lui promettait de lui faire prendre son pied, et ça, c'était une garantie qui n'était pas tombée dans l'oreille d'une sourde. Elle était prête à l'épuiser pour avoir le plaisir annoncé.

    Et cela commençait fort puisque très vite, elle l'obligeait à s'allonger sur le lit, prête à titiller sa libido de façon bien plus poussée qu'avec ses mains. Sa langue et ses lèvres entrèrent avec l'objet de ses désirs, bien déterminée à le rendre plus raide et plus imposant. Et ce n'était pas les soupirs de Lewis qui allaient la décourager, bien au contraire, y mettant encore plus d'ardeur et d'envie. Parce que oui, elle avait envie de lui, de son corps contre le sien, de son sexe découvrant le sien et bien plus encore. Elle l'enviait presque du plaisir qu'elle lui donnait à l'entente de ses légers gémissements. Comme si Lewis l'avait senti, après quelques minutes de ses caresses buccales, il lui tirait le bras pour la faire arrêter et l'amener à lui. Là, elle retrouvait ses lèvres avec ardeur, fiévreusement, sentant sa virilité plaquée contre son string déjà humide d'envie, et sa langue venir goûter à la sienne. Un léger rire sous sa réflexion, et voilà qu'elle se retrouvait contre le matelas à se faire déshabiller par son amant sans aucune difficulté. Il fallait avouer que son "pyjama" n'était pas conçu pour rester en place très longtemps. Adieu pseudo nuisette et string et bonjour la nudité promise. Sans attendre très longtemps, elle sentait alors les lèvres du brun parcourir son corps chaud et frissonnant de désir. Posant ses mains dans les cheveux de Lewis, elle ne put s'empêcher de lâcher un léger gémissement lorsqu'à son tour, il jouait de sa langue sur son intimité. Et de suite, elle pouvait sentir qu'il connaissait les points stratégiques du plaisir chez une femme. En quelques minutes, en quelques coups de langue, il lui arrachait des gémissements plus profonds les uns que les autres tandis que les doigts de Jane se resserraient dans ses cheveux. Et que dire quand il se mit à utiliser ses doigts, la pénétrant tendrement avec ces derniers. Une ribambelle de sensations traversait le corps de Jane, la faisait frémir de toutes parts, lui procurant des frissons intenses le long de son échine. Pendant quelques minutes elle profitait du plaisir qu'il lui procurait avant de se redresser à son tour pour lui faire arrêter. « Tente pas de me faire jouir avec un cunni, tu n'y arriveras jamais. » Non pas qu'il s'y prenait mal, mais très rares étaient ces moments où elle jouissait seulement grâce à une langue et quelques doigts. Se tournant vers sa table de nuit, elle se mettait à genoux sur son lit pour pouvoir fouiller dedans, à la recherche du Graal de la protection: un préservatif. Autant dire qu'elle ne mit pas de temps à le trouver et à l'ouvrir, se tournant de nouveau vers Lewis pour l'embrasser. Un baiser qui transpirait l'envie, le désir de plus, de mieux tandis qu'elle déroulait la capote sur sa virilité. Lui mordillant la lèvre, elle lui lançait un regard coquin et murmurait contre ses lèvres. « Je pense sincèrement que tu y arriveras mieux comme ça. » Avait-elle dit avant de se retourner pour se mettre à quatre pattes, lui offrant la position du dominant avec grand plaisir!
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    Re: NIGHTCALL + JANE

    Jeu 24 Juil 2014 - 16:14
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    « Je te trouve bien sûr de toi. » Je le suis à cet instant, je connais mes performances, sans tomber dans la prétention et le stéréotype du serial baiseur j’ai additionné les aventures depuis quatre ou cinq ans, je suis passé par tous les genres, les femmes mûres, les jeunes filles découvrant le sexe sans jamais descendre en dessous de la majorité quand même, les filles de mon âge, les mecs et je peux vous assurer que chaque fois que je m’étais livré à un acte sexuel je m’étais amélioré jusqu’à atteindre un stade où je me maitrise totalement. Je sais comment retarder la jouissance qui, tôt ou tard, ne te laisse pas le choix, s’impose à toi et te paralyse. J’ai trouvé plusieurs moyens de retarder l’inévitable et même sans cela je suis plutôt bon d’un point de vue purement chronométré. N’est-ce pas le premier point que les filles remarquent ? Un mec qui lâcherait la sauce au bout de deux minutes en prendrait pour son grade, ce n’était pas mon cas et c’était déjà un complexe en moins. Et puis bon, on ne peut pas dire que j’avais de quoi être complexé par quelque moyen que ce soit, je suis bien bâti, j’ai de quoi rendre heureux plus d’une personne et je m’en sors très bien en ne prenant pas uniquement à cœur de prendre mon pied, j’entraine toujours l’autre avec moi. Et oui, je ne suis pas juste intéressé à l’idée de tirer pour me vider les couilles un bon coup, je prends à cœur de toujours en donner à l’autre, histoire qu’il puisse éventuellement s’en souvenir pendant un bon moment et qu’il puisse vouloir revenir. Quand je vous dis que je pense à tout ou presque.

    Nous ne perdons plus une seule seconde, je m’allonge et subi avec grand plaisir la danse lascive qu’exécute sa langue le long de ma verge qui sort progressivement de son sommeil pour accueillir comme il se doit les lèvres de la jeune femme. Je grommelle, je grogne, je gémis, appréciant le contact de sa bouche sur mon sexe, de sa langue qui remontait le long de ma longue tige avec envie. Elle en voulait plus et je savais exactement quoi faire pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Après avoir pris le temps d’apprécier comme il se devait la fellation, parfaitement exécutée, de Jane je m’étais lancé. Ses lèvres sont appétissantes, je les adore, elles ont un goût exquis, je ne m’en lasse pas, je les titille, les mordille, nos langues s’entremêlent sensuellement, j’abandonne ses lèvres avec frustration pour descendre vers le fruit de tous mes désirs. Je m’occupe d’elle dans les règles de l’art, de simples baisers pour faire monter l’envie, ma langue habile découvrant son intimité, la titillant, l’humidifiant et lui apportant une chaleur qu’elle appréciait à en entendre ses gémissements. Je ne m’arrête pas là, je poursuis, mes doigts s’immiscent, l’un après l’autre, en elle, je prépare le terrain pour ce qui va suivre, mes doigts vont et viennent en elle avec tendresse, tantôt langoureusement et tantôt plus sauvagement. Elle gémit, attise le désir, mon sexe, plus durci que jamais frotte contre ses draps et me donne envie de lui sauter dessus pour lui faire sa fête, je vais la dévorer, et je ne parle pas de son vagin que je savoure déjà goulument, n’hésitant pas à la mordiller pour lui faire ressentir quelques petites sensations paradoxales, la douleur qui, dans cette situation, apporte une bonne dose de plaisir également. « Tente pas de me faire jouir avec un cunni, tu n'y arriveras jamais. » Je souris amusé, elle ne me croit pas capable d’y parvenir ? Elle ne me connait pas. Bon, je ne cherche pas non plus à la faire jouir avant d’être passé aux choses sérieuses, je préfère qu’elle se réserve pour plus tard, pour ce qui est sur le point d’arriver, pour cette danse de couple sensuelle à laquelle nous allions nous livrer, celle qui allait nous unir et nous embraser. Elle m’abandonne pour s’emparer d’un préservatif qu’elle installe avec douceur le long de mon pénis, nos lèvres se chevauchant pendant un bref instant, ce fut trop bref, je voulais profiter de ses lèvres davantage. « Je pense sincèrement que tu y arriveras mieux comme ça. » Elle est aguicheuse au possible, elle me remet dans le bain et ne tarde pas à m’offrir une position idéale, elle se retourne, à quatre pattes. Ses fesses frottent contre mon sexe, je la provoque, mon pénis, protégé, s’aventure parfois le long de son vagin sans jamais aller plus loin puis, d’un coup tendre et calculé je m’insère, je débute en douceur histoire qu’elle puisse s’habituer à ma présence, une explosion de sensations prennent le dessus sur moi, je frissonne, frémi, mes mains agrippent ses cuisses pour la coller à moi. La partie peut commencer à présent. « Hmmm, t’es parfaite ! » Que je lui susurre, accélérant progressivement la cadence de mes mouvements, en douceur histoire de pouvoir en garder un peu sous le pied pour les prochaines minutes qui s’annoncent sexy et plaisantes au possible.


    Re: NIGHTCALL + JANE

    Mar 9 Sep 2014 - 13:35
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    Son corps entier appelait à la luxure, au désir, au plaisir, au charnel. Sa peau chaude et moite était témoin de son plaisir sous les assauts de Lewis. Ses mains aggripantes laissaient savoir qu'elle perdait parfois, pendant quelques secondes, le contrôle. Son souffle profond, ses légers gémissements, la petite courbe que son dos pouvait faire par moment, tout était à même pour que son compagnon du soir sache que son petit manège lui faisait un bien fou. Pendant de longues minutes elle avait profité de sa langue contre son intimité, de ses doigts aventuriers qui la pénétraient tantôt tendrement, tantôt ardement. Elle aurait pu le laisser faire pendant des heures si ça l'enchantait tellement elle était friande de ça, mais ils n'étaient pas là pour prendre leur temps, pour faire grimper le plaisir lentement. Bien au contraire, elle le voulait tout de suite, elle voulait le sentir en elle rapidement pour encore plus de plaisir, pour satisfaire son petit besoin et celui de Lewis parce qu'elle le savait, dans un sens, que pour lui, lui faire du bien par ce biais n'avait rien de très excitant en soit. Alors rapidement, elle se détachait de lui pour mieux revenir avec un préservatif qu'elle déroulait avec hâte sur sa virilité tandis que leurs lèvres se harponnaient rapidement. Quelques vas-et-viens de sa main et elle le quittait de nouveau, se présentant dans une position qui satisfairait le côté dominateur du brun comme celui de tous les hommes. Rabattant ses cheveux d'un seul côté de sa nuque, elle lui offrait un spectacle de sensualité des plus exquis, elle l'espérait en tout cas. Une nuque chaude et légèrement luisante, un regard de braise qui ne cherchait qu'à attiser son envie, un fessier rebondi vers lui et ne parlons même pas de la courbe de son dos et du creux qu'elle donnait à ses reins. Décidément, elle était déterminée à le faire craquer. Sans attendre Lewis se présentait à elle, la titillant de son sexe, excitant davantage son bouton du bonheur. Et enfin, un soupire comme de soulagement passait les lèvres de la brune lorsqu'il entrait en elle, la pénétrant lentement mais sûrement. Dieu que c'était bon! Rapidement elle s'habituait à sa présence, il faut dire que les préliminaires avaient bien aidés à ce que ce soit facile et rapide. Se mordillant la lèvre, elle l'accueillait avec plaisir, se remettant très vite à gémir sous ses mouvements de reins. Se courbant un peu plus, elle donnait à leur union un angle propice au plaisir partagé, ce qui la fit davantage gémir. « Oh Lewis, t'arrêtes pas! » Chaque coup de reins, chaque va-et-viens faisait monter le plaisir entre ses reins, la faisait s'exprimer un peu plus. Elle n'avait jamais été adepte des paroles pendant l'acte, mais elle avait bien du mal à se retenir de lui dire de continuer encore et encore, de ne pas s'arrêter, d'aller plus vite ou plus lentement. Elle s'en mordait les lèvres tellement elle adorait ce qu'il était en train de lui faire subir. Elle prit même le temps de glisser sa main sous elle, titillant tantôt son bouton de rose, tantôt le pénis de son compagnon pour le rendre encore plus fou. Après quelques minutes d'intenses pénétrations, elle se redressait, se mettant à genoux contre lui, l'obligeant ainsi à ralentir sans pour autant couper le contact entre leurs corps. « Je t'ai peut-être sous-estimé finalement. » Riant un peu, elle prenait le temps de caresser ses cuisses, de s'y aggriper parfois, de gémir à son oreille en balançant sa tête en arrière contre son épaule. Sa main restait taquine, caressant son sexe au rythme de ses assauts, l'excitant un peu plus. Elle savait que rares étaient les femmes à faire ce genre de choses, à entourer leurs doigts autour de la virilité de leur compagnon pendant la pénétration pour leur donner encore plus de plaisir par cette sensation de profondeur. Elle espérait que ça le plaisait. Et puis finalement, après quelques minutes, elle décidait de changer de position, obligeant Lewis à s'allonger sur le lit. « J'espère que tu n'as pas cru que j'allait te laisser le pouvoir tout le temps. » S'installant à califourchon sur lui, elle voulait prendre le temps, elle voulait que ça dure. Alors pour calmer un peu le jeu, elle n'avait pas de suite procédé à l'union, préférant caresser son sexe lentement de sa main, titillant son extrémité de son pouce pour lui donner quelques frissons de temps en temps. Et finalement, elle prenait les rennes de leur jeu dangereux, reprenant là où ils en étaient, faisant pénétrer son sexe dans le sien et commençant d'ors et déjà à monter et descendre le long de son sexe durci par tant de plaisir.

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    Re: NIGHTCALL + JANE

    Mar 16 Sep 2014 - 16:06
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    La température monte à une allure folle dans cette chambre spacieuse et je dois admettre ne pas être certain de pouvoir y aller en douceur, qu’arrivera-t-il si ses gémissements réveillent son père ? Je crois me souvenir de ce détail qui m’a paru insignifiant lorsque nous avons convenu d’un petit rendez-vous chez elle mais à présent je le prends largement en compte. Voyez-vous, je n’ai pas envie de me prendre un coup de fusil par un père possessif qui, réveillé en plein milieu de la nuit, pourrait croire que sa fille est en train de se faire violer ou pire encore. Je suis prêt à réfréner cette ardente envie de lui faire l’amour mais lorsqu’elle encercle ma verge bien réveillée de ses doigts habiles pour la recouvrir d’un préservatif et qu’elle s’offre de la sorte à moi je n’ai juste plus la force pour lutter. Comment lui résister alors qu’elle me tend un corps parfait contre lequel j’ai envie de me coller, mon corps tout entier réagi à cette simple vue et j’oublie totalement l’idée du père qui débarquera, alerté par des grognements très félins, je m’en fiche, la seule préoccupation que j’ai à présent c’est de lui faire l’amour dans les règles de l’art. Je désire une communion parfaite, il n’est plus question de maitrise ou de séduction, il s’agit à présent d’un tout autre exercice qui requiert d’être au meilleur de sa forme et d’avoir le sens du mouvement, une lutte intérieure se prépare, je vais la combler comme jamais. Je crois ne pas avoir désiré quelqu’un depuis énormément de temps, il faut dire que Jane n’y va pas avec le dos de la cuillère, elle utilise son corps comme un outil de séduction fatal, elle m’aguiche de la plus excitante des manières. Je n’ai plus envie de perdre de temps, je la cherche un instant en laissant onduler mon pénis très en formes aujourd’hui le long de cette partie d’elle que je suis sur le point de découvrir de la plus intime des manières. Je m’immisce en douceur, avec tendresse pour qu’elle puisse tout d’abord s’habituer à ma présence avant de passer aux choses sérieuses. « Oh Lewis, t'arrêtes pas! » Qu’elle se rassure, je ne compte pas renoncer, nos corps se sont habitués à la présence de l’autre et il est temps de passer aux choses sérieuses. Mes deux mains remontent le long de sa colonne vertébrale et s’arrêtent de chaque côté de ses épaules, je me trouve un appui stable qui me sera utile pour pouvoir la pénétrer plus en profondeur. Cette sensation est exquise, je renais tel un phénix en elle, je n’ai plus qu’à prendre mon envol à présent. Jane me surprend à nouveau lorsque je sens sa main effleurer du bout des doigts mon pénis lorsqu’il entre et ressors légèrement de son vagin, je me sens en elle comme chez moi et cette nouvelle sensation le long de mon membre me fait perdre les pédales. Je grommelle de plaisir, mon souffle est bien plus court à présent, j’halète comme un animal bien que ce soit plus discret… Elle me comble à la perfection et j’ai envie de tout donner pour qu’elle puisse en avoir pour son argent. « Je t'ai peut-être sous-estimé finalement. » Elle se redresse sans briser cette union charnelle des plus délicieuses, elle est envoûtante, la plus sensuelle des créatures au monde et même si le rythme est influencé par cette nouvelle position j’en profite pour me montrer plus doux dans mes mouvements, il n’est plus question de briller par l’ampleur mais plutôt d’explorer avec sensualité son corps. « Et tu n’as encore rien vu ! » Je me colle à son dos et mes lèvres se perdent le long de son cou en rythme avec mes doigts qui dévalent son corps parfait pour s’attarder sur son bouton que je titille en prenant soin de la surprendre parfois en étant plus brutal dans l’un de mes coups de reins. Sa main entoure mon pénis et je me sens terriblement à l’étroit, elle ne profite pas seulement de ce que j’ai à lui offrir, non, Jane prend à cœur de me mettre dans le même état qu’elle et je peux vous assurer qu’elle a réussi. Je suis plus à fleur de peau que jamais. Soudain elle m’arrête pour m’obliger à m’allonger sur le lit, elle m’offre une pause plus que bienvenue, avec tout ce qu’elle me donne j’aurais eu tendance à être pris par une faiblesse qui ne m’aurait pas servi, j’ai envie que notre danse se poursuive pour des heures et des heures encore, jusqu’à ce que l’épuisement soit le seul moteur qui nous entraine à contrecourant. « J'espère que tu n'as pas cru que j'allais te laisser le pouvoir tout le temps. » Je me mordille la lèvre et étouffe un gémissement lorsque son doigt se perd le long de ma longue verge. « J’espérais que non, ma petite amazone ! » Je ne tiens plus, elle me manque déjà beaucoup trop et je pense qu’elle l’a compris puisqu’elle ne tarde pas à s’aventurer le long de mes cuisses pour mener mon sexe à bon port. Elle prend son temps et a me rend fou, mes mains agrippent ses fesses bombées pour que je puisse avoir de quoi la guider et y aller plus fortement. Je claque parfois mon bassin contre le sien pour aller plus loin encore, pour augmenter la cadence et ne pas lui laisser tout le travail. Ces sensations sont parfaites, le temps semble s’être arrêté de tourner, nous avons l’éternité devant nous. Je me redresse pour pouvoir atteindre ses magnifiques seins, ma langue se perd le long de ces derniers, je mordille le bout de ses tétons, toujours plus encouragé par ses gémissements.

    Re: NIGHTCALL + JANE

    Mer 1 Oct 2014 - 3:42
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    Adélaïde Sullivan
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    Qu'on se le dise, ces deux-là avaient été fait dans le même moule, sexuellement parlant. Elle ne le connaissait pas plus que ça - et c'était probablement regrettable d'ailleurs - mais elle se savait sur la même longueur d'ondes que lui concernant le sexe. Tous deux avaient une vision similaire de l'acte. Au début, entre eux, c'était un jeu de séduction, de compétition même si on peut dire ça comme ça. Et finalement, très vite, la conception de la chose avait changée, se transformant plus en plaisir mutuel qu'en concours de celui qui fera craquer l'autre en premier. C'était totalement ça. Jane ne cherchait pas à faire craquer Lewis en premier, simplement à le combler. On ne pouvait pas dire que de son côté elle faisait l'amour, ce n'était pas vrai, elle baisait tout simplement, mais elle avait ce goût du partage, cette envie de donner son maximum pour que Lewis puisse se souvenir de cette nuit comme d'un agréable moment partagé à deux et non pas comme une nuit où il a pu se vider les couilles le plus vite possible. Jane avait le goût de l'effort et de la satisfaction d'entendre son partenaire prendre son pied. Alors oui, instinctivement elle prenait une inclination encline à leur donner du plaisir à tous les deux, à augmenter cette sensation de frottements divins, presque transcendants. Elle ne manquait pas d'exprimer son plaisir, d'autant plus lorsque les mains du beau brun remontaient sur son dos, la frôlant de ses doigts, maitre de ses frissons. S'accrochant à ses épaules, Lewis avait bien compris que le plaisir d'une femme était aussi bien dans l'art de la vitesse que celui de la profondeur et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il la pénétrait pleinement, lui arrachant un gémissement à en faire réveiller les morts... fort heureusement son père était équipé pour ne rien entendre et elle pouvait s'exprimer autant qu'elle le voulait sans prendre de risques, en principe en tout cas. Pendant quelques minutes elle subissait, passionnément. Et finalement elle avait décidé de se redresser, l'obligeant à ralentir dans le rythme tout en lui laissant le loisir de la combler sensuellement. Et c'est ce qu'il fit, la faisant soupirer aussi sensuellement que tendrement lorsque ses lèvres s'abattaient dans son cou tandis que sa main s'adonnait à la tuer à petit feu, caressant son bouton de rose déjà fort excité.

    Mais la jeune femme refusait bien entendu de se laisser surprendre aussi facilement. S'il pouvait la toucher comme bon lui semblait, elle ne se gênait pas non plus d'user de ses mains expertes, provoquant son pénis, lui donnant encore plus d'effet de profondeur en l'entourant de ses doigts à la sortie de son intimité. Ils auraient pu continuer ainsi pendant des heures durant, a faire monter le plaisir très lentement jusqu'à l'apothéose. Mais Jane ne serait pas Jane si elle le laissait faire. Alors forcément, elle avait repris les rennes, telle la panthère qu'elle peut parfois être. Elle avait faim de lui, de ses accoues ravageurs, de ses vas-et-vient bestiaux alors elle l'avait forcé à s'allonger, lui accordant avant tout une pause, pour mieux l'exciter de ses mains finalement. Profitant de ce court instant pour repousser ses mèches de cheveux qui lui collaient à la peau, elle se décidait finalement à ne faire plus qu'un avec lui, se plaçant à califourchon sur sa proie. Dieu ce que c'était bon de pouvoir le sentir en elle! Elle était comme ça Jane. Dès qu'elle goûtait à cette sensation divine, elle ne pouvait s'en passer bien longtemps jusqu'à ce que l'orgasme lui explose à la figure. Et elle comptait bien les mener sur ce chemin, si elle était capable, après tout l'orgasme n'a rien d'automatique et ne prouve absolument rien. Bref. Quoi qu'il en soit elle s'adonnait à se mouvoir contre lui, provoquant tantôt des pénétrations lentes, tantôt rapides. Ses gémissements reprenaient de plus bel, brisant le silence et résonnant dans cette nuit de plaisir. Tous ses sens étaient à l'affut. Sa bouche goûtait à ses lèvres sans contrefaçon, ses doigts caressaient sa peau moite et s'y accrochaient parfois, son nez se complaisait à humer son parfum qui lui faisait tourner la tête - a moins que ça ne soit le plaisir -, ses yeux aimaient voir le plaisir sur son visage et enfin ses oreilles avaient plaisir à entendre le claquement sauvage de leurs bassins et les manifestations de Lewis. Lorsque la bouche du jeune homme vint alors titiller sa poitrine, elle ne pouvait s'empêcher de balancer légèrement la tête en arrière. Il reprenait le dessus sur elle, légèrement. Griffant très légèrement ses épaules, elle le laissait faire quelques minutes avant de revenir reprendre ses lèvres passionnément, sensuellement. Elle savait qu'elle allait bientôt craquer, perdre le contrôle d'elle-même pour mieux se laisser bercer par l'accomplissement de leur union. Par conséquent, elle savait très bien qu'elle ne serait pas capable physiquement d'éprouver une telle chose. Alors stratégiquement, elle se retirait de ses bras pour mieux s'allonger à son tour, face à lui, toujours à genoux. Tout en le regardant de façon lubrique, elle portait sa main à son intimité, elle titillant un peu avant de laisser quelques doigts s'y glisser. « Achèves-moi Lewis! » Elle lui montrait le chemin à prendre. Oui, qu'il la fasse jouir, qu'il la prenne jusqu'à ce qu'elle en puisse plus, jusqu'à provoquer un orgasme, c'est ce qu'elle espérait en tout cas.

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    Let your arms be a place
    she feels safe in

    Re: NIGHTCALL + JANE

    Sam 1 Nov 2014 - 16:00
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    Nightcall

    Je fonctionne à ma manière lorsqu’il est question de relations sexuelles. Pour avoir côtoyé pas mal d’hommes dans ma vie j’ai très tôt compris qu’il était important de ne pas seulement se concentrer sur son propre plaisir. Y aller comme un bourrin et cracher la sauce en cinq minutes chrono pour bien se vider les couilles et aviser ensuite ce n’est pas la solution pour vraiment prendre son pied. Je ne suis probablement pas le mec le plus doué au monde lorsqu’il est question de partager un moment intime et charnel mais je pense honnêtement plutôt bien m’en sortir. J’alterne entre mon propre plaisir en y allant plus brutalement et celui de ma partenaire en m’attardant plus langoureusement en elle, en m’immisçant plus en profondeur et en me servant de l’intégralité de mon corps. Car oui, le sexe n’est pas juste une question de pénétration, les caresses, les baisers, le regard… Tous ces éléments entrent en compte pour former un moment unique et je pense que j’ai trouvé la partenaire idéale ce soir. Nous fonctionnons tous les deux de la même manière et c’est surement pour cette raison que nous avons vraiment très rapidement abandonné la notion de séduction pour se concentrer sur l’exercice de style que nous maitrisons le plus. Les plaisirs charnels ! Et que dire là-dessus si ce n’est que je suis comblé ? Dès les premières minutes, les premiers vas et viens j’ai compris qu’entre nous ça ne s’arrêterait pas à un vieux plan cul dépassé et révolu avant même d’avoir commencé. Il y a un effort commun, une communion qui rend l’exercice d’autant plus apetissant. Elle m’excite, m’aguiche d’une manière inattendue en entourant ma verge bien réveillée de sa main pour me donner un effet délicieux de profondeur. Quel mec ne serait pas aux anges à ma place ? Personne et je dois d’ailleurs parfois m’empêcher de participer pleinement à l’exercice pour ne pas prendre de risques, il n’est pas le moment de se laisser submerger et de tout envoyer… Non, je compte bien faire durer le plaisir et la petite pause qu’elle m’impose en s’éloignant de ma verge m’est bénéfique, revigorante.

    Si je me suis montré pleinement dominant pendant la première partie de cet acte passionnant et sensuel à souhait Jane n’est pas en reste pour autant. Elle me comble, me chevauche comme très peu de femmes l’ont fait avant elle, m’inspirant bien plus que du plaisir. Ma respiration est entrecoupée par nos embrassades, mes mains se veulent conquérantes et inspectent avec douceur chaque petite parcelle de sa peau brûlante et que dire de sa fabuleuse poitrine sur laquelle je m’arrête pour une célébration à la hauteur de sa beauté. Mes dents parfaitement alignées s’amusent à mordiller l’extrémité des tétons de ma charmante partenaire et ses griffures sur mes épaules ne font que m’exciter davantage encore. La douleur au lit n’est pas forcément signe d’une perte de libido, au contraire, elle ne fait que de verser de l’huile sur un feu qui ne tardera pas à nous mener à l’explosion finale. Mais pas ainsi, pas de cette manière et elle l’a aussi bien compris que moi, il est temps que je reprenne les rennes pour nous offrir un final convenable et endiablé. « Achèves-moi Lewis! » Elle va me rendre fou, Jane se caresse, ses doigts empruntent le chemin dans lequel je me sentais comme chez moi quelques secondes plus tôt et préparent le terrain pour que je puisse y assouvir nos besoins à nouveau. Mon sexe est dur comme le fer, humidifié par le plaisir que nous partageons tous les deux. « Viens-là ! » Sans demander mon reste je glisse mes mains au-dessus de ses hanches pour la ramener contre moi et lui surélever le bassin. Je la soulève à la force de mes biceps pour l’aider à s’installer, ce n’est pas la position confortable mais je sais par expérience que la chaise longue a toujours fait son petit effet, notamment pour provoquer l’orgasme féminin. Je prends le temps de me trouver de confortables appuis et laisse pendant ce temps le bout de mon gland frotter contre son bouton que j’ai déjà longuement mis en feu. Je décide d’ailleurs de me cambrer pour pouvoir à nouveau glisser ma langue contre ce dernier, lui mettre le feu avant de mieux la retrouver, ma langue flirte rapidement contre ses lèvres. La patience n’est malheureusement pas mon fort et je me redresse, m’asseyant sur mes chevilles pour pouvoir plaquer mon bassin contre le sien et retrouver le chemin du paradis en douceur.


    Re: NIGHTCALL + JANE

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