ALICE M. COLLINS
27 ANS
AMÉRICAINE
DANSE ET THÉÂTRE
BISEXUELLE
CÉLIBATAIRE
AMÉRICAINE
DANSE ET THÉÂTRE
BISEXUELLE
CÉLIBATAIRE
FEAT. EMILY DIDONATO
PARTIE I - LE CORPS SAIN ...
Alice est née à New-York et vient d'un milieu modeste. Son père est décédé dans les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Elle a trois frères (Solomon, Leonard et le petit dernier, Elliott).
Elle est arrivée à Los Angeles à l'âge de dix-neuf ans après avoir parcouru le monde en baroudeuse pendant un peu plus d'un an.
Elle est la chef des Alpha Bêta.
Ses plus grandes passions sont aussi ses études : la danse et le théâtre.
La mode, le style, ce sont des choses importantes pour Alice. Elle n'est pourtant pas toujours à la pointe des dernières tendances, mais cela ne l'empêche d'être sans cesse ultra vigilante sur ce qu'elle achète et porte. Les erreurs de goût ? Non ce n'est pas Alice. Elle se vante à qui veut l'entendre que dans sa penderie, rien n'est à jeter. Et en parlant de cette penderie, elle se remplit très vite, trop vite. On y trouve en majorité des tenues féminines, à la fois branchées, chics et confortables. La belle Collins a beau prôner l'élégance et le style, cela ne la fera jamais porter des vêtements étriqués, désagréables à porter. Un grand nombre de robes donc, de jupes, mais aussi de jeans, pantalons en coton, shorts... C'est simple, il y a de tout. Si elle préfère un t-shirt à une chemisier, vous en trouverez quand même sur une étagère et certains d'entre eux sont même très classiques. Vous l'aurez compris, Alice n'a pas un style prédéfini, ce qui compte pour elle c'est que tout soit bien assorti et tant qu'à faire, si cela peut-être un peu tape-à-l’œil... L'Alpha Bêta aime se servir de ses vêtements pour attirer les yeux, qu'on se le dise. Pour ce qui est des accessoires... Oh, vous en trouverez par dizaines dans l'un des tiroirs de la penderie. Des colliers, des bracelets, des boucles d'oreilles, des épingles et élastiques pour les cheveux, des bagues... Tout y est, absolument tout. Pour ce qui est des sous-vêtements ? Là encore, vous seriez surpris de la diversité des styles et des couleurs. Il faut tout de même reconnaître qu'elle préfère le coton à la dentelle. C'est bien plus confortable. Et il lui arrive de porter des ensembles non assortis, uniquement lorsqu'elle est certaine de ne pas finir au lit avec Untel ! Ah et dernière chose, sa couleur préférée ? Le rose sous toutes ses nuances.
Rien à lui reprocher à ce niveau. Alice aime sentir bon et est une fille qui jure par l'apparence, alors croyez-vous vraiment qu'elle se laisserait aller à oublier de se doucher ou de se brosser les dents ? Voyons ! C'est une Alpha Bêta digne de ce nom ! Dans sa douche, vous trouverez une multitude de produits féminins aux parfums plutôt sucrés et fruités que floraux.
Par chance et malgré son aspect gringalet, Alice n'a jamais été abonnée aux rendez-vous chez le médecin. Sa passion pour la danse aurait pu favoriser les accidents mais là encore, la demoiselle touche du bois. Hormis une ou deux entorses par le passé, rien n'est à signaler de grave.
Dès ses premières années de vie, tout du moins dès lors qu'elle sut parler et marcher, Alice a toujours été une petite fille très, très fille. Comprenez par là qu'elle était le genre à n'écouter que des musiques de filles, à danser dès qu'elle le pouvait et même à prendre des airs de princesse lorsqu'elle discutait, juste pour que son apparence soit la plus digne possible. Une enfant caractérielle et inépuisable, voilà ce qu'elle était. La danse, pour exprimer tous ses sentiments et émotions, et Dieu sait qu'elle en avait en elle, la danse pour la défouler, tenter un tant soit peu de la fatiguer. Cela a fait sens très tôt chez elle. Elle avait besoin d'un sport qui puisse à la fois la canaliser et la libérer.
Le théâtre, c'est sa seconde option. Si vous avez cerné la personnalité d'Alice, vous avez compris qu'elle est une fille très bavarde, avec beaucoup de choses à raconter. Cette activité lui permet simplement de pouvoir jouer des rôles (à cela elle a toujours pris un malin plaisir) et encore une fois de s'exprimer au devant de la scène, face à un public qu'elle veut voir se lever et l'acclamer. Elle n'a pas peur de le dire et l'assume, son besoin vital à elle, c'est d'être apprécié, de battre de l'aile et de briller.
En dehors de l'université, elle donne un cours hebdomadaire de danse pour les adultes débutants dans une petite école de danse de quartier. C'est un moyen pour elle de se faire un peu d'argent en prenant du plaisir. Il n'y a pas à dire, elle est complètement épanouie dans ce qu'elle fait.
La première chose à savoir, c'est qu'Alice n'est pas une fille soumise qui adore se laisser manipuler pendant les ébats sexuels. Elle adore prendre le contrôle des choses pour des raisons inconnus. Peut-être est-ce encore pour se prouver des choses ? Quoi qu'il en soit, elle n'a pas peur de prendre le devant, que ce soit avec un homme ou une femme. Pas coincée pour deux sous, vous pouvez lui proposer telle ou telle pratique, elle sera rarement contre, tant que cela ne touche pas son intégrité bien sûr. Ce qui est certain, c'est que la jeune femme aime autant s'amuser au lit que se perdre dans les bras d'un amant à cause d'une effusion de sentiments importantes. Elle est comme ça, Alice, à vivre à deux cents à l'heure les choses. Et au pieu, elle est libre et libérée, cela ne changera jamais, les concessions à ce niveau, très peu pour elle. Vous aurez d'ailleurs beaucoup de mal à la convaincre de se la jouer Ana Steele, je vous aurai prévenu !
Pour ce qui est de la fréquence... Je n'irais pas jusqu'à la décrire comme nymphomane mais il est sûr qu'elle aime avoir une activité sexuelle plutôt régulière. C'est assez important pour elle et cela fait partie de son épanouissement. Elle a eu un certain nombre d'aventures mais ses histoires sentimentales se comptent sur les doigts d'une main. Ses préférences ? Les bruns aux aux yeux bleus, musclés comme des semi-dieux. Les blondes féminines et pulpeuses, pas maigrichonnes comme elle. Mais comme on dit, il faut bien des exceptions.
En tout cas, quand elle est amoureuse, Alice serait à la limite de vouer un culte à l'être aimé. La polyandrie, très peu pour elle, elle en aurait une sainte horreur et serait prête à
PARTIE II - L'ESPRIT, MALSAIN ...
La famille Collins n'a jamais été croyante et Alice n'est pas une exception. Elle serait même assez virulente à propos de la religion, comme pour un bon nombre d'autres débats, compte tenu des faits de société actuels. N'allez pas croire qu'elle est du genre à aller vers les gens pour leur dire que leur foi est mauvaise, non je dirais juste qu'elle a un avis très aiguisé sur cela en général. Selon elle, cela n'aide en rien concrètement, de croire en un dieu et à grande échelle, cela engendre même des actes barbares. Sans doute faut-il préciser que son père est décédé il y a quatorze ans, lors des actes terroristes à New-York, parce qu'il travaillait en haut de l'une des deux tours. Depuis, elle peine parfois à être objective, bien malgré elle. Ne pas faire d'amalgames dangereux, elle essaye, vraiment, mais c'est parfois difficile.
Alice est assez contradictoire. En un sens, elle prône un esprit sain dans un corps sain, après tout pour sa future carrière de danseuse c'est à ses yeux essentiel. Vous ne verrez jamais fumer, ni se droguer, cela représente pour elles deux bêtes noires. Pourtant, elle adore vivre sa vie à fond et expérimenter les sensations fortes. Cela passe parfois par des décisions un peu risquées, des actes dangereux. Charly Von Bodman l'a tout de même convaincue un soir où elle broyait du noir de consommer un peu, pour se sentir mieux. Cela coulait de source qu'elle allait accepter, parce que son état d'esprit était au plus mal, parce que Charly lui a proposé cela sous la forme d'un challenge et ça, voyez-vous, ça ne valait pas un refus, certainement pas de sa part. Alice est une fille qui est fière d'avoir un train de vie sain, c'est important pour elle, cela dit elle ne dit pas non, quand les conditions y sont (trop) propices, à du piment fort. Certaines personnes pourront en témoigner. Elle n'est pas non plus le genre de fille à se taire pour faire plaisir aux autres. Si elle a quelque chose à dire à quelqu'un, quoi que ce soit, elle ne se gênera pas et sera même parfois ravie d'avoir mis cette personne dans l'embarras. C'est qu'elle peut être une véritable peste quand elle a quelqu'un dans le collimateur.
Los Angeles représente pour elle la chaleur, la joie de vivre, la légèreté, l'amusement. Cela ne fait aucun doute qu'elle aime cette ville. De toute façon, le plus important pour elle c'est l'activité. Envoyez-la au fin fond du Texas et vous la verrez crever de solitude sous vos yeux, cela ne sera vraiment pas beau à voir. Non ce qu'il lui faut elle, c'est que ça bouge, un train de vie à deux cents à l'heure, pour ne jamais s'ennuyer. Cela dit, aucune ville ne sera jamais plus chère à son coeur que New-York, la ville d'où elle est vient. La grande pomme l'a vu naître et c'est là qu'elle a grandi entourée de ses trois frères, de ses deux parents quand son père George Collins était encore en vie. La famille est très importante pour Alice, c'est même d'ailleurs la chose la plus importante à ses yeux, alors tous les souvenirs qu'elle a de cette ville, elle les considère forcément comme les meilleurs. Une famille qui était unie, plus forte que tout avant que le drame n'arrive. Une ville qui est aussi belle, puissante, riche en culture. En résumé, une ville où elle se verrait bien retourner vivre d'ici quelques années.
Outre la danse et le théâtre, la brunette aime beaucoup se dépenser en allant courir pendant une petite demi-heure de temps en temps. Faire les boutiques la journée, sortir avec ses amis le soir, s'inventer un nouveau monde avec sa meilleure amie Riley, aller faire un tour de moto avec l'autre meilleur Snow, partir à la recherche des meilleurs potins de l'université, se tenter à la cuisine (même si cela s'avère souvent être un échec), éprouver des sensations fortes dans des parcs d'attractions, aller au cinéma, regarder des films à l'eau de rose quand ça la chante, se faire une beauté devant sa glace, faire des défilés de fringues avec ses amies fashionistas, dévorer une pizza ou un pot de glace à pas d'heure, boire cul sec un bon shot de vodka... Tout ça, elle adore.
PARTIE III - LIENS RECHERCHÉS
Avec une insupportable vanité, elle s'était imaginé pouvoir sonder le cœur de tout le monde. Les évènements avaient montré qu'elle s'était complètement trompée. Austen