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    'Cause you're all I need [pv]

    Sam 28 Fév 2015 - 23:54
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    "Debbie" Michaels
    'Cause you're all I need [pv] A3VEaib
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    Études & fraternité/sororité : Master de Journalisme à UCLA
    Résidence : Une maison familiale à Santa Monica avec sa fille et son neveu.



           

       
    Peter & Debbie
    Why am I so emotional ?
    Elle regarde les flocons tombés lentement sur le sol. Un livre d’Oscar Wilde sur les genoux, elle se demande pourquoi tout le monde est si « heureux » de passer à la nouvelle année. Debbie ne savait pas ce qu’elle ferait ce soir, elle sait simplement qu’elle doit rejoindre un groupe d’amis chez Sydney, sa meilleure amie. Elle ne les connait pas plus que ça mais Debbie fait confiance à son amie. D’ailleurs, Sydney voulait lui présenter son nouveau petit copain, depuis le temps qu'elle en parle. Deborah se demandait qui était donc celui qui avait réussi à faire flancher Sydney - ne voulant se fier aux propos sûrement exagérés de son amie. Elle ne connait que son prénom : Peter, pour le reste, elle verra au moment venu, elle se fera son avis comme à chaque fois. Sa mère la sort de ses réflexions.

    Depuis que son grand-frère est partie sans donner de nouvelles ou même dire où il est parti, les parents de Deborah se montraient bien plus gentils et libres avec elle. Ils avaient peur de perdre un autre de leur "bébé" dans la nature. L’adolescente regarde sa mère, elle cache quelque chose dans son dos mais elle n’arrive pas à distinguer ce que c’est. Maman, tu caches quoi ? lui demande-t-elle innocemment. Sa mère lui tend le petit sac en carton et la jeune femme le prend. Une boite, rien que ça ? C’est le choc quand elle voit alors une jolie robe blanche avec un joli ruban rouge en dessous de la poitrine.


    Elle est magnifique, n’est-ce-pas ? Deborah se tourne sur place sous le regard ébahie de sa meilleure amie qui ne lui a même pas laissé le temps d'entrer pour l'admirer. Tu es… splendide ! Ils vont tous tomber pour toi ! L’adolescente rougit à cette idée, elle en a même peur. Ce n’est pas le genre de fille qui chercher à draguer les garçons. Elle a plus envie de préserver son cœur pour le premier amour, pour le premier en bien des choses. Elle ne la simplement pas encore rencontré. Il n’y a personne quand elle entre, Deborah était la première, normale, entre meilleures amies, on se serre les pouces ! La soirée peut commencer.


    Sydney est folle dans sa tête, tellement heureuse de pouvoir organiser ce nouvel an chez elle. Deborah est à cran et préfère lire dans la chambre de sa meilleure amie en attendant que tout le monde arrive. Elle préfère se fondre dans la masse, Sydney le comprends très bien. Deborah recoiffe légèrement sa longue tresse qui tombe sur son épaule, décorée par des perles blanches et rouges. Elle sursaute quand Sydney frappe à la porte : Allez, viens, arrêtes de faire ta solitaire ! Et lâches ce bouquin ! Oscar Wilde posé sur la coiffeuse, elle tire Deborah au milieu de la foule. Deborah, il faut que je te présente, Peter, enfin !

    Debbie se retourne à la demande de Sydney et se retrouve électrisée par des yeux bleus. Elle a l’impression qu’on l’empêche de respirer, que son cœur cesse de battre. Il n’y a pas de mots pour décrire ce qu’il se passe exactement dans la tête de Deborah. Sydney parle, encore et encore, plusieurs personnes les ont rejoints mais Debbie n’arrive pas à décrocher son regard de cet homme. Elle se mord légèrement la lèvre avant d’annoncer timidement : Enchantée, Peter. Je vais aller boire un verre, pardon. Soudainement, sans raison. Elle quitte le petit groupe pour prendre un verre. Elle respire enfin… mais c’est encore déroutant.


           
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       - On ne voyait que le bonheur... -

    Re: 'Cause you're all I need [pv]

    Dim 1 Mar 2015 - 1:55
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    Peter L. Michaels
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    Orientation & situation : Toujours bisexuel, toujours refoulé, toujours célibataire. Divorcé de Debbie Michaels, plaqué en 2020 par Lysander E. Foster.
    Métier/occupation : Romancier de renom et consultant sur le plateau de tournage de BLACK wives.
    Études & fraternité/sororité : Anciennement: critique littéraire & musicale à Entertainment Today (LA), peintre amateur. Pas d'études supérieures.
    Résidence : Luxueux penthouse (Downtown), où il réside actuellement avec sa fille, Kimberley Michaels
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    Sydney. Un mot, Deux syllabes. Six lettres. Sydney. C'est harmonieux, n'est-ce pas ? Poétique, qui plus est. Et évocateur ... Tout comme celle qui le porte, à vrai dire. Ce soir, je suis habillé de façon un peu plus élégante que d'habitude. Maman m'a donné un peu plus d'argent afin que je puisse m'acheter une belle chemise, bien que Papa s'y serait opposé ... S'il avait été au courant de la transaction. Chemise bleue, pantalon noir, chaussures de ville aux pieds, j'entre dans la salle accompagné de Jake, mon meilleur ami, tandis que mes yeux, eux, parcourent chaque visage afin de la retrouver, elle. Sydney. Tout simplement parce qu'il n'y a qu'avec elle que je désire passer la nouvelle année.

    C'est assez drôle, lorsque l'on y pense : le début notre relation ne remonte pas à très longtemps, et pourtant, nous agissons déjà comme si cela fait une éternité que nous sommes ensemble. Pour tout vous dire, à Noël, elle m'a offert un stylo plume Mont Blanc, avec mon nom gravé dedans. Et moi ... Je lui avais offert un journal en cuir rouge, afin qu'elle puisse y noter toutes ses idées. Maintenant, nous fêtons le nouvel an ensemble. Chez elle. Et quand tous ses invités, tous nos amis partagés et respectifs prendront congés de nous afin de rentrer chez eux ... Je pense qu'il me suffit de dire que nous comptons très bien la commencer, cette nouvelle année. Oh ça oui.

    Un sourire se dessine sur mes lèvres lorsque je crois l'apercevoir au milieu de la foule. Faisant alors signe à Jake de me suivre, je me précipite à sa rencontre, enthousiaste à l'idée de pouvoir la retrouver. Cela ne fait que trois jours que nous ne nous sommes pas vus, et pourtant, j'ai déjà l'impression que cela fait trop longtemps. Me rapprochant d'elle, je prends grand soin d'approcher silencieusement, dans son dos, afin de m'assurer qu'elle ne se rendra pas compte que je suis déjà arrivé. Occupée à discuter avec une blonde sur laquelle mon regard ne s'attarde pas, je me pose derrière elle, attendant le moment opportun. Lorsqu'enfin, Sydney termine sa phrase, voilà que mes deux bras s'enserrent autour de sa taille dans que mon nez se met à jouer avec sa douce chevelure ondulante et enflammée.

    - Hey.

    C'est d'une voix calme et douce que je la salue. C'est de cette voix qu'elle trouve si séduisante que je lui fais part de ma présence.

    - Je t'ai manqué ?

    Sydney rit d'amusement. Elle me présente alors à la blonde, qui, visiblement, avait déjà entendu parler de moi. Souriant alors, je relève mon regard vers l'inconnue tandis que Sydney continue à me présenter à son amie.

    - Pete étudie la littérature anglaise, ils ont également Miller pour certains de leurs modules. C'est son élève préféré d'ailleurs, même si ni l'un, ni l'autre ne l'avouerait ! Je le sais parce que je les ai vus ensemble. Miller adore Pete, ça se voit dans la façon qu'il a de répondre à ses questions.

    Distraitement, les mots de Sydney entrent dans mon oreille droite ... Avant de ressortir aussitôt par mon oreille gauche. Figé, occupé à contempler son amie, je fais le vide dans mon esprit afin d'y faire un peu de place. Assez de place pour pouvoir y accueillir le souvenir de ses traits, si finement dessinés. J'enregistre d'abord sa chevelure, sa belle chevelure tressée. Puis, ses yeux et l'étendue de son front ...

    Je suis interrompu dans mes croquis mentaux lorsque l'inconnue me déclare être enchantée. Je lui souris alors et je m'apprête à lui tendre la main lorsqu'elle prend congés de nous afin d'aller "boire un verre". Confus, voilà qu'elle s'éloigne avant que je ne puisse lui adresser la parole. Regardant Sydney à nouveau, je déclare d'un ton neutre :

    - Elle n'a pas l'air de beaucoup m'aimer, ton amie. Tu lui as raconté beaucoup d'horreurs, sur moi ?

    Je plaisante, évidemment. Sydney n'aurait pas de raisons de me critiquer dans mon dos, si ... ? Et puis, si c'était le cas, pourquoi le ferait-elle avec ... Merde, c'est quoi son prénom, à cette blonde, exactement ? J'aurais peut être dû le lui demander.

    Re: 'Cause you're all I need [pv]

    Dim 1 Mar 2015 - 16:57
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    Peter & Debbie
    Why am I so emotional ?
    Deborah vient de vivre un terrible choc et au fond d’elle, une véritable déception. Sydney lui avait fait l’éloge du regard bleuté et charmeur de Peter, de son intelligence et surtout son goût pour la littérature anglaise. Deborah adorait aussi la littérature anglaise mais elle n’en a pas fait ses études directement. Elle préfère continuer à vivre la lecture comme une passion et non un travail. C’est bien là les pensées qui lui ont transmises les nombreuses paroles de sa meilleure amie mais Deborah voyait non pas seulement ses yeux, ses compétences qui ne sont pas encore prouvées à ses yeux, elle voyait aussi cette joie de vivre au travers de son sourire, ce romantisme qu’il mettait dans sa relation avec Sydney en la surprenant, c’est tellement adorable pour un garçon de notre âge. Sydney est devenu un son, une voix lointaine à ses oreilles.

    Cette contemplation en devient malsaine. Ses yeux finissent par s’intéresser aux traits physiques de Peter, les lignes de sa mâchoire si fines, si jeunes et pourtant on ressent une certaine maturité, l’expression extérieure de sa personnalité sans doute. Sydney était une fille si pétillante, il fallait bien quelqu’un de légèrement plus mature et tranquille pour la canaliser, qui partage la même passion qu’elle. Deborah est devenue en quelques secondes gênée par la présence de Peter. Elle n’arrivait pas du tout à comprendre pourquoi elle se mettait à le détailler de la sorte, à vouloir lire en lui comme on lisait un livre, à apprécier ce qu’elle découvrait à force d’observation.

    Et combien même elle espère s’en aller, elle capte ce sourire de sa part quand elle commence les politesses en rigueur. Elle sait qu’elle va mourir si elle ne s’en va pas. La table où est disposé le grand saladier contenant le ponch devenait alors le centre de son attention. Un étudiant était déjà présent et servait toutes les demoiselles qui souhaitaient un verre. Deborah n’était pas le genre de femme à accepter qu’on la serve, elle attend avec sa petite coupe qu’il se pousse pour la remplir et la vider automatiquement d’une traite. Sydney qui avait abandonné « Pete » pour aller aux côtés de sa meilleure amie afin de savoir pourquoi elle est partie.

    Qu’est-ce que tu nous fais, Debbie ? Pete croit que tu le détestes ! Deborah secoue négativement la tête pour contredire la pensée de ‘Peter’ à son égard. Ce n’est pas contre lui, simplement, je ne suis pas très à l’aise, tu me connais Sydney. Elle regarde Debbie avec sérieux. Elle sait qu’il n’y a pas un seul mot de vrai dans ce que dit son amie. Je crois surtout qu’il t’impressionne à force d’écouter tout ce que je dis ! Va le voir et pendant ce temps-là, je vais recharger le buffet, tous des goinfres ! Elle remplit le verre de Deborah et un autre qu’elle lui mets dans sa main libre. Debbie n’est pas du tout à l’aise, être poussée de la sorte alors qu’elle ne se remet de sa rencontre avec Peter que grâce à un verre entier de ponch.

    Et pour tout avouer, elle ressent déjà les premiers effets de l’alcool sur son corps. Elle a la sensation que ses joues sont un peu plus chaudes, ses pommettes sont en réalité un peu teintées de rosé. Le seul courage provient aussi de cette liqueur rouge et s’en recharge d’une gorgée tout en se glissant dans la foule jusqu’à l’objet de ses tourments. Ses pas sont lents car Deborah sent son cœur la lâcher à nouveau, ses doigts tremblent légèrement. Tout comme sa voix quand elle est enfin à son niveau : Pe… Peter ? murmure-t-elle dans l’espoir qu’il la déteste de s’en être allée, qu’il la congédie pour qu’elle n’ait pas à mourir à chaque seconde qu’elle passe à se sentir inférieure, à le contempler alors qu’elle ne le connait même pas. Elle ne sait même pas qu’il ne connait pas son prénom – Sydney est bien trop obnubilée par son amour qu’elle en oublierait ses amies ? Une voix dans sa tête lui donne du courage, elle se dit qu’à force de le connaitre, son estime pour l’étudiant va s’amoindrir.

    Après tout, il pourrait être différent que ce que la première impression offre à Deborah comme tentative de meurtre. Il pourrait se montrer décevant. On dit que la lumière est plus rapide que le son, en d’autres termes, l’image projetée est peut-être faussée de la réalité et qu’on s’en apercevra qu’une fois la discussion lancée. Debbie était bien curieuse, soudainement, de le connaitre. Elle se décide de faire les premiers pas car elle se refuse d’avoir peur de rencontrer un homme, de s’en rendre malade alors que c’est lui qui devrait avoir peur de son jugement. Elle se souvient alors de sa première « mission » auprès de Peter notamment, cette mission personnelle que connaissent toutes les meilleures amies : vérifier si le garçon qui nous fait fasse mérite bien l’amour de notre amie, s’il est gentil et pas seulement qu’en apparence. Deborah essaie alors de se remémorer tout ce qu’a pu lui dire Sydney à propos de Peter et se lance…

    A cœur perdu.

    Son bras se lève pour lui tendre la coupe remplie du liquide rouge dont la plupart des invités s’enivrent. C’est pour vous, Sydney me l’a do…nné… pour… Deborah comprends qu’il la rend complètement idiote, du moins, ce soir, on cherche à la rendre ridicule. Dans la main de Peter, elle constate un verre encore rempli de moitié de ponch. Elle a dû être devancée. Un petit rire pour évincer le ridicule de la situation et surtout alléger cette sensation étrange qui torture Deborah depuis qu’elle a posé les yeux sur Peter. Elle se retrouve comme une idiote à tenir deux verres. Pour quoi va-t-elle passer maintenant ? Elle qui ne buvait que lorsqu’on lui autorisait à une soirée d’anniversaire, de Noël ou encore à Thanksgiving. Ce moment est tellement désappointant qu’elle voudrait bien s’en aller de la fête. Tourner les talons en direction de la chambre de Sydney et terminer son portrait fictif d’Oscar Wilde.

    Deborah a tellement peur de ce qu’on va penser d’elle. De ce qu’il pourrait s’imaginer de son comportement. Elle pose le verre trop remplie sur le bord de la cheminé, support le plus proche d’elle puis elle se décide à se lancer : Qu’est-ce qui vous a fait aimer autant la littérature anglaise, Peter ? Premier pas. Première question. C'est un peu brutal mais elle l'a fait, c'est ce qui comptait pour Deborah. Elle espère que Sydney était fière qu'elle fasse ce premier pas vers lui alors qu'elle en est jamais capable avec qui que ce soit. Bien que Debbie ressentait comme de la gêne de penser à sa meilleure amie alors que Peter avait un effet inquiétant sur elle. Fort heureusement, elle ne le montrait pas. Elle souriait depuis tout à l’heure avec douceur, arrêtant de cacher sa gêne seulement quand celle-ci est trop intense à contenir pour son pauvre corps.



           
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       - On ne voyait que le bonheur... -

    Re: 'Cause you're all I need [pv]

    Jeu 5 Mar 2015 - 20:41
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    Bien que la réaction de la blonde m'ait quelque peu étonné, je ne suis pas déstabilisé pour autant. Mon regard s'attardant longuement sur Sydney et sur sa belle crinière flamboyante, je ne peux pas m'empêcher de la complimenter sur son apparence. Il faut dire qu'elle le mérite amplement : la connaissant, je sais qu'elle fait toujours méticuleusement attention à chaque détail de sa tenue. Aujourd'hui, cependant ... Même moi, je suis incapable de nier le fait qu'elle semble s'être appliquée davantage qu'à l'accoutumée.

    - Je tiens à préciser que tu es tout simplement ... Ravissante. Un véritable régal pour les yeux. Rapprochant mon visage du sien à nouveau, je me permets de lui chuchoter discrètement à l'oreille. ... Entre autres ... Ma main glisse alors le long de son épaule gauche, effleurant au passage la bretelle soyeuse de sa robe vert émeraude. En effet, si Sydney est merveilleuse bien habillée, je ne peux malgré tout pas m'empêcher de penser au plaisir que j'éprouverai lorsque je pourrai enfin la lui ôter, cette belle robe verte ...

    Vivement que la soirée se termine. J'en ai tellement hâte.

    Je commence alors à lui mordiller le haut de l'oreille, attendant la réaction tant espérée qu'elle a habituellement. Évidemment, cela ne manque pas. Voilà qu'elle se mit à rire légèrement avant de me repousser, quelque peu.

    - Pete, espèce d'animal ! Pas ici, nous ne sommes pas seuls ... ! Elle se retourne alors, me lançant un regard espiègle, presque complice. Un regard qui veut tout dire. Un regard qui signifie que si "ici" n'est ni le bon endroit, ni le bon moment, l'opportunité d'explorer nos corps mutuels arrivera bien assez tôt. Ce n'est donc plus une question de "si ?" ni même de "quand ?" mais tout simplement d'attente et de temps. Puis, je sens son regard se détacher de mon visage afin d'aller se porter sur ... Autre chose. Suivant la direction dans laquelle ses yeux s'étaient lancés, j'ai à peine le temps de remarquer la blonde que déjà, voilà que Sydney se met en marche, s'expliquant par un simple :

    - Je reviens.

    Et à présent, me voilà seul. Parmi une foule d'inconnus, perdu dans une véritable mare d'invités. Distraitement, j'observe Sydney et son amie, du coin de l'oeil, un sourire presque imperceptible se dessinant sur mes lèvres. Ah, Sydney ... Quand apprendras-tu enfin à accepter le fait que les autres puissent te dire "non c'est non" ? Cette pauvre jeune femme semble bien décidée à ne pas vouloir faire plus ample connaissance. Cela se voyait dans son intonation, dans sa façon de me regarder ... Mais surtout dans sa façon de disparaître au moment où moi, je venais d'arriver. Oui, je vois bien que son amie n'a pas spécialement envie de passer du temps avec moi et, pourtant, je suis intimement convaincu que c'est justement ce que Sydney essaie de la pousser à faire. J'interviendrai bien, mais je me dis que ce ne serait pas approprié. Alors, je soupire. Je croise mes bras et j'attends silencieusement.

    - Du ponch ?

    - Hein ?

    Me retournant alors, c'est à ma plus grande surprise que je me retrouve nez-à-nez avec Jake, que j'étais pourtant persuadé de ne pas revoir de toute la soirée. Le connaissant, il se serait immédiatement jeté sur toutes les belles célibataires présentes dans l'espoir de pouvoir fêter la nouvelle année dignement avec l'une d'entre elles. Pourtant, le voilà, en train de m'offrir du ponch. À ce stade, je n'essaie même plus de comprendre. Lui, réitère son offre, un sourire compatissant sur les lèvres.

    - T'as l'air d'un type qui a besoin d'un bon verre de ponch. Alors, qu'en dis-tu, Pete ? Tu prends ou je prends pour toi ? Il me fait alors un clin d'oeil, levant le verre rempli à rabord en ma direction comme pour m'inciter à le lui prendre des mains. Légèrement amusé, je le lui arrache presque des doigts avant d'en boire une grande gorgée.

    - Merci. Exactement ce dont j'avais besoin.

    - T'inquiète, Michaels, je gère. Je sais toujours ce qu'il te faut. Il n'a pas nécessairement tort. Portant alors sa main à son front avant de l'éloigner rapidement, il me salue avant de se faufiler au milieu de la foule à nouveau. Encore un peu ... Encore un peu ... C'est bon, il a complètement disparu de mon champ de vision. Maintenant, je peux affirmer avec certitude que je ne le reverrai pas de toute la soirée. Le contraire m'étonnerait grandement. Seul à nouveau, je m'apprête à jeter un oeil du côté de Sydney lorsqu'une voix timide m'interpelle et me force à me retourner, une deuxième fois. Il s'agit de ... Tiens, tiens. La fameuse blonde. Ce serait mentir que de nier la surprise éprouvée face au fait de la revoir de sitôt. Lui offrant alors mon sourire le plus chaleureux, je lui réponds, amusé :

    - En chair et en os ! À qui ai-je l'honneur ? S'il s'agit d'une des bonnes amies de Sydney, autant commencer par apprendre son prénom. Ce serait déjà pas mal, comme progression ... Non ?

    Elle me répond, puis commence à me tendre ... Un verre ... ? Contemplant avec indécision celui que je tiens déjà en main, je me demande quelle serait la réaction la plus adéquate à adopter. En effet, si je n'ai pas particulièrement envie que tous les potes de Sydney croient que je picole à longueur de journée, je me sentirais mal de devoir refuser le verre que cette jeune femme essaie de me transmettre avec tant d'efforts. Évidemment, Sydney est celle qui avait eu l'idée de le lui donner, ce verre de ponch. À présent, tout fait sens. Ah là là, cette Sydney ... Je l'aime à mourir, mais parfois, la logique de cette fille me laisse perplexe, pour rester courtois. À présent, son amie blonde, visiblement davantage gênée que lorsque nos regards se sont initialement croisés, est contrainte de se diriger jusqu’à la cheminée pour discrètement y déposer le verre de ponch. J’en ai presque mal pour elle. Alors je ne réfléchis pas. Je la suis, buvant d’une traite les restes du contenu de mon verre, et je lui dis discrètement :

    - T’inquiètes pas, j’ai très soif.

    Je dépose alors ma coupe vide contre le rebord de la cheminée, moi aussi. Puis, sans lui demander permission, voilà que mes doigts frôlent hâtivement les siens, le temps de s’enrouler autour du verre. Je le porte alors à mes lèvres avant d’en boire une petite gorgée. C’est décidé : lorsqu’elle aura le dos tourné, ce verre, je m’en débarrasserai. Je ne suis pas de ceux qui aiment consommer beaucoup d’alcool, et si je bois déjà une deuxième consommation, si rapidement, c’est davantage par courtoisie que par réelle envie.

    Lorsque Deborah se remet à parler, sa question me frappe avec force. Pour le coup, la voilà bien plus entreprenante et assurée. Voilà qu’elle me pose une question directe, concise et très personnelle … Alors que quelques secondes, elle n’osait même pas me regarder dans les yeux. Cette fille est décidément bien … Spéciale ? Différente ? Unique ? Oui, toutes ces choses là. Elle m’amuse. Elle m’intrigue.

    - Qui te dit que j’aime la littérature ? Je lui demande alors, un sourcil haussé avec malice. Je peux très bien étudier quelque chose qui m’ennuie profondément, après tout … Bien qu’évidemment, il est indéniable que je suis complètement fasciné par les mots de Shakespeare et de Wordsworth. Ma question rhétorique avait pour seul et unique but de la dérouter afin de mieux pouvoir m’exprimer par la suite. Certains me croiront bête, mais je me dois de l’impressionner avec les motivations qui m’ont encouragées à poursuivre la voie sur laquelle je me suis lancé. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai besoin de l’impressionner. Oui, bon, d’accord, j’ai toujours eu besoin de les impressionner …

    Mais elle, c’est encore différent.

    - Je plaisante. Je suis en effet passionné de littérature, et ce, depuis … Toujours, je dirais. Ma mère adorait me lire des histoires, plus jeune. Au collège, je me suis intéressé à Shakespeare. Puis, au lycée, j’ai eu droit à Keats, Hardy, Wordsworth … Et ce fut comme une révélation.

    M’interrompant alors, je prends une deuxième gorgée de ponch avant de tourner légèrement autour d’elle et de continuer, d’une voix plus passionnée, bien que tout aussi calme :

    - “Les mots sont plus dangereux que les armes.” N’as-tu jamais entendu cette expression ? Cela m’étonnerait que non. Si l’on y pense bien, les armes sont uniquement capables de blesser ou de tuer. Les mots, quand à eux, sont capables de bien plus …

    Humilier. Détruire. Discréditer. Démentir …

    Maîtriser les mots revient à maîtriser l’arme la plus puissante de l’univers. Un vocabulaire et une syntaxe maîtrisés sont, après tout, synonymes du pouvoir. Ce n’est pas avec les armes que l’on peut changer le monde, mais plutôt avec des paroles, des notions et des idées …


    M’interrompant brusquement, je la regarde droit dans les yeux. Puis, j’ajoute finalement :

    - Je ne sais pas si Sydney t’en a déjà parlé, mais j’ai l’ambition d’écrire un roman, un jour. Voire, même, plusieurs romans. J’ai toujours eu plein de choses à dire et j’ai envie de pouvoir m’adresser aux gens qui voudront bien m’écouter correctement. Pour ce faire, étudier les styles d’écriture les plus efficaces me semblait primordial. Non, je dirais même vital. Il est impossible de maîtriser l'écriture sans analyser les façons dont elle a été maîtrisée par le passé. Ce n’est qu’en voyant ce que les autres ont su faire avant nous que nous pouvons réellement partir sur des bases solides. N’es-tu pas d’accord ?

    Je lui souris alors, avec insistance, mon regard se posant ensuite sur sa robe noire et blanche …

    Noire et blanche …

    Je crois que je commence à avoir des idées.

    Re: 'Cause you're all I need [pv]

    Lun 16 Mar 2015 - 22:54
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    La future journaliste n’est pas vraiment excitée à l’idée de devoir retourner vers ce « Peter ». Simplement parce qu’elle ne comprend pas le désordre mental qu’il lui fait subir. Jamais personne ne lui a fait subir cela. Poussée par sa meilleure amie, elle fait donc les premiers pas et autant dire qu’elle a envie de s’enfuir dans la chambre de Sydney, s’y enfermer comme la princesse Rapuntzel dans le livre des Frères Grimm, au moins, personne ne viendrait la déranger durant sa lecture. Pas même les tortionnaires comme celui-là. L’étudiante se présente enfin. Peter n’est pas froissé du départ de la petite blonde alors qu’il en est la cause, de toute manière, elle pourrait nier que ce n’est pas de sa faute à lui, simplement, elle avait un peu chaud et Deborah avait ressenti le besoin de boire. Tous les prétextes sont bons. Mais finalement, pas besoin. Peter semble souriant et c’en est contagieux car Deborah s’autorise à répondre à ce sourire qu’elle trouvait… séduisant ?

    Son cœur bats dans sa poitrine, elle mit du temps à analyser la simple question de Peter. Elle finit quand même par lui répondre : Deborah… Deborah Prescott. Mais mes amis m’appellent Debbie. Selon Sydney, c’est plus mignon… Elle se risque à un petit rire. Pour l’effacer aussitôt lorsqu’elle se rend compte au moment où elle lui tend un verre, qu’il en a déjà un dans la main. Tellement idiote, elle voudrait s’en aller, pleurer davantage son incapacité à être une fille normale socialement. Être associable, c’est bien aussi. Pas de relations, quelques amis et encore, des gens fidèles et qui la comprennent. Mais impossible avec une amie comme Sydney de ne pas avoir un cercle d’amis étendu. Elle décide de poser le verre sur le bord de la cheminée, quelqu’un en aura certainement plus besoin que Peter. Mais au moment où elle tourne son buste pour repartir, une masse corporelle croise la sienne, la frôle sans pour autant la toucher.

    Peter a vidé son verre et décide de prendre celui qu’elle lui a apporté. Elle ne dit rien pour la simple et bonne raison que son âme a décidé de s’envoler pendant les quelques secondes où la main de Peter a frôlé la sienne et de revenir brusquement comme un réveil violent suite à un cauchemar horrible. Décidée à ne pas avoir confiance en cet homme qui détruit toute défense en elle, elle le confronte à ce qui est le plus « beau » à ses yeux pour elle : sa passion pour la littérature. Elle manque de rire quand il pense me faire croire que la littérature n’est pas sa passion. Deborah le regarde intensément, pas du tout impressionnée, encore moins perturbée. La blonde préfère sourire, amusée qu’il joue un peu avec elle. Et à vrai dire, elle est même certaine qu’il pourrait lui en parler durant des heures de son amour pour les écrits. Fait qui ne la dérangerait pas, en réalité. Il a une jolie voix.

    C’est alors qu’elle a la nette impression d’avoir enflammé une passion. Elle sent un regard sur elle, elle tourne légèrement son visage. Derrière Peter, il y a Sydney. Son regard se porte sur le petit-ami de sa meilleure amie mais elle sait que Sydney sourit autant que l’esprit de Deborah à voir Peter parler de premier amour : la littérature. Elle en a mal à la tête qu’il tourne, elle se sent… comme prête à tomber sur le sol. Peter a eu raison d’elle et pas seulement pour le fait qu’il aime vraiment la littérature. Il a réussi une chose avec son attitude qu’aucun homme n’a jamais réussi à tirer de la petite blonde : il l’a séduit. Debbie boit ses paroles et manque de rire quand finalement, il lui demande enfin mon avis. Je crois que je n’aurais pas eu de meilleurs mots pour affirmer cela. Sydney m’a tellement parlé de vous que je ne sais plus rien. Je redécouvre, à vrai dire. Puis enfin, elle regarde un peu plus sa meilleure amie et lui fait signe que tout va bien, pour l’instant. Parler de la littérature a adoucit son âme.

    Avez-vous des idées pour votre roman ? Si vous avez entamé le récit, je me ferais juge de votre talent si vous m’y autorisez. Je suis capable de donner des critiques constructives. A moins que vous aillez peur de ne pas supporter la critique si elle s’avère négative. Deborah ne sait pas vraiment à quoi elle joue, elle sait simplement qu’elle teste l’esprit de Peter. Voir ce qu’il est, s’il convient à sa meilleure amie. Une voix lui dit qu’il est parfait pour elle, trop parfait pour elle. Mais pour qui ? Il a de la culture, il est séduisant. Sans parler du fait qu’il adore les mêmes célébrités dans la littérature anglaise. Elle tente de cacher l’impact de Peter en finissant par se reculer de quelques pas, pour heurter son dos et ne plus manquer de tomber… tomber pour qui, pour quoi ? A cause de qui ? A cause de quoi ? Elle ne veut pas l’avouer. Elle ne dit plus rien, elle veut écouter… cette belle voix qui la transporte dans un monde qu’elle aime, une voix qui fait glisser les mots sur sa peau comme des caresses tendres et amoureuses.



           
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    Re: 'Cause you're all I need [pv]

    Lun 30 Mar 2015 - 12:32
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    Lorsque je lui demande son prénom, sa réaction me donne l'impression de lui avoir posé le problème d'arithmétique la plus difficile à résoudre. En effet, son hésitation me laisse perplexe. On pourrait presque croire qu'elle l'aurait oublié ! Mais assez pensé. Elle me répond après un temps, et mes pensées se remettent en marche. À nouveau, voilà que je suis en train de cogiter. Deborah ... Debbie ...

    - Enchanté de faire ta connaissance, dans ce cas là. Je lui tends alors ma main en signe de sympathie avant de sourire malgré moi lorsque son rire crystallin vient se perdre dans mes oreilles. Elle a vraiment un joli rire. Suivant cela, l'incident du verre de ponch se produit. En bon gentleman, je vide mon verre d'une traite avant de me permettre de prendre celui qu'elle venait de poser sur le rebord de la cheminée, consciencieux que cela ne se faisait pas de laisser une femme se sentir humiliée. Mes lèvres se trempent légèrement dans le cocktail contenu à l'intérieur de celui-ci tandis que dans mes pensées, je formule le voeu irrépressible de m'en débarrasser à la prochaine opportunité. Mon interlocutrice me demande alors de lui en dire davantage sur mon cursus et ma véritable passion, ce que je m'empresse de faire, mais uniquement après avoir effectué une timide blague censée tester les eaux. S'ensuit ensuite un discours verbal et passionné. Une description, une peinture abstraite de mes plus intimes pensées. S'ensuit alors un tableau de tout ce que je pense, de tout ce que je dis et de pourquoi je fais tout ce que je fais. Je lui décris mes motivations et mes objectifs jusqu'au moindre détail, désireux de l'impressionner, consciencieux que son avis sur moi est important, essentiel, même. Ce sera elle qui dira à Sydney si je suis un parti acceptable ou non, après tout. Les deux femmes me semblent proches ; c'en est même indéniable, à ce stade. Lorsque Deborah me répond, c'est d'un sourire espiègle que je ne peux pas m'empêcher de lâcher un simple :

    - Ah, Sydney ... Laissant mon regard terminer le fond de ma pensée. D'un oeil complice, je dévisage son amie, espérant trouver dans son regard une lueur confirmant le fait qu'elle aussi trouve son amie bien unique en son genre. Bien bavarde, lorsqu'elle le veut. Elle me demande alors si j'ai des idées pour mon premier roman et si je souris mystérieusement, le fait est que je n'en ai tout simplement aucune idée. Buvant hâtivement une nouvelle gorgée du ponch, comme pour masquer ma nervosité, je tente de lui répondre d'une voix assurée.

    - Des idées ? Oh, j'en ai plusieurs ... Rien de bien concret, cependant. Je m'entraîne avec des nouvelles, pour le moment. Lorsque je me lancerai dans la rédaction de ma première véritable oeuvre, cela dit, je suis persuadé que tu seras la première au courant. Les nouvelles vont vite lorsque l'on connaît une certaine Sydney, après tout ... ! Lui souriant à nouveau, je rajoute finalement : Évidemment, si tu souhaites lire quelques lignes de mes nouvelles, tu m'en verrais ravi. Ce n'est pas tous les jours que les gens s'intéressent réellement à mon écriture. Souvent, l'idée que je puisse écrire des histoires leur plaît et leur suffit. Au delà de l'image artistique et abstraite que cela me donne parfois, cependant, cela les intéresse rarement. C'est ... Rafraîchissant, du coup, de rencontrer une personne si curieuse de ce que je fais. Je crois bien que Sydney n'a toujours pas fini de lire la nouvelle que j'avais écrite à son sujet. C'est alors que mon regard s'arrête sur sa robe et que de nouvelles idée commencent à se créer dans ma tête. Oh ... Intéressant, tout ça. Très intéressant, même. Je devrais tout noter quelque part lorsque je me trouverai un moment. Absorbé par mes pensées, je ne remarque même pas le fait qu'elle semble s'être distancée de moi.

    - Et toi ? Parle moi donc de cette fameuse "Deborah Prescott". À qui ai-je affaire ? Devrais-je m'inquiéter ? Je plaisante, bien évidemment. Tout du moins, à moitié. L'air de rien, cette demoiselle m'intrigue. Elle m'amuse, en toute sincérité.

    Re: 'Cause you're all I need [pv]

    Sam 13 Juin 2015 - 12:41
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    Don cœur papillonne à la place des yeux. Elle ne s’attendait pas à ce genre de phrase et dans un autre sens, si. Une simple politesse, pas un compliment. Deborah est touchée, émue, renversée. On ne peut exprimer mieux ce qu’elle ressent. En plus de ça, elle estime encore plus ce garçon par son intérêt pour les romans, la littérature en général. Un homme qui s’intéresse à cela est à garder. Elle ne manquera pas de le dire à sa meilleure amie qu’elle doit conserver Peter. Et surtout, faire en sorte qu’il n’en devienne pas comme la plupart des hommes que Deborah peut croiser. Ils ne sont pas forcément aussi « gentils » que lui, aux premiers abords.

    Et puis son roman… un homme qui écrit, j’espérais pour lui qu’il avait l’inspiration et l’amour de bien des écrivains qui ont peuplés notre monde. Les vrais, les bons. Pas ceux qui écrivent pour l’argent. La passion. Deborah s’intéresse à son roman. Elle veut connaitre ses idées, pouvoir lui apporter les siennes. Peter semble si vague qu’elle n’ose pas en demander davantage. Il est sûrement plein de surprises. Elle suppose car Debbie ne connait pas vraiment cet homme. Elle rit quand Sydney redevient le sujet principal.

    Sydney… Une véritable pipelette, Deborah est certaine que sa meilleure amie lui dirait même ses projets avant  d’en parler à Peter tellement elle ne pourrait attendre une seconde de plus. Projets ou autres pensées. Si cette amie a un filtre ? Elle n’est pas sûre. Ou peut-être quand il le faut vraiment. Comme les secrets… entre filles. L’idée de lire le début du roman rend Deborah perplexe. Elle sourit mais se montre directe envers Peter : Je préfère que tu le termines avant de le lire. Si j’aime les premières pages, je risque d’être à ta botte pour connaitre la suite. Et je ne veux pas dire « je n’aime pas » sans en avoir lu l’ensemble des chapitres. Mais si tu as besoin, je n’hésiterais pas à y jeter quelques coups d’œil !

    Ce qui est sûr, c’est que Deborah donnera son avis objectivement, qu’il soit négatif ou positif. Elle ne montre pas ouvertement qu’elle aimerait savoir de quoi parle l’histoire, avoir un petit synopsis… Mais ce serait se gâcher le plaisir de lire.

    Elle tient quand même à ajouter : Je pense que tu feras un bon roman quand même, tu sembles passionné par l’écriture, c’est le plus important quand on écrit un livre. Un tendre sourire se dessine sur ce visage angélique. Deborah est à l’aise avec le futur écrivain. A présent, elle parle librement avec lui. On pourrait dire que ce n’est pas difficile pour les deux jeunes gens à cause de leur amour pour la littérature : qui pourrait se vanter de discuter aussi ouvertement dès la première rencontre ? Personne sûrement. La gêne a disparu, l’admiration, l’envie, la confusion ont fait place à cette histoire.

    Mais l’étudiante se braque finalement. Parler d’elle. Non, elle veut parler de Peter Michaels, du roman, de la littérature. Mais d’elle… quelle fille pudique ! Et surtout peu sûre d’elle. Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette Deborah Prescott. Elle n’est qu’une petite personne qui vit dans son coin préférant lire et rêver de ses livres. Elle rêve d’être la Juliette dans Roméo, mais se contente simplement d’être la nourrice. Et le vit bien. Pourquoi ses mots lui semblent familiers ? Représentatif d’une situation qu’elle pourrait considérer possible ? Qui est donc ce Roméo auquel elle pense ? Elle ne dira pas plus. Elle est bien contente d’avoir énoncé cela d’elle et ne veut pas en dire plus que ça.

    Son regard quitte le jeune écrivain et recherche quelqu’un… elle ne connait personne, sauf … cette jolie fille là-bas, qui l’observe du coin de l’œil avec un grand sourire. Deborah appelle sa meilleure amie du regard, la suppliant de venir. Elle ne veut pas parler d’elle, pas le premier soir. Elle avait une bonne impression sur Peter mais attendait de voir ce que l’avenir lui réservait. Il aura tout le temps d’en savoir plus d’elle. Je crois que Sydney t’attends ! Elle s’échappe, elle fuit. Lâche demoiselle au cœur pourtant si aventurier. Elle boit une gorgée de son verre tout en observant l’écrivain dans un sourire faussement assuré.



           
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    Re: 'Cause you're all I need [pv]

    Ven 28 Aoû 2015 - 10:07
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    Sa remarque me fait rire. Elle est bien mignonne, cette amie de Sydney, mais je ne lui ai pas proposé de lire les premières pages de mon roman inexistant. Après, je me suis peut être mal exprimé, mais ce qui est sûr, c'est que les nouvelles que je comptais partager avec elles sont non seulement terminées mais ont, pour certaines d'entre elles (une poignée d'entre elles, en fait) été publiées dans la revue de l'université. Je ris donc face à sa réaction avant de lui répondre, le regard espiègle:

    – Je parlais de nouvelles que j'ai déjà écrites, en fait. Le roman, ce n'est pas pour tout de suite encore. Je dois déjà me fixer sur une idée d'histoire.

    Il y a tellement d'idées que j'ai déjà eues que je pourrais développer, après tout... Rien que dans toutes les nouvelles que j'ai écrites, pas mal d'entre elles pourraient être reprises et retravaillées pour en faire un "long métrage" littéraire. Mais je crois que pour mon premier roman, j'ai envie de faire autre chose. Quelque chose d'un peu plus original. Quelque chose d'un peu plus unique. Quelque chose d'un peu plus... Personnel. Quelques idées se battent en duel dans mes pensées mais je dois encore faire le tri parmi celles qui méritent que je me penche sur elles et celles qui ne tiendraient pas la route. Je t'offrirai un exemplaire quand il sortira, si tu veux, cela dit. Je suis même d'accord pour te le dédicacer! Je lui annonce alors. Je pense même que je serais capable d'aller l'acheter en personne à la librairie si jamais pour une raison ou pour une autre l'éditeur décide de ne pas me donner d'exemplaire gratuit. Cela ne m'étonnerait pas, d'ailleurs, vu que ce serait mon premier roman. De toutes façons, c'est encore loin, tout ça, quand même.

    Lorsqu'elle m'annonce qu'elle me trouve passionné par l'écriture, la fierté s'éprend de moi et je souris. S'il y a bien une chose qu'on ne peut pas dire sur moi, c'est que je ne sois pas passionné par l'écriture. Je préfèrerais mourir que de ne pas écrire! Je déclare un peu trop théâtralement. Mais c'est vrai. Il faudrait me payer cher pour me forcer à ne plus jamais écrire une ligne de ma vie entière, et même là, je ne suis pas sûr que ça fonctionne. J'aime tellement ça que je ne me vois tout simplement pas arrêter, ni aujourd'hui, ni demain, ni un autre jour dans le futur. Mais je te remercie de croire en moi, je tâcherai de ne pas décevoir. Je lui fais un clin d'oeil. Et à ce sujet, je me demande d'ailleurs quelle est donc la fameuse première impression de la meilleure amie – si elle a été déçue sur d'autres points, à défaut de l'être vis-à-vis de ma passion? Je ne sais pas ce que la blonde pense de moi et puisque je suis persuadé qu'elle s'empressera de tout dire à Sydney dans mon dos, j'espère quand même avoir fait bonne figure. D'ailleurs... Elle est où, Sydney, là...? Je la cherche du regard mais je ne la trouve pas pour autant. Alors je reporte mon attention vers son amie. Ça va, elle ne devrait pas trop se fâcher, ce n'est pas comme si je parlais à n'importe quelle fille du village après tout. Parce que oui, je n'oublierais jamais cette fois où Bobbie Lawrence m'a demandé si j'avais un stylo... Je crois bien qu'elle ne l'oubliera jamais non plus... Ah, les femmes et la jalousie!

    Lorsque Deborah se décrit pour moi... Je ne sais pas. Il se passe quelque chose. Je ne saurais pas trop expliquer quoi mais... Je la regarde différemment. Je la trouve triste, à rêver dans son coin avec ses livres. Triste, seule, isolée... Exactement comme moi, il n'y a pas si longtemps que ça. Maintenant, c'est différent. Je fais partie des Delta Thêta et c'est presque comme si je n'avais même plus le droit de lire et de rêver, alors ça, je le fais dans mon coin aussi. Mais pas par envie, plutôt par nécessité. Les autres garçons aiment trop le sport, je trouve. Moi... Ça ne m'a jamais trop intéressé. Je lui souris, à la Deborah. Elle est attachante, l'air de rien. Je comprends mieux pourquoi Sydney l'apprécie tant.

    – Je suis sûr qu'il se cache quelque part, ton Roméo. Je lui déclare, rieur. Et je te vois mal dans le rôle de la nourrice.

    Nous rions tous les deux avant de profiter d'un moment de silence. Je détourne mon regard, puis le reporte sur elle. Elle aussi semble s'être intéressée à ce qu'il se passe autour de nous. Soit pas grand chose, somme faite. Puis, je m'approche d'elle et voilà que je commence à tirer quelque chose de ses cheveux. Je laisse tomber l'espèce de confetti ou je ne sais pas quoi au sol.

    – Désolé, tu avais quelque chose dans les cheveux... Je lui dis alors, gêné. Elle me dit alors que Sydney m'attend et je me retourne au moment où celle-ci arrive pour enrouler ses bras autour de mon cou.

    – Te voilà, toi? Je t'ai cherché toute la soirée. Elle me sourit et je lui souris aussi. Elle se mord la lèvre. C'est tellement sexy. Sydney est tellement sexy. J'ai énormément de chance de pouvoir me vanter d'avoir une copine pareille. Elle s'approche d'avantage et je m'enivre de son parfum. Je ne sais pas lequel c'est mais elle porte toujours le même et c'est toujours si addictif. Son odeur m'est addictive. Ses lèvres laissent s'échapper quelques murmures discrets, adressés à mes oreilles.

    – Et si on allait dans ma chambre? Personne ne le remarquerait. On peut s'éclipser en toute discrétion. Allez, tu en dis quoi?

    Elle m'embrasse alors avec son sourire somptueux. Elle sait qu'elle me prend par les sentiments et elle en est fière, en plus. Mes ardeurs commencent à se manifester d'une façon physique et je sais que si je n'accepte pas sa proposition, je m'en mordrai les doigts.

    Mais...

    Mon regard se relève, cherchant Deborah. Mes yeux croisent les siens et l'ombre d'un doute s'installe en moi. Puis un garçon vient lui tendre un verre et elle le prend, elle ne nous regarde plus et... Je me retourne vers Sydney.

    – Je te suis, princesse.

    Je suis impatient. Elle me prend par la main et me tire au loin, vers l'escalier, vers là haut... Je me retourne une dernière fois mais je ne la vois plus, je ne la vois pas. Pas de cheveux blonds à l'horizon. Pas de robe noire et blanche. Pas de Deborah. Avalée par la foule, elle avait disparu. Emportant avec elle toutes mes questions non répondues.

    Spoiler :

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