New Day
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Il c'était passé quelque chose de bizarre. Je ne serais le dire, le décrire. Je ne pense pas que c'est le coup de foudre, quand je lui ai serré la main, ce n'est pas des frissons où une décharges que j'ai ressentis, c'est de la gêne. Oui, j'ai rougi. Je n'ai pas tellement l'habitude d'être appelé par une journaliste pour un article. L'appartement de Joshua, le seul et l'unique rock star à la reconnue mondial venait d perdre son appartement, à lui et deux autres personne, Riley, une sulfureuse blonde et Andreas, mon ancien pote de bac-à-sable. Ils avaient tout perdu dans cet incendie, leur toit mais aussi toutes les pistes, écrits et objets personnels. J'ai intervenu en tant que pompier pour arrêter se ravage et en passant me faire légèrement mais très légèrement bousculé par l'heureuse star...
Bref, on va se passer des détails. Mais pour se qui est de cette journaliste qui est venue m'interpeller pour en savoir plus sur cet incendie, aux causes et aux possibilités d'incendiaires... Elle m'avait donné rendez-vous à son bureau où elle m'avait gentiment questionné et avait prit soin de prendre note de chaque mots qui sortaient de ma bouche. Je m'étais contenté de m'asseoir sur le siège de l'autre côté du bureau, je ne savais pas bien comment me positionner et qu'elle attitude prendre. Disons que j'avais la position du timide. Je n'étais pas naturellement intimidé par qui que ce soit, même si mon interlocuteur était une jolie femme aux charmes plus que certains. Je suis le gars positif qui aime parler à qui que ce soit sans problème. Alors là j'était sur le cul.
Quand l'entretient avait prit fin, je m'étais quelque embrouillé dans mes paroles, en gros je bafouillais bêtement pour prendre congé. Une fois sorti de ce bureau je pus enfin respirer de nouveau à la normale. Alors j'étais loin de me douter que je recevrais un appel pour un deuxième rendez-vous paraît-il qui lui manquait quelques réponses encore pour pouvoir finir la rédaction de son article. Je n'avais pu refusé. Je n'attendais que ça... Je n'avais pas eu le cran de faire le premier pas pour reprendre contacte avec moi. Je devais sûrement me faire des idées, ce n'était qu'un café au starbuck et un rendez-vous professionnel mais j'aimais à croire qu'elle faisais ça pour mes beaux yeux. J'aimais me bercer d'illusion...
C'est à ce moment là que je me suis retrouvé assit à une table en train de triturer le dépliant avec les nombreuses sortes de boissons et gourmandises qu'ils vendaient. J'étais comme un gamin à un premier rencart, hésitant et tremblant. Je ne m'étais pas tellement préparée à toutes les éventualités qu'ils pouvaient se passer, j'avais préféré ne pas prendre du temps à penser à ça, disons quand ce moment, du temps j'en ai peu. C'est ça de vouloir combler sa solitude par le travail, quand ce n'était pas Zus qui se pointait la bouche en coeur.