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    QUINZIEME INTRIGUE ♨ UCLA sous les flammes (TG)

    Dim 28 Fév 2016 - 16:18
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    Californian Karma
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    INCENDIE DE L'UCLA


    FLASHBACK


    JE M’APPELLE ... MANA'ARII BALDWIN
    Demat (bonjour en breton), moi c’est Liz, alias Razowski ! J’ai 19 ans et je fais partie de ces cinglés qui ont tenté la prépa lettres. Je pratique l’équitation histoire de montrer que j’ai encore une vie et je suis une passionnée de cinéma. Je rêve aussi de visiter le monde, parce qu’après tout on a qu’une vie, alors autant en profiter !




    FRATERNITIES, SEVEN YEARS LATER


    Les journées ordinaires rythment le quotidien de Judith. C’est toujours la même chanson avec le même refrain. Parfois les couplets se démarquent c’est vrai, mais au fond, ils restent toujours pareils et se construisent de façon identique. Pour Judith, les jours se ressemblent toujours. Tout d’abord il y a ses cours qui la distraient une bonne partie de la matinée et de l’après-midi, puis vient la vie sur le campus avec ses diverses activités et quand enfin la journée semble se terminer, il est l’heure de fournir un dernier effort pour l’université et de répondre à l'éternelle question d’un étudiant : ai-je assez de courage pour terminer mes devoirs pour demain ?

    Aujourd’hui pourtant, Judith aimerait qu’un événement inattendu bouscule sa routine. Assise face à ses camarades de littérature, elle croque dans sa pomme, l’air penseur, le regard ailleurs. Il est 15h, à cette heure-ci les derniers repas de la cafétéria sont distribués aux élèves. Plat du jour : hamburger et frites, rien de bien original, rien de bien décevant non plus car c’est un repas qui met tout le monde d’accord mais qui ne fait que renforcer l’idée de Judith sur sa vie monotone et incroyablement normale.

    Son regard est alors distrait par des fumées épaisses. Elle ne distingue plus le parc du campus que l’on peut observer depuis la cafétéria. La pièce s’assombrit, privée des rayons du soleil. L’odeur devient insupportable et se fraye un chemin jusque dans les gorges qui ne tardent pas à suffoquer.

    - Il y a le feu ! Il y a feu dans la bibliothèque !

    L’alarme se met alors à retentir, couvrant ainsi les cris de panique qui se font entendre d’un bout à l’autre de la pièce. Bientôt, la pièce s’enfume, les corps des élèves deviennent des silhouettes que la fumée de semble pas épargner.

    - Il faut sortir d’ici !

    Judith court à l’aveugle dans cette cafétéria dont l’espace semble se restreindre. Elle trébuche sur une chaise mais se relève le genou en sang. Elle doit sortir d’ici, tout de suite. Alors elle aussi, face à la panique générale, se met à crier. Lorsqu’elle trouve enfin la porte de sortie de la cafétéria et débouche dans le couloir menant aux salles de cours, sa gorge semble l’abandonner. Ses yeux sont injectés de sang car les fumées n’épargnent rien ni personne.
    Elle décide de s’asseoir, juste quelques secondes, elle doit retrouver son souffle, elle doit sortir de ce couloir qui semble être devenu un véritable fourneau. Elle ferme les yeux et la douleur s’atténue, tous comme ses brûlures qui lui tiraillaient la gorge. Soudain, l’odeur de brulé n’est plus qu’un lointain souvenir, ses maux s’effacent petit à petit et un sentiment de plénitude semble prendre possession de cette étudiante en littérature française. Alors elle s’endort, paisiblement, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus se réveiller, jamais.


    CE CONTENU EST LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE DE
    FRATERNITIES, SEVEN YEARS LATER. TOUTE REPRODUCTION
    NON-AUTORISÉE, PARTIELLE OU TOTALE, EST PROSCRITE.

    TEXTE © RAZOWSKI

    Re: QUINZIEME INTRIGUE ♨ UCLA sous les flammes (TG)

    Lun 14 Mar 2016 - 21:25
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    Ash V-Hastings
    Ash V-Hastings
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    Nationalité/origines : Anglais
    Orientation & situation : Uli'
    Métier/occupation : Mécanicien
    Études & fraternité/sororité : Physique Chimie

    Ash se redressa triomphalement, quittant enfin des yeux la lamelle qu’il examinait au microscope depuis plusieurs heures, plusieurs jours. Autour de lui, des dizaines de feuilles parfaitement ordonnées et classées, noircies de son écriture en italique serrée. Le rôle des vésicules extracellulaires dans la réparation de système nerveux central, passionnant. L’Anglais se frotta les yeux en retenant un bâillement, et esquissa un geste vers son thermos, avant de se souvenir qu’il était vide. Comme d’habitude, des cernes soulignaient ses yeux verts, et sa fatigue. Ash ajouta les derniers éléments pour clore son devoir, et entreprit de ranger ses affaires. Ses yeux se posèrent alors sur l’horloge murale. Il n’avait pas vu l’heure passer. Il avait rater le repas du midi, et aurait dû rejoindre Clémentine à la bibliothèque il y a déjà un quart d’heure. Soudain, des hurlements retentirent dans les couloirs, suivi de bruits de bousculades. Il ne s’en inquiéta pas plus que ça. Une gamma avait peut-être accidentellement renversé son thé sur une Alpha, et déclenché une troisième guerre mondiale.  Ash ferma sont Mac Book et le rangea dans son sac qu’il passa nonchalamment sur les épaules. Mais lorsqu’il ouvrit la porte, il se retrouva face à une foule désordonnée qui se bousculait. Dans le brouhaha collectif, Ash parvint à comprendre des brides d’informations. Un feu s’était déclaré dans l’aile ouest. Clémentine.

    Ash faillit être emporté par la foule. Il luttait pour ne pas se faire entrainer vers la sortie principale. À contre sens, il jouait des coudes, perdait patience, criait de dégager. Du coin de l’œil, il aperçut dans le ciel une colonne de fumée noire. Il trébucha, et constata d’une jeune femme était à terre, recroquevillée sur elle-même pour se protéger de la foule qui la piétinait. Il n’y avait rien de plus dangereux qu’une foule affolée qu’on ne pouvait contrôler. Ash saisit fermement son bras, et la souleva fermement. Le moment n’était pas à la délicatesse. Il parvint à l’entraîner contre le mur, et prit fermement appuis sur ses jambes pour faire de son corps un rempart, le temps qu’elle retrouve ses esprits. « Ça va ? Suis les autres, ne restes pas là. » Et Ash l’abandonna à son sort. Soudain, l’alarme retentit, les portes coupe-feu se fermèrent. En bas, il voyait les étudiants sortir des bâtiments et se réunir sur la vaste pelouse, trois étages en dessus. Petit à petit, la foule se fit moins dense. Bientôt, l’Anglais fut totalement libre de ses mouvements. Il prit son téléphone et envoya rapidement un sms à Clémentine, lui demandant où elle était. Soudain, la température sembla augmenter de plusieurs degrés. Au bout du couloir, un craquement se fit entendre, et un pend du mur s’effondra dans un brut métallique. S’en était fini de la bibliothèque. Les retardataires hurlèrent. Une bouffée de chaleur parcourut le couloir. Mais ses jambes refusaient d’obéir. Ash resta tétanisé. Les flammes qui dévoraient le bâtiments se reflétaient dans ses yeux écarquillés. Sa plus grande phobie. Le feu avait tout ravagé dans sa vie, le hantait jusque dans ses songes, lui provoquait des terreurs nocturnes. Il sentit alors quelqu’un le pousser, lui crier de s’en aller. Tel un automate il tourna le dos de ce lieu qui avait été son refuge durant cette année. Les flammes lui avaient-elle aussi pris sa meilleure amie ? Pour la première fois de sa vie, Ash était incapable de réfléchir. Un vide immense c’était installé autour de lui, comme pour le préparer hermétiquement à ce qui allait arriver. Mais une question tournait en boucle. Ou était Clémentine ?  
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