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t.h.o.t.
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tw: nourriture
Les client·es ont été tout particulièrement chiant·es, aujourd’hui. Soit c’était qu’il y avait quelque chose dans l’air, soit c’était lui qu’était à cran. Sûrement les deux, en vrai. Il se tait alors que cette Karen gueule à son comptoir, lui affirme avoir perdu une bague dans une des chambres de l’hôtel et l’assigne comme responsable de sa perte comme si c’était lui qui l’avait portée. Il reste cordial, lui affirme ne pas avoir la bague qu’elle décrit dans son inventaire. Va faire un tour imaginaire dans son stock quand elle insiste pour qu’il vérifie alors qu’il sait pertinemment qu’il ne l’a pas. Elle gueule plus fort, le traite d’incompétent, alors son cerveau décide de ne plus écouter. Il s’évade autre part dans ses songes, quelque part à la plage avec un café et une bonne pâtisserie. Ça serait pas mal, ça. La vieille menace de porter plainte, le brun lui souhaite un bon retour. La pulpe de ses doigts massent son front. Il est bien content que son shift s’arrête en début de soirée, aujourd’hui. Il a toute la soirée devant lui. C’est l’occasion d’aller se faire cette pâtisserie au bord de la plage.
Il stationne sa Triumph Bonneville devant la boutique de pretzels et bagels qui avait activé ses glandes salivaires. Il admire le lieu quand il entre, se laisse charmer par son ambiance, sa modestie et ses délicieuses odeurs. Ses muscles relâchent toute la tension de la journée. Il s’avance au comptoir et commande un café et quatre bretzels. Un pour lui ici, un pour lui chez lui, puis deux pour rendre la pareille à celui qui nourrit son cœur. S’il en restait d'ici à ce qu'il rentre.
Les client·es ont été tout particulièrement chiant·es, aujourd’hui. Soit c’était qu’il y avait quelque chose dans l’air, soit c’était lui qu’était à cran. Sûrement les deux, en vrai. Il se tait alors que cette Karen gueule à son comptoir, lui affirme avoir perdu une bague dans une des chambres de l’hôtel et l’assigne comme responsable de sa perte comme si c’était lui qui l’avait portée. Il reste cordial, lui affirme ne pas avoir la bague qu’elle décrit dans son inventaire. Va faire un tour imaginaire dans son stock quand elle insiste pour qu’il vérifie alors qu’il sait pertinemment qu’il ne l’a pas. Elle gueule plus fort, le traite d’incompétent, alors son cerveau décide de ne plus écouter. Il s’évade autre part dans ses songes, quelque part à la plage avec un café et une bonne pâtisserie. Ça serait pas mal, ça. La vieille menace de porter plainte, le brun lui souhaite un bon retour. La pulpe de ses doigts massent son front. Il est bien content que son shift s’arrête en début de soirée, aujourd’hui. Il a toute la soirée devant lui. C’est l’occasion d’aller se faire cette pâtisserie au bord de la plage.
Il stationne sa Triumph Bonneville devant la boutique de pretzels et bagels qui avait activé ses glandes salivaires. Il admire le lieu quand il entre, se laisse charmer par son ambiance, sa modestie et ses délicieuses odeurs. Ses muscles relâchent toute la tension de la journée. Il s’avance au comptoir et commande un café et quatre bretzels. Un pour lui ici, un pour lui chez lui, puis deux pour rendre la pareille à celui qui nourrit son cœur. S’il en restait d'ici à ce qu'il rentre.
code by awona // @Caleb Delmas
Si Zus a envie de rebondir avec des questions il peut, sinon on peut enchainer sur un deuxième sujet où ils se connaissent un peu mieux après quelques rencontres, je te laisse décider!