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    (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mar 9 Avr 2013 - 20:43
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    Without You
    I can't rest, I can't fight, All I need is you and I, Without you, without you, Can't erase, so I'll take blame But I can't accept that we're estranged Without you, without you I can't quit now, this can't be right I can't take one more sleepless night Without you, without you I won't soar, I won't climb If you're not here, I'm paralyzed Without you, without you I can't look, I'm so blind I lost my heart, I lost my mind Without you, without you
    ----


    Je suis en répétition de théâtre. J'ai l'impression que mes première année sont butés ce soir et sérieusement je ne comprend pas ce qui leur arrivent, ils me font tout de travers. Ils buttent sur leur texte, WOH, la représentation et donc leur notation c'est dans un mois ! Et pour l'instant j'en vois seulement deux ou trois à pouvoir avoir la moyenne. J'ai bien conscience de ne pas être la meilleure des prof de théâtre, en même temps j'ai fait une carrière fulgurante dans le monde du cinéma, peut-être que si mon ancien futur mari avait été moins con et moi moins impulsive je serais la nouvelle star du coin. Mais finalement je ne crois pas que ce soit finalement ce que je voulais, je commence à me plaire en tant que prof. Après tout, je fais ma passion le théâtre et la danse, alors finalement, pourquoi chercher compliquer lorsqu'une vie simple vous va. Oui donc je suis en cours lorsque mon portable posé sur ma table devant tous les sièges des spectateurs vibrent. Je leur donne cinq minutes de pose, ou plutôt cinq minutes pour me préparer un truc potable. Je regarde qui m'envoie un message un peu dépitée et accroc au portable ces derniers temps. Je me suis un peu trop montrée possessive, je ne sais pas. Bref j'ai merdé. Et j'attendais qu'il m'envoie un message en premier.. N'osant plus le faire.. Et là c'est justement lui. Je sens mon coeur s'accélérer. Je lis le message et je ne sens rien de bon. Je ne répond pas, je ne sais pas encore si je vais y aller, j'en meurs d'envie mais je redoute. Mon cours reprend et je ne suis plus du tout concentrée. Je finis par les laisser 10 minutes en avances aussi bien par raz le bol de leur jeu pourri de ce soir que par nervosité. Il me reste deux heures. Je perds presque 20 minutes pour rentrer. Je salue mes colocs et je fonce dans la chambre. Je prend une douche, je réfléchis à toute vitesse, je n'ai pas le temps d'hésiter. Puis en serviette, je fais pile ou face. la pièce me dit d'y aller. C'est parti, je ne sais pas si je dois me faire belle, mais en tout cas je me sèche les cheveux et je les laisse ballants, je sais que Jude préfère. J'enfile une petite robe noire, dans le style que je mets souvent avec des collants fins de la même couleur. Je mets des talons - comme d'habitude - et j'enfile une veste après m'être maquillée un peu. Je prend ma voiture, ma petite mini que j'aime tant et je me rend au lieu de rendez vous. Il est un peu plus de 20h, je ne suis pas en retard, i avait dit vers 20h. Je me gare sur le bas coté de la route. Il est déjà là. Je vois sa voiture. Je sors et j'avance vers celle ci.. " Jud.. " Alors je le vois, je n'avais pas vu.. il est là.. je ne peux m'empêcher de sourire. " Salut.. "


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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mar 9 Avr 2013 - 21:50
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    E. Knox Hemingway
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    La colline ◈ Brionny & Jude
    I can win, I can reign, I'll never be the same, without you







    A
    près la terrible altercation qui s’était une fois de plus terminé en apothéose entre Brionny et moi, j’avais décidé de me poser, de réfléchir et de prendre un tout nouveau départ. Il était temps que l’on se retrouve, elle me manquait et j’attendais que ça de l’entendre rire aux éclats, de la prendre dans mes bras. Je n’avais pas travaillé de la journée, parfois les profs on la planque. J’avais organisé toute une soirée pour Brionny de A à Z. Tout se passerait à l’extérieur, ce soir nous replongerions dans le passé. Rendez vous :notre endroit rien qu’à nous, la colline d’Hollywood. Nous nous y étions disputés la dernière fois, pas question d’envahir de nouveau les lieux d’énergie négative. J’avais tenter de créer un endroit intimiste. Je m’étais pointé très tôt pour « réserver » les lieux qui en soit appartenait au public. Je m’étais garé en travers, coupant la vue aux automobilistes curieux. J’avais pris soin de supprimer tout les graviers nuisibles, j’avais tiré une longue couverture et avait préparé quelques mets. Préparé était un grand mot, heureusement qu’il existait des traiteurs. Et puis j’avais envoyé le texto à Brionny en fin d’après midi tout en appréciant le coucher de soleil. Je prenais le risque de terminer la soirée seul mais j’étais plutôt motivé pour arranger les choses. La belle blonde m’avait fait comprendre qu'elle n'était pas revenue pour rien, alors j’essayais de me décontracter un maximum avant l’heure fatidique qui me dirais si oui ou non nous avions une nouvelle chance.

    Je regardais mon smartphone toutes les deux secondes, je n’avais reçu aucune réponse, aucune confirmation. Assis sur le capot de ma voiture, je commençais à perdre mes moyens et me demandais si tous ses efforts ne seraient finalement pas balayés. L’heure était l’heure, je patientais dans le silence, le ciel noircissait, Los Angeles s’éclairer secteur après secteur. J’avais fermé les yeux et écouter les insectes, les grenouilles croasser. Et puis le grondement d’un moteur s'était fait entendre. Je croisais les doigts pour que ce soit elle. J’entendis le son des graviers se broyer et le moteur s’éteindre. Je n’osais pas me retourner encore, je respirais un bon coup lorsque sa voix réveilla mes tympans anesthésiés par le bruit ambiant que la faune produisait. « Oui, salut… » je descendais en glissade du capot et m’avançais vers elle très angoissé. Je joignais ses deux mains et les apportaient à mes lèvres pour les embrasser. J’avais pris de grandes résolutions pour la soirée: mettre notre passé de côté. « Je suis content que tu sois venue, j’ai eu peur que tu me mettes un râteau, j’aurais compris » j’avais fais comme table rase de notre précédente dispute. Je lâchais les mains de la demoiselle pour placer une de mes mains derrière son dos afin de lui montrer ce que je nous avais concocté. Quelques bougies semblaient flotter dans le noir, j’avais même pensé aux fleurs. Je poussais légèrement la demoiselle vers la couette rembourrée qui nous éviterait des douleurs monstrueuses à la fin de la soirée « Ce soir on recommence à zéro » je laissais Brionny s’installer en premier avant de la rejoindre.

    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mar 9 Avr 2013 - 23:17
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    I can't rest, I can't fight, All I need is you and I, Without you, without you, Can't erase, so I'll take blame But I can't accept that we're estranged Without you, without you I can't quit now, this can't be right I can't take one more sleepless night Without you, without you I won't soar, I won't climb If you're not here, I'm paralyzed Without you, without you I can't look, I'm so blind I lost my heart, I lost my mind Without you, without you
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    Lorsque je suis rentrée chez moi après l'engueulade j'étais démoralisée. Vraiment, vraiment mal. J'ai culpabilisé, j'ai voulu arrêter tout, partir. Mon coeur était comment dire .. en miette. Je me sentais tellement mal. Je ne sais pas... pourquoi j'ai réagi comme ça. En plus lorsque j'ai vu cette femme.. Je savais que je pouvais avoir une concurrente sévère, je le voyais rire avec elle.. Pourquoi elle et pas moi ? J'étais sur le campus et c'est moi il m'avait évité. Je m'étais sentie légèrement trahie, comme si il faisait les choses dans mon dos. Il était parti à la sauvette et je n'avais rien pu dire ou faire. J'ai ainsi compris ce que cela faisait lorsqu'on se faisait quitter comme moi je lui ai fait deux fois. Je crois que j'ai été un monstre et c'était normal qu'il ne me rappelle pas après le message que j'avais envoyé.. Puis il y a eu la scène. La pauvre fille, Jordana ? Je crois que c'est ça, avait pris, cher parce que pas question qu'elle s'approche trop près. Déjà que je sais aussi qu'il a flirté avec des étudiantes et que je vais devoir me méfier lorsqu'il parle avec des jeunes femmes plus jeunes que moi.. Je sais que Jude n'est pas ce genre de mec, larguer sa copine pour sortir avec une fille plus jeune. Mais la peur et le peu de confiance que j'ai en moi m'oblige à réagir comme ça. J'ai toujours besoin d'être rassurée.. J'espère qu'il l'a compris aujourd'hui. Pendant la semaine où il ne m'a pas adressé la parole, j'ai bien cru que cela était terminé, je n'ai pas eu de nouvelles, rien, je guettais pourtant mon portable toutes les heures, j'hésitais à l'appeler pour finalement raccrocher avant que la tonalité ne se fasse entendre, une véritable gamine.

    Alors lorsque j'entends mon portable vibrer c'est plus fort que moi, il faut que je regarde immédiatement. Il n'est pas posé sur ma table de bureau pour rien. En tout cas lorsque je vois son nom j'ai l'impression que la terre s'arrête, une élève me reprend d'ailleurs trois fois avant que je réalise qu'elle m'appelait. Je finis par leur donner trois minutes de pose.. Je me tâte à lui envoyer une confirmation. Je ne suis pas sûre de vouloir y aller. Pourquoi ? J'ai peur, je suis morte de trouille, je crois qu'il veut tout arrêter, son message est froid rien n'indique qu'il veut finalement se battre. Je ne veux pas.. Je ne veux pas qu'il me dis qu'il sort peut-être avec cette brune. J'ai toujours pensé qu'il n'aimait pas les brunes mais lui même m'a dit qu'il voulait changer d'horizon. Alors peut-être qu'il voulait me le faire comprendre déjà. Bordel, je ne comprend rien et je me pose trop de question. Je finis par lâcher mes élèves avec 10 minutes plus tôt, par raz le bol et aussi parce que je veux réfléchir seule. Je rentre chez moi et je file sous la douche, sans parler à mes colocs. Je prend mon temps peut-être un peu trop, mais je décide d'y aller, il faut que j'assume. Alors je me prépare, une petite robe noire et des escarpins. Je m'éclipse alors sans avoir répondu à son texto.

    Je me rend sur le point de rendez vous. Je vois sa voiture en travers qui pourrait repousser la plupart des visiteurs. Je me gare non loin avec ma Mini et je sors. On entend mes escarpins sur le gravier. J'avance sans le voir au début, un peu anxieuse. Je voulais l'appeler lorsqu'il m'est apparu, sur le capot de sa voiture. Lorsque je le salue, il se tourne vers moi s'approche. J'angoisse, qu'est ce qu'il va me dire. Bordel, mon coeur va sortir de ma poitrine. Il s'approche de moi.. tellement proche j'ai presque voulu reculer.. Mais non.. je le laisse m'embrasser parce que oui, il m'embrasse. Je frissonne, je serre ses doigts. Il s'écarte trop vite. Il m'entraîne aussi derrière sa voiture. Je le suis curieuse.. Et je découvre des petites bougies.. Le tout sur une couverture.. " J'ai hésité.. j'avais peur que tu me dises que euhm Jordana soit plus équilibrée que moi.. " J'esquive un petit sourire. Je retire mes escarpins, en plus mon pied me fait encore un peu mal. Je m'assoie sur la couette et je le regarde très émue. Alors comme ça il veut repartir à zéro. Je sens mes yeux s'humidifier, je les lève au ciel pas de façon agacer de tout, mais juste pour mieux les ravaler. Je passe ma main sur la sienne lorsqu'il est installé. Puis je ris. " Salut je m'appelle Brionny.. " Je pouffe. " Tu te souviens quand je t'ai percuté.. c'est ce que je t'ai dis.. " Salut je m'appelle Brionny, je suis désolée.. d'avoir tâcher ta chemise.. " Je lui avais foncé dessus à la cafet avec un café.. " et tu m'as invité à boire une café parce que je venais de vider le mieux sur toi.. " Je me m'en souviens toujours je crois. Je souris en le regardant tendrement. " ça ne s'oublie pas.. "



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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 0:12
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    J’avais l’impression d’avoir surpris Brionny plus qu’autre chose elle devait encore s’attendre au pire et voilà que je lui sortais le grand jeu. Elle croyait que je l'avais appelé ici pour lui annoncer que finalement je sortais avec Jordana. Bien qu'il aurait pu certainement se passer quelque chose, Jordana et moi étions de très bons amis. Des amis qui étaient devenus un peu trop tactiles certes. "N'importe quoi " avais-je répliqué sans m'y attarder. Elle s’était assise sur la couette épaisse, prenant soin d’enlever ses escarpins. Je la rejoignis aussitôt, un sourire charmeur pendu aux lèvres. J’avais sans doute ces yeux rieurs plissés que tout le monde adorer en grande partie. Après avoir énoncé clairement mes intentions pour la soirée, la jeune femme s’était présentée de nouveau, comme à l’époque. D’ailleurs elle avait partagé ses souvenirs de notre première rencontre. Le début d’une longue histoire… Tout ça grâce à un café et une chemise bousillée. « J’aurais été idiot de ne pas inviter une aussi belle femme… N’empêche que je l’ai toujours cette chemise tu sais » j’ouvrais la bouteille de vin et nous servis deux verres de ce rouge. J’attrapais mon verre et le présenter à Brionny comme pour annoncer un toast « À nos retrouvailles » disais-je tout en cognant la coupe contre celle de Brionny. Je bu une première gorgée avant d’ouvrir le panier qui contenait notre repas. C’était plutôt léger, quelques amuses bouche très colorés. De toute façon je n’avais pas très faim, j’avais un nœud à la place de l’estomac, comme à mes tout premiers rencards avec elle d'ailleurs. Je sortis les assiettes et commençais à piocher « Te gênes pas hein, j’ai acheté ça toute à l’heure, franchement ça coûte une fortune et y a rien à manger, ok c’est beau mais si t’as la dalle t’es dans la merde » finissais-je par dire tout en rigolant. Je parlais beaucoup, je faisais de longues phrases, j’étais anxieux.

    Shelby portait une robe ravissante, très simple mais sur elle ça lui donnait une allure sophistiquée. Son décolleté était perturbant, en tant que mâle, je ne pouvais m’empêcher d’y jeter quelques coups d’oeils. Et puis elle sentait toujours cette odeur enivrante qui me rendait dingue. « Ta journée elle s’est bien passée ? Je vais t’avouer que je n’ai rien foutu, j’ai eu du temps » je savais qu’elle avait eu cours, j’avais bien vérifiée qu’elle soit hors de portée toute la journée. J’avais même trouvé une pote capable de m’informer de ses faits et gestes. Tout se passait pour le mieux, l’ambiance était beaucoup plus décontractée que nos précédentes rencontres. Je mangeais en l’écoutant parler, et elle grignotait lorsque je parlais. Comme si ne nous étions jamais perdue de vue. C’était ça le pire avec Brionny, elle pouvait disparaître un an, deux ans ou dix, eh bien pour moi c’est comme si c’était hier. Nous avions cette facilité à se retrouver, cette attirance réciproque très forte que rien ne pouvait arrêter. Nous enchainions les verres de vins tout en se racontant quelques anecdotes de notre métier. Des discussions banales loin des trahisons. « Tu sais que tu vas devoir devenir de nouveau ma marraine anti-tabac » j’avais lancé ça lorsqu’un blanc s’était installé. Eh oui j’avais repris la cigarette et pas que. L’alcool avait pris une grande place dans ma vie, je buvais un peu trop, même en journée. Mise à part cette phrase dérangeante sur mes addictions, nous étions tout près, nos mains pouvaient s’effleurer quelques fois lorsque nous voulions la mêmme bouchée et à chaque fois mes joues semblaient devenir brûlantes.
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    je t'ai cherchée partout, même ailleurs. je t'ai trouvée, où que tu sois, je m'endors dans tes regards. même sans toi, je ne serai plus jamais seul, puisque tu existes quelque part. @marclévy ≈ vous revoir©️ alaska.  

    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 8:40
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    Je n'étais pas sûre de vouloir réellement y aller. Je veux dire si il m'attend avec l'autre fille de l'autre, l'enlaçant par la taille un sourire heureux sur le visage, je ne suis pas sûre d'être prête à entendre qu'il va refaire sa vie avec une femme comme elle. Oh j en'ai aucun à priori sur elle, elle semble charmante un peu trop peut-être ce qui risque de me rendre à nouveau jalouse mais je ne veux pas qu'elle me remplace, on a pas fini d'essayer lui et moi. Enfin moi je pense que nous n'avons pas persévéré. Nos deux "rendez vous" même si cela n'en était clairement pas, on était totalement désastreux et du coup je pense qu'on doit repartir sur de bonnes bases, on a dit je pense, tout ce qu'on avait sur le coeur, pour ma part, je ne sais pas vraiment quoi ajouter pour le moment, mais peut-être que cela viendra lorsque je le retrouverais tout à l'heure. Lorsqu'il voudra me larguer. Enfin, je ne sais pas si le terme larguer est approprié. En tout cas je me sens totalement nerveuse comme une gamine de 16 ans qui va à son premier rendez vous, comme la première fois que je l'ai vu, et qu'il m'a invité à boire un café. Je me souviens tellement bien de notre première rencontre. C'était dans l'une des cafet de UCLA, nous étions élèves à la base, c'est drôle de se dire que nous avons fini tous les deux profs sur le lieu où nous nous sommes rencontrés. Bref, c'était donc dans la la cafet' et j'avais un chocolat ou un café, mais je bois rarement de café, je pense plus à du chocolat, dans les mains il était brûlant sortant tout juste de la machine, j'ai voulu me dépêcher de rejoindre Lou, à notre table habituelle, et PAF, il a déboulé de nul part et mon chocolat a taché sa chemise. J'ai ri sur le moment, je crois que c'était nerveux, j'étais en plein partiel de psycho, tout était tendu avec mes parents qui divorçaient, bref, c'était pas le top. Mais j'ai ri et après je me suis légèrement senti mal pour lui. Puis je me suis présentée. Et tout a commencé. Je ne sais pas ce qui a fait que, mais je lui ai plu, d'ailleurs je serais curieuse de savoir pourquoi moi ce jour là et pas une autre. Bref.

    Je sors de la douche, je me sèche rapidement, ayant pris la décision d'assumer mes actes, j'arrive à 28 ans, il est grand temps que je me bouge les fesses pour devenir dans certain cas beaucoup plus mature, j'ai parfois encore du chemin à parcourir. Dans tous les cas je me prépare au pire, comme ça si c'est une bonne nouvelle, elle sera encore meilleure, et si c'est vraiment une mauvaise, cela fera peut-être moins mal. Une fois prête je sors de chez moi claquant la porte et disant à mes colocs de ne pas m'attendre pour le dîner. Ils n'ont pas vraiment eu le temps de me demander où j'allais etc. Je devrais surement rendre des comptes plus tard. Je verrais bien no panic, no prise de tête, Shelby tout va bien se passer, oupas. Rah ! Je roule tranquille, pendant la nuit fait son apparition sur les collines de la ville. Je monte en hauteur et j'aperçois les quartiers s'allumer. Je vois alors la voiture de Jude à notre emplacement, elle est garée en sorte qu'on ne puisse pas être tenté de venir voir ce qui se passe. Donc il a vraiment à me parler... Je crains le pire. Je me gare et j'avance vers lui, je le salue et lui aussi. Je m'attendais pas alors à ce qui vient de se produire, il m'a embrassé. Tout mon corps l'a ressenti, j'ai frissonné, parce que cela n'avait rien à voir avec les deux autres baisers que je lui ai donné, rien de désespéré comme moi.. et c'est lui qui a fait le premier pas. J'ai donc un peu d'espoir qui remonte. Jude n'est pas aussi cruel. Il m'entraîne derrière la voiture où m'apparaît un petit nid d'amour adorable, avec des bougies et un pique nique posé sur une couverture. Je fond littéralement, je me sens vraiment émue, il tente de refaire comme au début et j'adore.

    Je lui avoue que j'avais peur qu'il m'annonce une mauvaise nouvelle. Il me répond par un simple n'importe quoi. Ce qui me soulage. Alors comme ça ce soir on recommence tout à zéro.. Je suis prête, j'ai bouclé ma ceinture, retour vers le passé. Je lui renvois son sourire charmeur, le mien probablement plus timide. Puis je me prend au jeu et je me représente comme la première fois, comme ce que je disais, .. lors de notre première rencontre, j'ai la scène qui n'a pas bougé, je me m'en souviens comme si c'était hier que j'avais trouvé l'homme de ma vie. Le destin est bourré de hasard, le saviez vous ? Maintenant oui. Il me fait rougir lorsqu'il répond à mon souvenir. Je ris légèrement, un compliment, je le retiens, je ne suis pas spécialement fan des compliments des autres mais les siens.. j'adore. Il ouvre la bouteille de verre et m'en serre un verre, nous trinquons. " à nous " je rajoute. Jude sort un peu de petite gourmandise du panier et je souris, il a pensé à tout, c'est absolument romantique au possible et j'adore. D'ailleurs sa réplique me fait rire. " ça suffira t'inquiète pas. " Je pique un truc et je le mange le trouvant appétissant. La question suivante porte sur ma journée. " J'ai eu cours oui, hum, je suis un peu désespérée mes première année régresse j'ai l'impression.. je ne sais pas si c'est moi qui devient plus exigeante ou pas, mais ils ne savent plus jouer j'ai l'impression, après je veux bien mettre cela sur le compte de partiels qui arrivent.. mais tout de même. " Je note aussi qu'il n'a rien fait. " Non tu n'as pas rien fait, tu m'as préparé tout cela.. et j'adore. " Je souris. Il me parle ensuite de son tabagisme. Je souris. " Tu n'as pas intérêt de fumer ! En plus tu sais que j'ai horreur de la fumer ! " Je dis le tout sur un ton ironique puis je prend l'initiatique de m'allonge posant ma tête sur ses jambes. Je regarde le ciel assez nuageux d'ailleurs on pourrait penser qu'n orage va éclater. " Pourquoi lorsque je t'ai renversé du café je t'ai plu ? Je veux savoir ce qui a fait que.. " Je saisis sa main libre et j'entrelace mes doigts dans les siens jouant légèrement avec, la gardant comme un trésor précieux.



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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 11:42
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    L’atmosphère s’était alourdie, la jeune femme s’était allongée sur mes jambes, attrapant une de mes mains et jouait avec mes doigts. Le chant des insectes s’étaient amoindri, je regardais le ciel et commençais à m’inquiéter. Le ciel était chargé de nuages agressifs. Je n'avais vraiment pas de chance. Brionny m’avait alors demandé ce qui m’avait conduit à vouloir en savoir un peu plus sur elle à l’époque. « Je crois énormément au destin, je pense que tu le sais à force. Alors qu’une aussi jolie fille me tombe du ciel comme ça, ce n’était pas pour que je la laisse s'enfuir aussi vite qu'elle était apparue. J’ai tout de suite su qu’on était compatible, t’as cette force de caractère qui me remet à ma place quand je pète un câble. » Je me laissais faire par la belle blonde et la regarder par moment. Soudain un flash lumineux traversa le ciel pour s’abattre non loin de nous. Nous étions à l’écart de la ville, c’était le désert, et bien souvent c’est ce que la foudre chercher. « Eh ben, tu es mon coup de foudre c’est le cas de le dire » disais-je tout en riant. Brionny s’était redressée par le bruit immense qu’avait provoqué l’éclair. J’étais plié de rire. Ses yeux avaient faillis sortir de ces orbites. Un autre s’était écrasé quelques minutes plus tard. Et puis quelques gouttes commencèrent à s’éclater sur le sol et même sur mon front. « Il fallait s’y attendre, Jude porte la poisse » Une averse monumentale ne tarda pas à nous inonder. Je regroupais les affaires rapidement et regagnais ma voiture. La jeune femme s’était précipitée à son tour à l’intérieur. Mon tee shirt blanc me collait à la peau, mon visage était trempe. La soirée avait encore été gâchée. Les bougies s’éteignirent les unes après les autres. Génial. Je jetais les affaires sur la banquette arrière, le souffle court après mon sprint. Brionny avait aussi pris la douche. La pluie s’abattait violemment sur la carosserie, tellement fort que je devais hausser la voix pour que la demoiselle puisse m’entendre correctement. « J’ai peut être oublié de regarder la météo » disais-je avec une moue déconfite.

    Et puis ses yeux me fixaient dans l’obscurité, je pouvais les voir tellement ils étaient clairs. Tout le contraire des miens. Nous étions des opposés qui s’attiraient, comme deux aimants. Elle ne parlait pas mais son regard semblait vouloir tout dire. Je m’étais alors accordé quelques secondes pour la dévorer des yeux avant de me jeter sur elle. Ma main s’était glissé derrière sa nuque, mes lèvres s’étaient apposées sur les siennes. Ce n’était plus un baiser timide mais un baiser de pur passion, nos langues s’enroulaient, se caressaient. L’orage qui avait éclaté était comparable à mon égo qui s'effriter. Je lâchais enfin prise et suivait mon cœur. Ce dernier battait la chamade, je sentais les mains de Brionny parcourirent mon corps, c’était excitant. Nos peaux moites se coller, j'avais même osé plaquer une de mes mains sur ses cuisses. L'excitation était à son comble. Mais quelle horreur de se bécoter à l’avant d’une voiture. Ce n’était pas du tout pratique. Je freinais alors l’échange, me décollant de son étreinte. Mes lèvres devaient avoir pris la couleur des siennes. Nous étions à quelques centimètres l’un de l’autre. J’avais tellement envie de le lui dire. Mais n’était-ce pas pas trop précipité ? Tant pis, il était temps d’éteindre cette petite voix de la raison qui m’intoxiquer. « Je t’aime » avouais-je enfin, mes yeux jonglaient entre ses pupilles et sa bouche divine. J’attendais une réaction de sa part, n’importe laquelle pourvu qu’elle ne s'enfuit pas.
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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 12:46
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    I can't rest, I can't fight, All I need is you and I, Without you, without you, Can't erase, so I'll take blame But I can't accept that we're estranged Without you, without you I can't quit now, this can't be right I can't take one more sleepless night Without you, without you I won't soar, I won't climb If you're not here, I'm paralyzed Without you, without you I can't look, I'm so blind I lost my heart, I lost my mind Without you, without you
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    Ma tête se pose doucement sur ses jambes. Je prend sa main rêveuse.. Je serre doucement ses doigts et j'embrasse la paume de sa main, je suis bien. Je me sens toujours aussi entière lorsque je suis avec Jude, et il est le seul à me procurer cette sensation là. Cette sensation de bien être, je me sens à l'abri de tout lorsqu'il me prend ses bras, lorsqu'il est près de moi. J'ai l'impression de sentir de supers pouvoirs m'envahir. C'est enivrant. Plaisant, j'adore, c'est presque comme une drogue, c'est surement aussi pour cette raison que Jude est inoubliable, qu'il est nécessaire à mon bien être, à mon bonheur, bref à ma vie. Je ne crois pas que ce soit un hasard, de l'avoir trouvé, de l'avoir recroisé dans ma vie. Il est l'homme qu'il me faut et le destin ne se trompe jamais, il ne nous aurait pas remis deux fois sur notre chemin. Je lui demande pourquoi moi, qu'est ce qui a fait qu'il m'a voulu moi, qu'il est tombé amoureux de moi. Il me répond, laissant sa main dans la mienne. Je l'écoute en fermant les yeux, bercée par ses paroles. Et combien j'aime ce qu'il me dit. Je me sens bien, vivante. La fin me fait esquiver un sourire. Il est vrai que pour avoir du caractère j'en ai, parfois, je crois que j'en ai un peu trop.. c'est flippant comment je peux être jalouse d'une pauvre fille.. Je suis sûre qu'elle me déteste à l'heure qu'il est. Mais en tout cas je m'en fiche, ce que je désirais le plus au monde est avec moi. Jude. Réunis. Je m'apprête à lui répondre lorsqu'un éclaire surgit, suivit d'une grondement de tonnerre. Ok dans ma vie j'ai peur de quelques trucs. Mais l'orage.. c'est un des pires trucs. Je sursaute comme une tarée. La réplique de Jude sur le sujet me décontracte et j'en ris. C'est plutôt mignon. Puis d'autre éclaires font leur apparition me faisant sursauter presque à chaque fois.. et .. il se met à pleuvoir. Je ne peux pas m'empêcher de rire. " Mais non, dis pas ça ! et puis cette fois aucun des deux n'est blessés !" Il se met alors à pleuvoir beaucoup plus fort. Je me redresse immédiatement et je remets mes chaussures pour courir à la voiture. Jude récupère les affaires et me suit de près. Je monte dans la sienne coté passager. Il fourre les affaires sur les places arrières et referme le porte du véhicule. Nous sommes trempés. On vient littéralement de se prendre une sacrée douche. Je sens mes cheveux coller à mon visage, j'en remet quelques uns derrière mon oreille, je suis dégoulinante d'eau. J'éclate de rire à sa phrase. A croire que nos rendez vous sont destinés à ne pas être normaux. " Ou peut-être pas. Le destin a voulu que ce rendez vous nous marque et qu'on ne l'oublie pas. Maintenant c'est chose faite ! " Je souris, en me calant sur le coté, face à lui comme je pouvais, la tête posée contre le dossier. Je le regarde, il en fait autant. Il y a un moment de silence et personne ne ressent le besoin de parler. Puis il me tombe dessus. Nos lèvres se heurtant toutes les deux à des baisers dévorant de passion. Mon coeur s'accélère, et mon corps en réclame d'avantage. Nos langues dansent un ballet, celui de l'envie et du désir, ou de la passion et de l'amour. Je ne voudrais ce moment pour rien au monde, je me sens portée par un désir fort pour lui, j'aurais aimé continuer se baisser, je frissonne et je sens sa main sur ma cuisse, j'aurais aimé plus de contact, mais nous sommes à l'avant d'une voiture et je crois que c'est assez difficile. J'ai l'impression que mon coeur va sortir de ma cage thoracique. Je frémis, le niveau au dessus du frisson. Nos lèvres se décollent pourtant restant trop attirées pour s'éloigner de trop. Il me toise.. son regard glisse entre mes yeux et ce que je pense être mes lèvres. Je me fige.. Il a prononcé les mot que moi j'ai osé dire. La dernière fois il n'a pas fait attention.. il n'a rien répondu, il m'a blessé. Je serais trop stupide de vouloir lui faire la même chose, j'ai une fierté mais à ce moment là, elle s'est envolée. Je souris totalement attendrie. Puis je me dis qu'on serait mieux ailleurs. Je lui vole un baiser avant de sortir dehors, je suis déjà mouillée au point où j'en suis de toute manière. J'ouvre la porte arrière et je vire le panier et la couverture trempée. Je les fourre ans le coffre, ne voyant pas vraiment ce que je fais à cause de ce qu'il tombe. Un bruit de tonnerre, me fout la trouille, je fonce à l'arrière de la voiture. " Viens.. on sera mieux derrière.. " Je lui souris timidement. Il me rejoint forcément. Nous sommes trempés, et étonnamment je trouve cela attirant et sexy.. le t-shirt mouillé sur son torse à Jude.. Lorsqu'il me rejoint je l'attire à moi pour l'embrasser passionnément. je me mord la lèvre lui caressant la joue doucement.. Je souris. " Les plaisirs violents.. ont des fins violentes.. dans leurs excès ils meurent.. Tels la poudre et le feu que leurs baises consument " Je cite du Shakespeare. Ma voix n'est qu'un murmure, j'entends presque plus mon coeur battre à tout rompre que ma voix. " Consume moi.. " Je le regarde dans les yeux, moi aussi en attente d'une réaction.


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    Mer 10 Avr 2013 - 14:20
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    Après cette déclaration d’amour peut être insensée, la jeune femme m’avait retourné un baiser avant de sortir de la voiture. Elle avait ouvert la porte arrière et s’était débarassée du matériel encombrant avant de s'enfermer véritablement, nous isolant ainsi du bruit de la pluie. Je l’avais regardé faire et n’avais pas encore songer à à quoi nous nous apprêtions à nous adonner. Elle s’était accoudée aux deux sièges avant et elle m’avait invité à la rejoindre. Je m’exécutais sans réfléchir traversant de nouveau un rideau d’eau avant de m’engouffrer à l’arrière de la voiture. À peine m’étais-je assis que Brionny m’avait entrainé vers elle par le col de mon tee shirt. Je me soumettais à ses désirs, et partageais activement son baiser. Et puis elle avait sussurer une longue phrase tout droit sorti d’un bouquin. Je n’étais pas friand de littérature, mais la phrase était ardente, de quoi attiser le feu qui sommeillait en moi. Brionny s’était finalement offerte à moi de manière très sensuelle. Son « consumes-moi » résonnait dans ma tête, délivrant mes pulsions inhibées jusque là. Je retirais mon tee shirt gorgé d’eau et plonger sur elle pour l’embrasser. Nous étions à demi allongés, moi au dessus d’elle entre ses jambes. Elle m’avait d’ailleurs encerclée, j’étais pris au piège mais j’adorais ça. Mes mains se balader sur son corps, sous sa robe légère. Ses courbes étaient toujours aussi majestueuses. Je continuais à déposer des baisers dans son cou, sur sa poitrine. Sa robe me gênait plus qu’autre chose, même si elle lui allait à ravir. Je l’enlevais progressivement tout en effleurant son ventre de mes lèvres humides. Mon palpitant battait dans tous les sens, alternant entre des phases d’excitations intenses et des calmes plats ou je paraissais mourir. Brionny avait doucement glissé sur la banquette arrière, sa tête s’était posée sur le siège. Je me redressais au dessus d’elle avant de jeter sa robe à l’avant. Je contemplais son corps à demi nu avant de détacher la boucle de ma ceinture et de me séparer de mon jean parasite vis à vis de la situation. Je repartais à l’attaque attrapant les deux poignets de la jeune femme et les immobilisaient au dessus de sa tête pour mieux la dévorer, sans qu’elle ne puisse s’échapper. J'usais un peu de ma force, j'étais violent par moment, c'était une de mes faces cachées. Mes lèvres effleuraient ses épaules, le bas de son ventre. Je devenais fou et mon intimité durcissait et grandissait de plus en plus dans mon boxer.

    Je descendais dangereusement vers sa petite culotte et la baisser à l’aide de mes dents avant de la retirer rapidement avec mes mains. Et puis je rappliquais, plaquant mon corps contre le sien. Ma tête s’était nichée entre ses seins, mes doigts froids s’étaient glissés vers son intimité beaucoup plus chaude. Le choc termique l’avait fait gémir. Je commençais alors à la caresser, la titiller tout en m’imprégnant de ses mimiques de plaisir. « T’es magnifique » chuchotais-je au creux de son oreille tout en accélérant le rythme au dessous de la ceinture. Elle était belle et encore plus lorsqu’elle me donnait l’autorisation ou plutôt lorsqu’elle m’ordonnait de lui faire du bien. J’ignorais si j’étais un bon coup, mais j’aimais lui faire l’amour, ce n’était pas qu’un pur acte barbare, cela signifier bien plus à mon égard. C’était l’occasion de lui montrer à quel point je l’aimais, c’était un don de moi même. Nos respirations s’accéléraient sous les stimulations. Je gémissais même rien qu’en l’entendant. Un de mes doigts l’avait pénétré et commencer quelques va-et-vient. Ses jambes s’écartaient de plus en plus comme pour m’accueillir. Avant ça je retirais le dernier bout de tissus qui m’empêcher de profiter d’elle, à savoir son soutien gorge de dentelle. Je mordillais mes lèvres face à ce spectacle torride. « À toi de jouer » disais-je tout en me redressant, mes muscles étaient saillants, mon corps luisait à la fois grâce à l’eau et la sueur dû à la montée d’excitation. J’attendais désormais qu’elle prenne le dessus qu’elle me domine à son tour.
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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 16:18
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    La pluie c'était mise à tombée à toute vitesse, sans qu'on puisse s'y attendre. Le temps de se mettre à l'abri et nous étions trempés. Une douche ou un jet d'eau n'eau surement pas fait mieux. Je suis contente d'être à l'intérieur de la voiture. Je regarde un instant Jude, pas un mot n'a besoin de sortir de ma bouche. Je lui souris.. et ses lèvres se heurtent aux miennes, dansant la plus sensuelle des danses. J'aime ce contact, cet échange, je n'aurais pas pu demander mieux. Je frissonne presque violemment, à moins que je ne frémisse, je ne fais pas tellement la différence. Il coupe doucement notre baiser.. Nos lèvres tels des aimants restent toutes proches.. Et il prononce trois petits mots qui ont le don de vous emmener au paradis lorsque vous les entendez. Je souris, lui volant un baiser explosif avant de sortir de la voiture pour faire de la place à l'arrière. Je re-rentre totalement trempée mais au point où j'en suis, je crois que cela n'a plus vraiment d'importance. Je l'incite à venir me rejoindre et il ne se fait pas prier. Je souris lorsqu'il reclaque la porte et qu'il est à coté de moi. Je ne sais pas si la peur de l'orage, lui dans des vêtements trempés.. ou juste être ici dans ce lieu magique change quoique se soit mais en tout cas.. j'ai envie de lui, c'est une chose dont je suis sûre et nous sommes deux adultes consentants -je pense- et apparemment nous sommes deux êtres amoureux, ce ne sera pas comme si c'était la première fois, cela été dans un tout autre contexte la première fois que lui et moi l'avions fait. Des souvenirs viennent me titiller. Mais rien de grave. Je l'attire presque aussi contre moi, pour échanger un long baiser plein de promesses et de sentiments. Je me sens bien et pour une fois je ne regrette pas être en présence d'un homme, après tout, c'est m'obsédé, les autres peuvent aller se rhabiller.

    Ma citation n'est pas choisi au hasard, elle provient de Roméo et Juliette. Elle caractérise la passion et l'amour déchirant de deux êtres. Comme quoi au fond ils sont près à tout l'un pour l'autre, c'est une citation qui se veut puissante, elle fait de l'effet lorsqu'on la lit. Mais si je l'ai dit aussi c'est aussi parce que la passion, là tout de suite commence déjà à me consumer et c'est à Jude de finir. Et l'effet semble illico. Je me sens bouillir de l'intérieur. Il plonge sur moi.. M'embrassant, je lui fais une place entre mes jambes et je le colle contre moi avec mes jambes qui l'entourent. La température dans la voiture monte d'un cran. Je sens qu'il caresse mon corps et c'est fort plaisant. Je frissonne encore et quelque chose me dit que cela ne sera pas la dernière fois. Je le liasse me retirer ma robe, après tout n'est pas ce que je voulais ? Je souris légèrement et je retrouve ses lèvres. Ses lèvres.. oui elles parcourent mon corps, douces et brûlantes. Allongée sur la banquette, ma robe termine à l'avant, et il retire son pantalon. Je le regarde faire, mon coeur risque de rompre à tout moment, je serais alors morte d'amour.. et même d'eau fraîche puisqu'il pleut toujours autant. Qui n'a pas rêvé de faire l'amour dans une voiture sous un temps comme celui ci ? C'est foutrement romantique je trouve, et j'adore le concept. Une fois son jean à l'avant avec ma robe il fonce. Plus entreprenant que jamais. Il attrape mes poignets pour les positionner au dessus de ma tête, je le sais fougueux et je peux vous dire qu'un lit c'est une bête. Je n'avais jamais pris autant mon pied avec un mec avant de le rencontrer, et lorsqu'on est ensemble dans ce genre de moment on est tellement complémentaire. Ses lèvres parcourent tout mon corps, me donnant déjà un certain plaisir. Je me mord la lèvre inférieur entraînée par l'excitation.

    J'esquive un sourire lorsqu'il retire ma culotte avec ses dents. Elle aussi termine je ne sais pas trop où dans la voiture. Ses lèvres embrassent mes poitrines, mon corps se courbe légèrement.. je le sens alors descendre sa main.. Un gémissement se fait entendre.. Il passe sa main froide sur mon intimité. Le contact est surprenant mais tellement agréable, un frisson de plus. Il me susurre un mot à l'oreille, un nouveau compliment, je me cambre de plus en plus sous le plaisir qu'il me donne, incapable de lui répondre, je m'évade pour le paradis. Il accélère ses caresses.. Jouant avec mon plaisir.. Il est fort à ce jeu, très. Encore une fois mon dernier sous vêtement passe à l'avant. Il me pénètre d'un doigt me faisant gémir, mais lui aussi. Le plaisir est déjà réciproque.. Il se redresse.. Je lui souris à sa réplique, il va voir combien j'ai envie de lui. Je me redresse à mon tour, un regard que je veux féroce, je me souviens qu'il lui arrivait de m'appeler la panthère après nos ébats. J'avance - plus ou moins - vers lui, cherchant ses lèvres sans les toucher réellement. Une de mes mains glissent sur son caleçon pour caresser la partie dure qui se trouve dessous. Son envie n'est pas que du vent. Je descend son sous vêtements pour l'envoyer valser avec le reste. Mes mains sont agiles et elle lui procurent du plaisir en commençant de simples caresses, de léger vas et viens. Je me place a califourchon sur lui, accentuant le mouvement, je veux l'exciter au maximum avant le bon moment. On a le temps, nous sommes seuls au monde. Mes lèvres passent de son cou à ses lèvres, puis son torse, et descendent dangereusement. Mes lèvres jouent quelques minutes avec son intimité pour lui procurer du plaisir, je veux le rendre fou. Je m'arrête, l'embrassant fougueusement, c'est à son tour maintenant. Je le veux moi aussi. " Je t'aime Jude.. " Ma voix n'est qu'un souffle, mais je sais pertinemment qu'il aura entendu.



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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 18:03
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    J’avais mis Brionny au défi de prendre la relève. Il ne fallait pas le lui dire deux fois, elle s’était avancée vers moi, l’allure féline. Ses longs cheveux blonds glissaient en cascade sur ses seins. Elle me faisait languir en s’approchant de mes lèvres et les retirant immédiatement. Elle était douée pour maintenir l’excitation. Ça avait le don de faire monter la pression bien comme il faut. La jeune femme avait caressé mon membre dur à travers mon caleçon avant de jeter ce dernier je ne sais où dans le véhicule. Et puis elle s’était mise à faire coulisser une de ses mains autour de lui, le faisant grandir et gonfler de plaisir. Ses lèvres n’avaient pas tarder à prendre le relais. Sa salive l’avait enrobé, sa chaleur lui avait fait un bien fou. J’avais simplement lâcher prise, ma tête avait basculé en arrière, mes mains avaient aggripé la tignasse blonde de Brionny afin d'éviter de geindre. J’étais aux anges. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides et lorsque je commençais à gémir, elle ralentissait, faisant durer le plaisir encore un peu plus. Nous avions le temps, le temps de profiter l’un de l’autre. Brionny avait arrêté sa fellation pour revenir à mes lèvres et elle m’avait à son tour sussurer ces mots électrisants « Je t’aime » c’était de nouveau à mon tour d’agir. « Allonges-toi coquine » répliquais-je sur un ton plus qu’érotique. La professeure avait obtempérée, basculant sur le dos, s'offrant à moi. Je parcourais son corps de mes baisers mouillés, ma langue l’avait effleuré de son cou à son intimité, je commençais par la lécher de haut en bas, le rythme très ralenti, mes doigts prenaient parfois le relais. Si je pouvais la faire jouir plus d’une fois ce soir… Je continuais mon cunnilingus, accélérant mes coups de langue, son corps se tortillait de plus en plus. Mes mains avaient attrapés sa taille de guêpe. Je continuais encore et encore jusqu'à sentir son intimité vibrer dans ma bouche. Brionny avait fini par crier, et ça n’allait pas s’arrêter maintenant.

    Je glissais un de mes doigts dans sa bouche pour qu’elle le suce et reprenne ses esprits avant d’attaquer de nouveau plus sérieusement. J’avais terriblement envie d’elle. Le sexe après la guerre c’est tellement meilleur. Toutes les tensions accumulées avaient enfin un rôle bénéfique. Même si l’envie me démangeait terriblement de lui murmurer certains mots doux, je préférais les garder au chaud pour plus tard. « Maintenant tiens toi prête » nous avions l’habitude de mettre un peu d’humour dans nos ébats. Ça ne nous dérangeait pas, nous nous connaissions tellement. Je m’emparais de ses jambes et les poser sur mes épaules. L’avantage avec Brionny c’est que grâce à son métier, elle était extrêmement souple. J’étais d’abord venu glisser mon sexe le long du sien. Nos fluides se mélangeaient. C’est à cet instant, lorsque j’allais la pénétrer que je m’étais rendu compte que nous n’avions aucune protection. « Brionny je… » Et puis merde, j’y étais allé, lui faisant confiance. Je m’étais enfoncé en elle sans difficulté et lentement. J’avais simplement expirer longuement l’air de mes poumons, j’étais en feu. Je commençais alors de long va et vient qui s’intensifier de plus en plus. Sa poitrine suivait leur rythme endiablé. Les paumes de mes mains avaient atteries au dessus de sa tête, je la regardais fermer ses yeux, sa bouche entre ouverte. Ce qui m’exciter encore plus c’était justement de la voir dans un tel état. Je mordais mes lèvres jusqu’au sang à cause de l’excitation qui montait petit à petit. La jeune femme avait attrapé mes fesses et les serrer de toutes ses forces comme pour m’encourager. Je n’en pouvais plus de garder le silence, des petits « oh oui » s’échappèrent finalement accompagnés de gémissements bestiaux. J’allais venir, j’étais tout près, mais je faisais durer le plaisir pour elle, tant qu’elle n’hurlerait pas je ne lâcherais pas.
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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 19:32
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    C'est moi ou il fait réellement super chaud maintenant dans c'te voiture ? La buée commence même à naître sur les vitres. On pourra bientôt refaire la célèbre scène du Titanic. En tout cas Jude a toujours été un pro du plaisir. Il sait ce qu'il me plait, en même temps en 5 ans de relation intensive il est normal qu'il connaisse mes envies. Et puis je me dis que s'il n'a pas eu de relation sexuelle avec une fille depuis mon départ, je vais avoir à le satisfaire. Mais c'est tant mieux, je veux un moment comme celui là avec Jude. C'est plus que plaisant de le sentir contre moi et plus tard en moi. Il commence d'abord doucement, avec des caresses sur mon entre jambe.. J'en frissonne, je sens le désir mais surtout le plaisir monter d'un niveau. Bon sang qu'est ce que cela fait du bien. Je le laisse faire, il est légèrement fougueux mais j'adore ça, j'ai toujours aimé la passion au lit dans un couple, je veux bien faire l'amour de façon romantique mais je ne prend pas autant mon pied. C'est pour cela qu'avec Jude c'est parfait, je crois qu'il est garçon à m'avoir mit le plus d'orgasmes en un rapport. D'ailleurs s'il continue je risque de jouir une première fois dans peur de temps. Je sens introduire un doigts.. Et je ne peux m'empêcher de gémir. Il embrasse ma poitrine, j'en veux plus.. encore plus ! Rapidement c'est à mon tour de le faire jouir. Comme je peux et comme je sais assez bien faire. Je sais son petit faible ce qu'il adore dans le sexe. On aura testé tellement de chose qu'avec lui, je suis très ouverte d'esprit. Je n'ai pas peur de faire ou tenter des choses. C'est Jude, je la connais si bien et je suis contente de le retrouver, mon amour. Je m'avance vers lui telle une panthère. Je l'excite en lui promettant mes lèvres sans les lui donner. Puis ma mains après avoir retirer son caleçon vient caresser son membre dur. J'aime lui faire cet effet là, je me dis que je suis excitante au moins pour un mec et c'est le mec parfait alors oui je suis heureuse. Même si la notion de bonheur m'a toujours parut complexe. Le sexe rend heureux.

    Ce sont mes lèvres qui prennent le relais. Je lui fais une fellation.. Mes langues jouant sur son pénis.. Je l'excite toujours plus, je le pousse presque à bout. Il retient mes cheveux pendant mon acte.. Je prend bien mon temps pour le faire monter et grossir au maximum. Je sais combien il adore ce geste. Quel homme n'aime pas ce genre de choses de toute façon ? En remontant à ses lèvres je lui glisse un mot doux, surement le dernier de notre ébat, juste parce que tout à l'heure je ne lui ai pas dit. C'est en quelque sorte une réponse. Il me fait sourire par sa réplique. Je m'exécute bien entendu sans dire un mot, je garde un sourire satisfait. La voiture est un peu petite mais on s'y fait rapidement, en tout cas, si des gens passent ils risquent bientôt de la voir bouger.. Peut-être que cela leur procurera autant de plaisir qu'à nous, quoique j'en doute, il faut un Jude pour avoir trois orgasmes dans la même soirée. Je le sens descendre avec sa langue et je frissonne encore.. Ma tête basculant en arrière, je gémis d'avance avant qu'il ne touche mon intimité avec celle ci. Je frémis alors lorsque c'est le cas, gémissant voir grognant d'avantage. Bordel. Il accélère ses mouvements de langue. Je gigote un peu plus.. Pour en vouloir d'avantage. Je gémis bien entendu.. Je ne veux que lui encore !! Mes mains passent dans ses cheveux. Je ne veux pas qu'il arrête Sa langue m'excite au plus au point que j'en vibre.. Un orgasme. Un.. Il passe deux doigts dans ma bouche, je les suce et lèche comme si il s'agissait de son pénis. Je les mordille aussi à un moment. Puis il me fait rire quelque peu. Je suis toujours prête dans ce genre de moment. " Bien monsieur ! " Je lui envoie un sourire malicieux. C'est le grand moment, celui qu'on attend tous les deux. L'avantage de la danse c'est que je suis souple, on peut faire un tas de position. Et il en fait une. Je sens son pénis sur mon sexe.. Je me mord la lèvres fort pour résister. Il allait dire quelque chose mais il se ravise et me pénètre. Je grogne légèrement. Il accélère.. Je cherche en vain quelque chose pour m'accrocher et gérer l'envie et le plaisir qui monte en flèche. Bien évidemment un de mes gémissements retentit. J'attrape ses fesses pour accentuer le mouvement et le sentir d'autant plus en moi. Ma voix s'élève dans l'habitacle maintenant surchauffé par nos deux corps. Je suis à deux doigts d'avoir un autre orgasmes. Mais sans qu'il sorte de moi, je me redresse, pour prendre un peu le dessus. Je le fais s'asseoir et je monte à califourchon sur lui. Il entre à nouveau en moi. Nous ne formons qu'un. Au début je ne bouge presque pas, juste de léger coups de bassins. Je l'embrasse, l'enlaçant. Puis plus j'ai envie de lui, plus mon corps bouge contre le sien, nous sommes en symbiose. Je frôle ses lèvres, mon souffle est court, je gémis parfois.. Je tente de me contrôler mais c'est difficile.. Je ne m'arrête pas, endurante, je tente de garder au maximum mon orgasme mais je n'y arrive plus. J'enfouis mon visage dans son coup allant de plus en plus vite, je l'entends gémir à son tour.. Je lui mordille l'épaule en lui en faisant un suçon.. Je gémis longtemps.. Je le sens ! " Jude oh .. oh.. " Je suis à bout de souffle. " T'arrête pas.. " Je l'agrippe lui.. Je bouge mon bassin de lui en plus vite, je le sens remuer encore. Je plaque mes lèvres sur les siennes.. mais je n'arrive pas les garder plus longtemps.. je cris presque..


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    Mer 10 Avr 2013 - 20:59
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    J’allais quasiment jouir lorsque la jeune femme m’avait repoussé en arrière pour grimper sur moi. Mon pénis l’avait pénétré une deuxième fois, il s’y était introduit d’un coup, en même temps il n’avait pas vraiment quitté son nouveau refuge. Brionny s’agitait sur moi de plus en plus vite. Ses mains s’aggripées sauvagement sur la banquette, sa poitrine était tout près de mon visage, elle haletait. Et puis elle avait niché sa tête dans mon cou tout en prononçant mon prénom au creu de mon oreille. De quoi me rendre encore plus chaud que je l’étais. Mes mains glissèrent le long de son dos nu. J’attrapais ses fesses et la faisait encore plus sautiller sur mon sexe. Elle me priait de ne pas arrêter, je lui obéissais car après tout personne n’aurait voulu s’arrêter en si bon chemin. J’allais bientôt grimper au rideau, toucher les étoiles. « Je… je vais pas tarder » je poussais des plaintes aigues, j’aurais voulu rester en elle une éternité. Mais nous étions programmés pour qu’il y ait une fin sans ça le cerveau aurait un court-circuit mortel. J’avais limite envie de pleurer tellement c’était bon. Je fermais les yeux et continuer à la prendre tant que je le pouvais. « T’aimes ça hein » je pouvais me montrer plutôt pervers, je m’étais pour l’instant contrôlé un maximum, mais il m’était arrivé d’être beaucoup plus cru dans mes paroles. Elle me chevauchait toujours, mon pénis entrait et sortait en elle à une allure dingue. J’y étais presque, je ne voulais pas en finir car après j’allais sûrement être K.O. Les hommes mettent du temps à se regénérer, une erreur de la nature. Et dans un ultime éclat déchirant le ciel, j’avais finalement jouit. Un long râle avait accompagné mon éjaculation. Brionny avait continué quelques secondes de plus avant de jouir à son tour profitant encore de la raideur de mon membre. J’avais serré la jeune femme contre moi, sa poitrine s’était écrasée sur mon torse humide.

    Nous étions restés dans cette position une petite minute avant de nous séparer. J’étais vidé, c’était le cas de le dire, je n’avais pas eu de rapport depuis une éternité, depuis qu’elle était partie, la masturbation ne m’apportait pas ce que Shelby possédait. Toute cette excitation. J’avais essuyé mes yeux légèrement embués et avait balayé mes cheveux en arrière. Ils tenaient tout seul pas besoin de gel. « Je suis claqué, ça m’avait manqué » avouais-je avec un regard malicieux. La belle blonde s’était blottie à mes côtés, sa tête contre mon épaule. J’embrassais sa chevelure et l’enlacer pour la sentir encore plus près. Alors toutes ces crises pour ça ? Pour s’envoyer en l’air ? Étions-nous de nouveau ensemble, réconciliés ? Je n’en savais rien, je profitais de l’instant et reverrais ces questions une fois que j’en aurais les moyens. Je n’avais plus aucune force même pas pour réfléchir. « T’imagines si quelqu'un se pointe » Et c’est ce qui arriva à l’instant ou j’avais annoncer ça à Brionny. Mon sourire s’était aussitôt décomposé. Une lampe torche éclaira nos deux visages. Un homme d’une cinquantaine d'années portant un costume de flic tapa à la fenêtre trouble. J’avais psychoté un instant, nous étions nus. « Merde la honte » je cherchais mon boxer le plus rapidement possible, il était accroché au volant tout comme la petite culotte de Brionny. La demoiselle m’avait d’ailleurs tapotait les fesses pendant mon exploration. « Arretes imbécile ! » j’étais plié en deux et le policier continuait sa ronde, tournant autour de la voiture en nous illuminant avec sa torche par moment. J’enfilais mon caleçon et balancer les sous vêtements de Brionny par dessus l’épaule. « Y a que moi qui ai le droit de te voir comme ça non mais oh ». C’était pour moi impossible d’enfiler mon jean dans un endroit aussi étroit, j’étais obligé de sortir. J’ouvris la porte à moitié à poil et me dépêcha de rentrer dans le pantalon avant que le flic ne vienne à ma rencontre. La pluie avait cessé. L’homme approcha et passa son faisceau lumineux de ma tête à mes pieds. « Je peux vous aider » lui demandais-je tout en ricanant à cause de la situation. « J’espère pour vous qu’il n’y a pas de prostituée à l’arrière jeune homme » avait répondu l'agent. J’avais encore plus explosé de rire en imaginant la réaction de Brionny. « Non non c’est une amie, enfin c’est compliqué msieur ! » Mon dieu dans quel pétrain je m’étais fourré, j’attendais l’aide de Brionny avec impatience.
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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Mer 10 Avr 2013 - 23:04
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    I can't rest, I can't fight, All I need is you and I, Without you, without you, Can't erase, so I'll take blame But I can't accept that we're estranged Without you, without you I can't quit now, this can't be right I can't take one more sleepless night Without you, without you I won't soar, I won't climb If you're not here, I'm paralyzed Without you, without you I can't look, I'm so blind I lost my heart, I lost my mind Without you, without you
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    Deux. C'est le nombre de plaisir intense que m'a donné Jude ce soir dans sa voiture. C'était adorable, parfait, génial. Je me sens si bien lorsqu'on fait l'amour. Parce que nous ne baisons pas, nous faisons l'amour, je déteste ce terme de baiser, je veux dire nous ne sommes pas des animaux. Nous nous aimons. Il me l'a dit. En tout cas, nous poussons tous les deux une derniers soupires. Je me pose à coté de lui. Je reste contre lui, nous sommes en sueur et essoufflés. Mon coeur bat à tout rompre. Je ne sais plus quoi dire, plus quoi faire. Je ris à la remarque de Jude. " C'était.. whoua. " Il n'y a pas d'autres mots que whoua. Parce que franchement il y avait un moment que je n'avais pris un tel pied, comment arrive-t-il à me faire autant de bien. Je ne sais pas mais en tout cas c'était une des meilleures fois. Je m'en souviendrais de cette nuit, faire l'amour sous l'orage.. ok c'est fabuleux, on se sent vivre, on vibre avec le tonnerre et pour la première fois, je n'ai pas eu peur d'un orage. Je n'ai pas vraiment eu le temps de faire attention à lui. Je ne sais pas ce que pense Jude. Ok je sais qu'il a eu l'air d'aimer. Mais ce que nous venons de faire cela va nous mener où ? Est ce qu'on est redevenu un couple ? Sommes nous deux ex qui viennent de s'envoyer vulgairement en l'air, alors mon serment sur le terme baiser serait erroné. Je n'espère pas. Je n'ose pas poser la question, je crois que nous avons la nuit. Et qu'il finira bien par me dire ce qu'il désire, je ne veux pas qu'il pense que c'était juste un parti de baise, je ne supporterais pas cette idée. Parce que j'aime certes le sexe, mais avec lui, c'est sérieux. Il y a des sentiments, sinon cela ne pourrait pas être aussi délicieux de lui faire l'amour. Qu'il ne fasse plus qu'un avec moi.

    Il me fait sourire lorsqu'il imagine qu'une personne puisse se pointer. Je crois que je serais hyper gênée, pire s'il s'avérait que la personne est un élève ou une personne que je connaisse. Je ne sais pas comment je réagirais. Et pourtant à la seconde ou il a dit cela.. Un lampe passe à travers la buée d'une des fenêtres. Je sursaute légèrement. J'attrape instantanément ma robe pour m'en servir comme couverture histoire qu'on en voit le moins possible. La réaction de Jude me fait rire, lui panique un peu plus. Je rigole lorsqu'il se précipite pour attraper son boxer et son jean. Il arrive à mettre son boxer et moi j'en profite pour lui claquer légèrement les fesses. Je ris lorsque cela l'énerve légèrement. " Déstresse ! " Il m'envoie mes sous vêtements et je les enfile. Je le laisse sortir pour aller parler au type, apparemment un policier. Je me rend compte qu'il ne pleut plus. Je souris lorsqu'il me dit qu'il est le seul à pouvoir me voir nu. " Je suis toute à toi, ne t'inquiète pas ! " Je ris et j'attrape ma robe, il claque la porte une fois son jean enfilé et s'adresse au type. Je finis me mettre mes robe en galérant. Le policier semble penser que je suis une prostituée. Qu'est ce qu'il ne faut pas entendre. Attention Shelby et ses talents d'actrice. Je sors de la voiture un peu décoiffée et je fais un sourire ( faux ) d'excuse et en même temps séducteur, ce mec a surement la cinquantaine et je suis sûre qu'il est veuf ou célibataire alors il craque rapidement pour les femmes. " Je suis désolée ... Hum monsieur l'agent, c'est mon fiancé, il vient de me demander en mariage ! " Je montre ma main, avec la bague que je porte toujours celle de ma grand mère. Elle peut tout à fait passer pour une bague de fiançailles et de toutes façons je doute qu'il ne remarque quoique se soit. L'homme semble un peu gêné. Je lui souris. " Bien, désolée du dérangement alors. " Il nous fait une signe de tête et s'en va assez rapidement, je crois qu'on l'a mit mal à l'aise. Je souris et je lui fais même un petit signe de la tête, pour jouer le femme très heureuse. Je soupire et j'embrasse le coup rapidement de Jude. " Tu vois pas de stresse ! On devrait rentrer. Allez chez toi.. enfin, comme tu veux " Je souris et je remonte dans le voiture. Je remet mes chaussures et lui envoie son t'shirt encore un peu mouillé. " tu veux faire quoi ? "

    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Jeu 11 Avr 2013 - 0:10
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    Tous ces souvenirs seraient gravés dans ma mémoire à jamais. Combien de chance nous avions pour qu’un flic se pointe lorsque nous étions totalements dénudés. Une chance sur mille ? Sans blague, j’étais une boule de nerf très stressée alors j’avais de suite paniqué face aux accusations de l’agent. Heureusement pour moi, Shelby était venu à mon secours. Prétextant une demande en mariage de ma part. J’avais avalé péniblement ma salive, la situation cocasse avait eu l’air de gêner le policier. Il était reparti bredouille sans pouvoir m’interpeller. Et puis Brionny m’avait gentiement taquiner avant de me proposer d’aller ailleurs, chez moi même. J’étais resté un moment à l’extérieur, le torse nu regardant la silhouette de l’homme s’effacer dans la pénombre. Je repensais à ce que Brionny avait mentionné pour me sauver des griffes des forces de l’ordre. Son fiancé. Ça sonnait plutôt bien et en même temps c’était effrayant. J’avais l’impression de ne pas avoir les épaules suffisamment solide pour entreprendre quoique ce soit. J’étais resté un gamin malgré les années qui s’étaient écoulées. Pourtant si je voulais la garder près de moi, je devrais un jour me réveiller et me lancer. Au fond c’était quoi « se marier », c’était juste une manière de nous avouer notre amour officiellement, aux yeux de tout le monde. Je n’avais pas à prendre la poudre d’escampette pour ces quelques mots. J’étais revenu à la réalité lorsque la belle blonde m’avait envoyé mon tee shirt à la figure. « Hein euh oui pas de problème, t’as cas me suivre jusqu’à chez moi » nous n’allions pas laissé la Mini seule au milieu de nulle part. L.A a beau être une ville paradisiaque, il y a tout de même des malfrats. J’enfilais mon tricot, mes chaussures et embrassais Brionny avant de prendre le volant.

    « À toute à l’heure » je démarrais la voiture, et après m’être sorti à plusieurs reprises de cet emplacement je filais en direction de chez moi. J’avais croisé Shelby en train de démarrer. J’avais une courte longueur d’avance sur elle. Je roulais extremement vite pour essayer de la semer. J’étais arrivé rapidement en ville, bien évidemment je n’avais pas échappé au feu rouge. J’avais alors pris le temps de réfléchir, je venais de faire l’amour avec mon ex comme jamais. Et elle arrivait chez moi dans très peu de temps. Qu’allions nous faire, qu’allions nous nous dire ? Nous devions à un moment donné clarifier la situation. J’empruntais un raccourci pour arriver le plus tôt possible. Enfin devant la maison je sortais et courais à petite foulée vers la porte d’entrée. J’entrais et me déchausser immédiatement. J’allumais le couloir et souffler un bon coup avant de recevoir la jeune femme. J’avais eu le temps de nous servir deux verres de champagne, comme un idiot je l’avais laissé dans le réfrigérateur avant de partir cette aprem. Une porte se referma lourdement, je m’étais précipité à la fenêtre pour regarder dehors, elle était là. Respire ça va aller. J’ouvris la porte avant même qu’elle ne frappe. « Hey hey mais qui voilà, ma fiancée » disais-je sur un ton moqueur, finalement j’avais accepté le jeu de rôle. « Rentres, je viens de nous servir deux verres, ça va nous faire du bien » je guidais la demoiselle jusqu’au plan de travail de la cuisine et attrapais ma flûte. Le champagne glissa sans problème dans mon gosier, j’étais assoiffé. Je m’asseyais sur un des tabourets disposé autour de l'ilot central face à Brionny. « Je sais pas où on va mais on y va » je jouais avec mon verre en le faisant tournoyer puis reportais mon regard sur la jeune femme. Ça me faisait du bien d’avoir de la compagnie ces temps-ci en plus ce n’était pas n’importe qui, c’était Brionny, la petite femme de ma vie.
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    Re: (Jude -hot-) I can win, I can reign, I'll never be the same, without you

    Jeu 11 Avr 2013 - 11:24
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    Le flic semble un peu gêné par la situation. Il a dû comprendre qu'il se passait un truc un peu "hot" dans cette voiture. Il a dû penser que j'étais une prostituée, une de luxe j'espère ! Mais j'ai tourné le jeu en notre faveur, je suis loin de faire le trottoir tout de même mais bon les gens ne le savent pas toujours. Il s'en va et je re-rentre dans la voiture pour récupérer mes chaussures et les enfiler. Je lui propose alors de rentrer chez lui. Parce que chez moi avec les colocs cela risque de ne pas être le top du top. Il semble ok, et m'informe de le suivre. J'avais heureusement laissé mon sac dans ma voiture. Je m'y rend et je me place d'ailleurs le volant en démarrant, je le vois alors déjà rouler. Il va vite! Qu'est ce qui lui prend ? Je le regarde foncer dans la nuit un instant un peu vexée qu'il ne prenne pas la peine de m'attendre. Après tout, maintenant je sais où il vit alors il peut se le permettre, mais suivre ça veut dire ce que cela veut dire. Je fais un demi tour rapide et je prend la même direction que lui. Je ne cherche pas à le rattraper, s'il ne veut pas que je le suive c'est son problème, il fait nuit, la chaussée est encore glissante à cause de l'orage, je reste méfiante, ce n'est pas le moment d'attraper un accident, pour le coup cela gâcherait surement la soirée qui commence plutôt très bien, si on veut mon avis.

    J'arrive dans son quartier, le notre avant. J'aurais pensé qu'il aurait déménagé après que je sois parti, c'est pas évident de refaire sa vie dans une vie qui a tellement vécu de part nos souvenirs. D'ailleurs il n'a pas vraiment réussi.. Puisqu'il n'a pas eu de petite amies, ce qui me va très bien, c'est peut-être égoïste de penser comme ça, mais je suis heureuse qu'il n'est pas retrouvé une personne, je suis persuadée que nous deux, c'est forcément pour une raison, on ne peut pas s'attraper comme ça en si bon chemin, cela serait un peu du gaspillage. J'arrive dans sa rue et je me gare derrière sa voiture. Je claque la porte en prenant cette fois mon sac. Je marche jusqu'à la porte d'entrée ou il m'attendait surement puisque celle ci s'ouvre toute seule avant que je n'ai frappé. Il est là, un sourire aux lèvres et me taquine sur le jeu de tout à l'heure. " Tu roules vite, tu es au courant ? C'est un plan pour me perdre ? Non parce que si tu ne veux pas de moi, je repars hein. " Je le sors sur un ton ironique mais je le pense un peu je dois dire. C'est l'impression qu'il m'a donné en fuguant de la sorte. Je pensais que la soirée avait été bonne.. En tout cas pour moi.. elle le fut. Il m'a pourtant confirmé qu'il avait aimé. Il faut que j'arrête de psychoter, c'est mal et cela ne fit que pourrir l'ambiance. Il me fait entrer apparemment il a préparé des verres pour nous. Alors je m'exécute et il me dirige vers le plan de travail de la pièce à vivre. Deux coupes de champagnes sont alors posées. Je quitte ma veste et je pose mon sac sur l'un des tabourets et je prend ma couple pour en boire un peu. Je ne sais pas si il y a une occasion spécialement mais en tout cas je trouve cela plutôt romantique la coupe de champagne. Je commence à comprendre pourquoi il a tracé, il a voulu préparer le tout. C'est une petite attention qui me plait. Je m'accoude sur l’îlot central en le regardant jouer avec son verre. Sa réplique s'interloque. Je fronce les sourcils. " Tu veux quoi ? Parce que finalement si tu doutes, on peut arrêter.. C'est pas du tout ce que je veux hein ! Mais je suis heureuse moi.. Et ce soir je ne veux pas que cela se résumer à une simple partie de baise dans ta voiture, c'est plus que ça. " Je tente un petit sourire mignon comme il aime bien. Je fais le tour de la plateforme et je m'approche de lui, posant mon verre. Je passe mes mains autour de ses hanches pour les glisser dans les poches arrières de son jean, je pose ma tête sur son torse.. " J'ai toujours aimé entendre ton coeur battre.. " Je m'évade de cette manière... Je ferme les yeux.. Puis quelques secondes plus tard, je relève le visage pour l'embrasser doucement et je lui souris. " Dis moi que tu n'es pas content que je sois là, et je pars. On arrêtera là.. Ou alors dis moi, que je suis à nouveau celle que tu veux.. qu'on ne forme qu'un couple.. des fiancé " J'ajoute la fin en rapport à tout en l'heure en souriant malicieusement, j'espère ne pas l'effrayer c'est pour rire.

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