It's funny how I find myself In love with you ( THOBIAS )

Tobias& Arizona

* It's funny how I find myself In love with you

Parfois la nuit est une aubaine. Je veux dire, on ne nous voit plus, on reste tapis dans l'ombre, on est tranquille, tout est calme la nuit. C'est beaucoup plus agréable de marcher en plein milieu de la nuit dans Santa Monica que le jour. J'aime pourtant la chaleur, j'adore ça, j'ai toujours adoré, je ne viens pas d'une région brûlante pour rien. L'Arizona est un rêve pour tellement de gens, mon rêve, ma vie. Il me manque. La nuit on peut faire un tas de chose comme s'infiltrer dans une demeure de riche. Une demeure où l'on peut prendre un tas d'objet qui valent une fortune et les vendre à des types louches qui te l'échange contre du blé. Je suis forte en négociation, c'est moi qui vous le dit. J'ai de l'argent à remboursée, ce soir je vois chopé de quoi me faire 200 dollars c'est ce qui me manque pour rembourser Jay qui a payé l'intervention pour ma mère. Du coup là je suis dans une baraque qui vont de l'or. L'art de voler. Le mieux c'est lorsqu'il y a des coffres, je les ouvre avec mes tactiques et je prend le liquide. Pas besoin de transactions rien. Mais là, cette baraque semble me piéger. J'entends l'alarme au moment ou j'ouvre ce coffre. Il est plein de pierres précieuses, de frics, tout ce que j'aime et qui coûte une fortune. Je prend quand même le temsp de remplir mon sac. C'est surement débile j'aurais dû partir tout de suite. Pourtant non, je fourre le plus de truc possible, mon sac devient rempli assez vite. J'entends alors les sirènes de police et je me dis que là, je suis dans la merde. Je ferme mon sac et je prends mes jambes à mon cou. La maison à beau être vide elle semble être sous une tonne de surveillance, c'était trop ambitieux. En bas la porte est verrouillée, l'alarme ! MERDE ! Je tente les fenêtres j'ai l'impression d'être prise au piège. Je remonte en haut et j'ouvre la baie vitrée de la suite parentale. Où se trouvait le coffre. Allez Bliss il y a quoi.. 2 ou 3 mètres. C'est de la pelouse en bas.. Je saute. L'atterrissage est douloureux. Mais pas le temps de traîner les sirènes sont proches. Alors que je cours sur la route en direction opposée des flics une moto me barre la route. Je la connais.. Je fonce dessus sans attendre et j'enjambe la moto de Thobias en m'accrochant à alors qu'il fonce. Pour plus tard les explications, là il faut échapper aux flics et maintenant j'ai mi Thobias dans la merde. " FONCE " Je hurle pour qu'il roule le plus vite possible. Pas question d'aller en prison.

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Avatars par bazzart.

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La musique résonnait dans la pièce de sorte que je n’entendais qu’à moitié ce que me racontait cette brune, certes bien roulée, mais très ennuyeuse. Je crois qu’elle me proposait de faire un bœuf avec moi, car elle rêvait de chanter. Je m’accoudais nonchalamment au bar en soupirant, ne cachant pas mon ennui. J’adorais la musique, c’était même l’une des seules choses qui me passionnait dans la vie et même les femmes ne pouvaient pas passer au-dessus de cette passion. Je ne mélangeais pas plaisir et passion, de plus, lorsqu’elle tenta de me chanter un morceau, je voulais me boucher les oreilles, car c’était la voix la plus laide que j’entendais et par mon tact légendaire je lançais « Ouai écoute, ça va aller. Trouve-toi un autre rêve parce que là, à part te trafiquer la voix en studio, il n’y a rien à faire ». Comme je m’y attendais, j’encaissais la gifle que je me prenais, à force, cela ne me faisait plus rien. Je la regardais partir avec un petit sourire au coin des lèvres et finit mon verre, m’emparant de mes clés de moto sur le bar. Je ne sais pas qu’elle heure il était, mais la nuit était déjà noire sur Los Angeles. J’enfilais mon casque, prenant la direction de mon appartement. La musique résonnait dans la pièce de sorte que je n’entendais qu’à moitié ce que me racontait cette brune, certes bien roulée, mais très ennuyeuse. Je crois qu’elle me proposait de faire un bœuf avec moi, car elle rêvait de chanter. Je m’accoudais nonchalamment au bar en soupirant, ne cachant pas mon ennui. J’adorais la musique, c’était même l’une des seules choses qui me passionnait dans la vie et même les femmes ne pouvaient pas passer au-dessus de cette passion. Je ne mélangeais pas plaisir et passion, de plus, lorsqu’elle tenta de me chanter un morceau, je voulais me boucher les oreilles, car c’était la voix la plus laide que j’entendais et par mon tact légendaire je lançais « Ouai écoute, ça va aller. Trouve-toi un autre rêve parce que là, à part te trafiquer la voix en studio, il n’y a rien à faire ». Comme je m’y attendais, j’encaissais la gifle que je me prenais, à force, cela ne me faisait plus rien. Je la regardais partir avec un petit sourire au coin des lèvres et finit mon verre, m’emparant de mes clés de moto sur le bar. Je ne sais pas qu’elle heure il était, mais la nuit était déjà noire sur Los Angeles. J’enfilais mon casque, prenant la direction de mon appartement. Tandis que je prenais un raccourci pour rentrer plus rapidement, je fus interpelé par des sirènes de police. Je fronçais les sourcils, les contournant afin de pouvoir passer dans la rue. Et alors, un peu plus loin de ce chahut, je vis une silhouette courir à tout rompre. Habituellement, je ne me serais pas arrêté, mais je reconnaitrais ces longs cheveux châtain entre mille et cette silhouette athlétique. Bordel, mais qu’est-ce que Bliss foutais là ? Sans même réfléchir à notre dernier entretien, j’accélérais pour me placer devant elle et pour la faire monter. Elle me hurlait de foncer, je ne me fis pas prier. J’entendais les sirènes de police nous suivre. Et merde ! Elle avait fait quoi pour ça ?! « Accroche-toi ça risque de secouer ! » j’accélérais, prenant une petite rue afin de tenter de les semer, regardant nerveusement dans le rétroviseur. Elles étaient toujours là. J’empruntais la rue piétonne alors que je n’en avais pas le droit, priant pour qu’on ne relève pas ma plaque. Au bout d’un moment, je crois que nous les avions semés. Je me dépêchais d’entrer dans le garage souterrain de mon immeuble, garant ma moto « Mais putain c’est quoi ce merdier Bliss ? Qu’est-ce que t’as foutu ? » La sermonnais-je, inquiet pour sa sécurité malgré tout. Sans même qu’elle ait le temps de dire quelque chose, je lui arrachais son sac à dos pour découvrir une tonne de matériel extrêmement cher. Je mis un temps à faire le lien et levais les yeux vers elle « Putain ! Mais pourquoi tu fais ça ! »

∞everleigh

Tobias& Arizona

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La liberté est une chose qui coûte souvent très cher. Les gens ne s'en rendent pas toujours compte ce qui est déplorable. Mais en tout cas.. il faut avouer moi je ne donnerais la mienne pour rien au monde. Pas question que je sois arrêtée ! Je préfères encore mourir dans une cellule que de passer le reste de ma vie en prison. Je ne me ferais pas arrêter. Je suis capable du pire pour ma mère, mais là, il est clair que si je me fais avoir elle meurt alors moi aussi. Oui j'ai ce genre de relation avec elle, elle est ce que j'aime le plus au monde, c'est celle qui m'a mise au monde en dépit des ennuies qu'elle avait déjà. Elle n'avait pas d'argent, elle n'avait pas de mari, rien, mon père n'a jamais voulu m'élever. Il l'a laissé. Il ne m'a pas reconnu, ma mère me dit que c'est une personne que je n'aimerais pas de toute manière et je ne veux rien connaître de lui, pourquoi se faire chier quoi. Il est égoïste et c'est tout ce que je n'aime pas. Je sais seulement que son avocat versé à ma mère une petite pension, je crois que c'est pour ne pas que je le retrouve mais je suppose qu'il ignore que je suis surdouée et que si je le désirais je saurais en trois quatre cliques comment le trouver. Cela ne m'intéresse pas, je m'intéresse seulement aux personnes qui sont présentes pour moi d'une façon ou d'une autre, à LA j'ai réussi à me faire une petite famille avec Aidan et Jaycee et je ne veux pas que cela change. Alors je saute. 3 mètres, je sens une douleur sous mes pieds, je gémis légèrement mais je n'ai pas réellement le temps de m'y attarder. Je fonce, je passe mon sac sur mon épaule et je cours, alors que j'entends les sirènes qui vont me rattraper si je ne fonce pas dans un dédale de rue. Seulement je me fais couper la route par un moto, et le bruit est si familier que je fonce. Thobias. De toute façon que se soit lui où un autre, j'en ai rien à foutre s'il peut me sortir de là. Je serais tranquille. J'ordonne littéralement à Thobias de foncer. Je m'accroche sous ses bons conseils à lui, tenant mon sac aussi. On se tient à une distance assez respectable d'eux, ce qui fait qu'ils ne peuvent pas voir notre plaque, mais s'ils se rapproche on est mal. D'un coup Thobias fonce dans une ruelle, je me cramponne sérieusement et je m'accroche. Apparemment ils n'ont pas suivi. Tant mieux, maintenant on est relativement tranquille. On fonce dans un parking souterrain, je crois reconnaître par la suite son quartier et donc nous sommes dans son parking. Je souffle enfin descendant immédiatement de la moto. Je sens mes jambes tremper mais je souris fière d'avoir réussi un coup celui là. Inconsciente ? Non, tout l'inverse, l'argent n'est pas pour moi, même si là j'ai de quoi vivre pour un moment, et payer les frais d'hôpitaux de ma mère. Je souffle un bon coup mais Thobias lui ne semble pas d'accord. Je me souviens de la dernière conversation que nous avions eu. Assez houleuse, il m'avait avoué qu'il avait tout fait pour que je le largue parce qu'il pensait que j'allais le décevoir. Quel enfoiré lorsqu'on y pense, et pourtant j'ai toujours ce faible pour lui, je craque lorsque je le revois, et là en bon sauveur .. Bref. Je me fais hurler dessus. En rêvassant sur lui je n'ai pas le temps de réagir il m'arrache mon sac des mains. " Hé !! rend le moi ! " Trop tard c'est fait, c'est ouvert, il a vu. Il a l'air de percuté assez vite avec la situation, le tonne de pierres précieuses et de frics. Je déglutis et je me pince les lèvres, Une fois j'avais été démasquée.. mais je m'en étais bien sortie. Là j'en sais rien. " Tu ferais quoi si ta mère avait un cancer généralisé ? " Je récupère mon sac et je sors une liasse de billet, je pense qu'il doit y avoir 200 dollars. " Tiens si ça peut acheter son silence j'en ai rien à foutre. " Ok c'est cruel de faire ça, Thobias n'a jamais été comme ça. " Désolée non oublie ce que j'ai dit et merci. " Il m'a sauvé la vie après tout. " Je.. Je suis douée pour voler ou hacker. et j'avais besoin d'argent ! " J'ai comme cette impression de devoir me justifier alors qu'il ne fait que me regarder. " Arrête ! tu aurais fait quoi toi ? hein à ma place ? Ma mère ne veut pas mourir et les soins la maintiennent en vie ! " Le contre coup de l'opération fuite me fait trembler de partout. " De toute façon c'est fait, j'vais pas aller me rendre. " Je bougonne enfaîte toute seule. Je le regarde. " J'ai tué personne hein.. " Je pouffe à cette phrase.. peut-être que cela détendra l'atmosphère.

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A la vue de cette scène, je crois que je ne me serais jamais arrêté. Après tout, ce n’était pas mes affaires si quelqu’un s’amusait à voler des trucs et se faisait prendre. Chacun sa merde après tout. Pourtant, c’était Bliss et aussitôt je m’en souciais. Malgré tout ce que je lui ai fait vivre et toute la souffrance que je lui ai infligé, je tenais toujours à elle. Je crois que c’était comme ça avec le premier amour, on ne l’oubliait jamais vraiment et lorsqu’on croisait sa route, on se sentait encore impliqué. Pour toutes ces raisons et encore bien d’autre encore, je me souciais d’elle. Je freinais aussitôt, la laissant monter. Je priais pour que les flics soient assez loin et ne voient pas ma plaque ou j’étais sérieusement dans la merde, Bliss encore plus. J’ignorais pourquoi ils en avaient après elle, mais je ne voulais pas qu’elle se fasse coincer. Pourquoi je me souciais encore d’elle ? La dernière discussion que nous avons eu n’était pourtant pas sous le signe de l’amitié, mais plutôt houleuse, alors pourquoi ? Parce que c’était Bliss tout simplement. Je n’aurais jamais fait une telle chose pour une autre femme, les autres ne comptaient plus dès l’instant qu’elles étaient passés entre mes draps. Et Bliss, elle n’y passait plus depuis longtemps et pourtant, elle était d’autant plus importante. Et merde, si je m’étais éloigné d’elle c’était pourtant pour arrêter d’avoir des gens qui comptaient pour moi. Je secouais la tête, me concentrant sur ma conduite. Nous avions enfin semé les flics et j’entrais dans les souterrains de mon immeuble, ne pouvant m’empêcher de lui faire la morale. Je pris aussitôt son sac à dos, à en voir la façon dont elle voulait m’en empêcher, je compris que c’était important. J’ouvrais et découvrais de l’argent et plein d’autres matériaux de valeurs. Je compris aussitôt. Sa mère avait un cancer généralisé, donc c’était pour ça. Et pourtant, l’assimilation avec ma mère me vexait « Ma mère est une pute, je la laisserais crever. T’es pourtant au courant de ma situation familiale non ? » Mais je savais que la relation avec sa mère était tout à fait différente, alors d’un côté, je comprenais qu’elle soit prête à faire n’importe quoi. Alors, ce qu’elle fit me choqua. Elle me tendait une liasse de billet, je lui frappais – pas trop fort non plus – la main et les billets se trouvaient au sol « Je m’en fou de ton argent Bliss ! T’as si peu d’estime pour acheter mon silence ? Je dirais rien, t’avais juste à demander au lieu de me tendre des billets ». Elle s’excusait, je me détendais un peu, rangeant ma moto dans le garage. Je lui rendais son sac à dos tandis qu’elle bougonnait toute seule « Okay je comprends, tu ferais tout pour ta mère, je ne peux pas te reprocher ça » je hochais la tête. Et alors, à sa dernière phrase, j’échappais un rire, l’atmosphère se détendait. Je remarquais qu’elle tremblait « Hé, doucement, je n’ai pas envie de tu t’écroules là au milieu ». Je tenais ses bras et inconsciemment, une main caressait tendrement son épaule. Je parvins à souffler « Et de rien, tu te serais fait prendre si je n’étais pas là. Maintenant tu m’en dois une Montgomery ». Je tentais de contenir un sourire, mais c’était plus fort que moi.

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Lorsqu'on risque de se faire prendre pour n'importe quelle connerie, l'adrénaline monte. C'est tellement agréable. On se sent vivre ! On vit ce n'est pas qu'on se sent vivre. C'est ce que je ressens lorsque le stresse monte et que je suis dans la maison. Je chope ce que je peux dans le coffre, en priorité les liasses de billet. Je ressens encore cela lorsque je cours dans la rue. Et encore pire lorsque je grimpe à l'arrière d'une moto. Ok la moto n'est pas celle d'un inconnu mais du gars que j'ai aimé. Thobias maintenant a tout du mauvais mec. J'ai toujours été attirée par ce genre de garçon mais que voulez vous ce ne sont pas vraiment les plus fréquentables. Mais je crois que c'est ce qui me plait. J'ai toujours aimé le danger. Il fonce, j'ai envie d'hurler HURLER. Mais je me cramponne et je tiens bon. On arrive à les semer et on va dans un parking celui de son immeuble. Je descend de la moto et je suis plutôt contente, on est pas chopé, on est libre. Ouh ! Pourtant je me fais vraiment sermonner par Thobias. Je me sens un peu coupable tout de même parce que c'est vrai que j'aurais pu lui attirer des ennuies. Mais il est surement un des mieux placés pour comprendre ma situation. Je lui explique aussi mon point de vue, il me crache que sa mère est une pute. J'en prend toujours un coup lorsqu'il dit cela d'elle même si je sais que c'est vrai. Je déteste l'entendre dire et je suis désolée d'une telle relation mère/fils. Moi je ne comprendrais jamais les gens qui ont des soucis avec leurs parents parce que ma mère est parfaite. Je fais une espèce de moue innocente, genre pardon j'avais zappé sur le moment désolée. Elle dit tout ça, si si. J'ai la mauvaise idée de lui tendre de l'argent pour qu'il ne dise rien mais je me fais jeter, je m'excuse parce que je sais que c'est totalement irrespectueux. Je sais qu'il n'est pas comme ça, loin de là. Thobias semble se détendre. Je souris légèrement en le regardant hésitante. Pendant qu'il range sa moto je lui explique etc. Il semble compréhensif. Je souffle rassurée qu'il ne m'en veuille pas. J'en connais qui me ferait chier pour que j'arrête, il n'en ai pas question pour le moment. Je lui souris et je sors une phrase pour rire. Et cela marche ! Je ris un peu avec lui. Je tremble et je m'en rend compte presque en même temps que lui. Je sens alors son contact.. sur mes bras et mon épaule. Je le regarde faire.. Je ne m'écarte pas. Au contraire, j'aime bien ce contact. C'est presque comme s'il m'avait manqué. Je lui souris. " Je vais bien. Désolée de t'avoir embarqué dans ça. Tu vas finir par regretter que j't'ai largué. Je suis pleine de surprises tu as vu ? " Je lui souris. Il me dit que je lui en dois une. Je ris légèrement. " Ah non ! On est quitte, tu n'avais pas qu'à devenir un salaud.. " Je m'approche de lui. Je me mords la lèvre et je me hisse sur la pointe des pieds. " Je te paye un repas ? Le fast-food du coin ? " D'un coup je meurs d'envie de l'embrasser, mais je redescend à plat sur mes pieds en souriant malicieusement. " Allez bouge ou tu vas t'enraciner. " Je mets mon sac plein d'argent sur mon épaule, je ramasse la liasse par terre et j'en garde allez quoi 50 dollars assez pour payer le repas et je les mets dans la poche arrière de mon jean. Je referme mon sac et je me retourne en le regardant. " Allez ! J'ai la dalle ! Viens. " Je lui tend une main pour le faire réagir.

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Je n’en revenais pas que Bliss oublie les relations tendues entre ma mère et moi. Elle était pourtant au courant ! Lorsque je disais que ma mère était une pute, ce n’était pas un jeu de mot d’une nullité sans pareille. Ma mère était réellement une prostituée, elle l’est toujours d’ailleurs. C’est pour cette raison que j’étais beaucoup mieux à Los Angeles, loin de ma mère et de mon frère. Je pense que c’est à cause d’eux qu’on me pense cingler, en tout cas, mon psy ne l’a jamais dit, mais il le pensait. Ne pas rejeter la faute sur eux, tu parles ! Ils m’ont pourri mon enfance. Bliss a été la seule chose agréable qui me sois arrivé dans la vie et dans cette pulsion de connard, je me suis arrangé pour qu’elle quitte ma vie et en plus de ça, je ne l’ai même pas fais de moi-même. Ouai j’étais une pourriture, un connard, tout ce qu’on voulait, les filles adoraient utiliser ce petit nom sur moi. Et pourtant, même en connaissant ma réputation, elles accouraient quand même, ce n’est pas comme si elles n’étaient pas prévenues. Mais bon, les femmes sont masochistes et se plaindre de leur plan cul ou mec – ça dépend comment vous appelez ça – avec leur meilleure amie était leur activité favorite. Même avec Bliss que j’ai pourtant sincèrement aimé, je me suis comporté comme un connard, à croire que c’était dans les gênes de la famille Castelliano. Et pourtant, je continuais de la protéger d’une certaine façon, aussi surprenant soit-il. Je lui fis la morale à propos de ses activités illégales, elle était tout bonnement inconsciente ! Ce n’est pas parce qu’elle n’avait que dix-neuf ans qu’elle pouvait se permettre de faire des trucs comme ça, elle allait finir en taule c’est tout ce qu’elle allait réussir à faire. Pourtant, ses arguments étaient bons, je ne pouvais pas lui reprocher de vouloir sauver sa mère. Elle au moins avait de superbes rapports avec elle, je lui enviais d’avoir une telle mère. Elle me proposait de l’argent pour garder mon silence, je jetais la liasse de billet par terre, dégouté. Je n’allais rien dire, je n’étais pas comme ça. Elle tremblait, c’était sûrement dû à l’excitation et l’adrénaline de cette course poursuite et du vol. Je ne m’en rendais pas compte, mais je caressais son bras pour la calmer. L’atmosphère se détendait peu à peu et je trouvais même la force de rire, ce qui n’était pas très habituel chez moi. Je lui adressais un petit sourire « Je remarque ça, tu me donnerais presque envie de te séduire à nouveau ». Je lui adressais un regard qui se voulait charmeur, lorsqu’elle se hissa sur la pointe des pieds, j’aurais juré qu’elle allait m’embrasser. Je restais là, attendant qu’elle fasse quelque chose, mais elle n’en fit rien et je me retrouvais là, presque frustré qu’elle n’ait rien fait « Un fast food, c’est romantique dis-moi, mais okay j’accepte ». Elle me faisait rire, il fallait que j’arrête. Je la suivais en dehors du garage et l’emmenais dans le fast food du coin, celui-ci était vide, pas étonnant vu l’heure qu’il était « Qu'est ce qui te fais envie ? » demandais-je avant de m’avancer vers le serveur pour commander.

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J'aurais pu l'embrasser. Vraiment, j'aurais pu, mais je ne l'ai pas fait. Pas que je n'en ai pas envie, oh non c'est plutôt l'inverse, j'étais plutôt trop tentée. Quoi ? C'est quoi le problème ? Thobias est loin d'être un inconnu et j'ai toujours des sentiments pour lui. A croire que j'en aurais toujours pour lui c'est trop con. J'ai beau l'aimer et le détester. C'est comme ça, je dois gérer. J'aurais été seule après ce moment Jaycee aurait reçu un sms voir un appel. Non je ne l'ai pas embrassé. Je me suis retenue, j'ai envie de me laisser désirer. Après tout Thobias est le fautif dans la rupture de notre relation. C'est à lui de me reconquérir, il n'obtiendra rien de moi, mais moi je peux jouer, le jeu n'est pas interdit de toute manière. Et puis je connais Thobias il ne sera pas le dernier à jouer, il aime ça. Bref, je souris et je lui propose un fast food. Il se plaint du romantisme. Je souris malicieusement. " Ce n'est pas un ringard Castellliano " Je lui fais un clin d'oeil et j'avance et je le relance env oyant qu'il ne bouge pas. Dehors on se dirige vers le bout de la rue, où se trouve le restaurant. Enfin vous parlez d'un restaurant. En tout cas cela faisait longtemps que je n'avais pas mis les pieds ici. Je suis végétarienne, j'évite ce genre d'endroit parce que je sais très bien comment ils font les hamburgers. Je sens que je vais regretter mon choix, j'aurais dû dire le chinois mais c'était un peu trop tard. Thobias me demande ce que je prend. " Une salade de crudité et une glace avec de l'ice tea st'eu plait " Je lui souris et je sors mon argent en lui tendant pour qu'il paye. J'ai dit que j'invitais. Une fois nos deux commandes prises je saisis mon plateau et je nous trouve une table à l'écart du brouhaha. Je m'assoie en face de lui et je lui souris. Je commence ma salade et bois aussi et étonnamment j'avais drôlement soif. " Alors ce soir tu n'as personne dans ton lit ? " Je me suis renseignée sur lui, via Jay aussi elle sait tout sur tout le monde, elle est forte, elle s'était renseignée pour le gars sur lequel j'avais flashé. Mais non, rien de plus. Je lance un regard insistant à Thobias. J'aurais presque envie de lui faire du pied mais je m'abstiens. Je mange rapidement ma salade, j'avais oublié combien c'était dégueulasse ses salades dans ce genre d'endroit. Je sirote doucement en le fixant. Plus je le regarde, plus je me rend compte qu'il me manque, je déteste ce qu'il est devenu. " Tu sais que si ça se trouve à l'heure qu'il est, si tu n'avais pas fait le con, on serait toujours ensemble.. " Je hausse un sourcil laissant ma phrase en suspens. Je me mord volontairement ma lèvre parce que je sais que ça le déstabilise.

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Elle se hissait sur la pointe des pieds. Je ne disais rien, attendant de voir ce qu’elle allait faire. Bliss était une joueuse, un peu comme moi, mais je sentais qu’elle avait envie de m’embrasser – moi aussi, mais pas que. Alors j’attendais, mais elle n’en fit rien. Je me pinçais les lèvres, sentant cette vieille électricité reprendre de l’ampleur. Cette dernière avait pourtant disparu depuis longtemps, mais à ce moment précis, Bliss avait remis en marche quelque chose : le jeu. Je pense que c’était cela qui faisais crépiter l’atmosphère de cette électricité. Mes pulsions me hurlaient de ne pas la laisser sortir de ce garage et de la plaquer contre le mur pour lui faire toutes ces choses très peu catholique. Mais mon amour du jeu me disait qu’il fallait attendre, laisser la cagnotte monter et le désir aussi tant qu’on y est. Elle me proposait un fast food, je ne pouvais m’empêcher de relever ironiquement le romantisme de la chose et elle m’arrachait un nouveau rire. Comment faisait-elle ? Je l’ignorais. « Jamais, la niaiserie, très peu pour moi ». Je me pinçais les lèvres et nous sortions. Le fast food n’était qu’au bout de la rue et nous y étions en quelques foulées. Je lui demandais ce qui lui faisais envie, non sans connotation douteuse, mais elle ne sembla pas relever et me donnais son billet pour que j’aille commander pour elle. Je lui pris une salade, une glace et une boisson tandis que je pris un burger et des frites. Je m’emparais de mon plateau et nous trouvions une table dans un coin afin de s’installer. Je piochais dans mes frites tandis qu’elle me fit la remarque que je n’avais personne dans mon lit ce soir « J’ai failli, mais elle s’est mise à chanter, je me suis dit que ce n’était pas possible, j’avais peur qu’elle se mette à jouer les casseroles même en pleine action. Alors je lui ai dit qu’elle chantait mal, je me suis fait giflé, j’ai cassé mon coup » puis je levais les yeux vers elle en prenant une voix suave « Mais qui sait, je trouverais peut-être quelqu’un » je lui lançais un regard lourd de sens, adorant ce petit jeu de séduction. Je finissais mon burger et reprochais dans mes frites. J’allais rétorquer quelque chose de peu gentil à sa remarque, mais elle se mit à se mordre la lèvre « Bliss, arrête de te mordre la lèvre» elle ne semblait pas prendre ma remarque en compte « Tu le fais encore une fois et je te prends ici sur la table » la menaçais-je. Je la regardais de plus près, elle m’attirait toujours, c’était indéniable, il fallait la voir. Elle était loin d’être laide, bien au contraire, elle avait ce petit côté sexy surtout depuis que je savais qu’elle magouillait dans des trucs pas net, ça la rendait un peu plus attirante. Je me mordais la lèvre à mon tour, sans m’en rendre compte. « Et toi Montgomery, personne à mettre dans ton lit ce soir ? C’est dommage » je ne pus réprimer un sourire au coin des lèvres.

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Je me souviens lorsque j'ai pris conscience que Thobias était sur le campus avec moi. Oh que oui je m'en rappelle, mes genoux aussi d'ailleurs. Ils s'en sont durement remis. Il m'a fait tombé, enfin c'était indirecte mais c'était lui quand même. Puis les mots ont fusé, je l'ai maudit, maudit, et je le maudis toujours autant. Mais maintenant j'ai beau détesté ce qu'il est sans moi, je n'arrive pas à occulter nos moments ensemble. Nos passages sur la couche, je n'arrive pas à oublier sa façon d'embrasser, je n'arrive pas à oublier sa façon de me caresser.. Bref, je n'arrive pas. Et c'est atroce. De plus je sais très bien qu'il enchaîne et conquête et que moi je suis aux oubliettes. C'est plus fort que moi c'est stupide. Je le traîne au fast food du bout de sa rue. Je commande une salade et tout ce qui va avec donnant l'argent à Thobias pour qu'il paye. Une fois nos plateaux en main je nous trouve une petite table à l'écart bien plus agréable. Je lui demande alors pourquoi il n'y a pas de filles avec lui ce soir. Je sais qu'il devait passer sa soirée à ça avant de me trouver. C'est obligé, Thobias sans une fille un soir, n'est pas Thobias. Il m'explique la situation pendant que je finis ma salade. Je l'écoute en sourire aux lèvres, il est pas possible, je comprend qu'elle lui ait mise une baffe. Ce sont des choses qu'on ne dit pas si on veut passer à l'acte ou même si on cherche à séduire. Quel crétin. Je suis au fond contente qu'elle se soit débarrassée de lui, sinon il serait au pieu en train de tenter de lui donner des orgasmes et moi je serais au commissariat. Je pouffe lorsqu'il sort que peut-être il trouvera quelqu'un. Je me sens bizarrement viser. Je lève les yeux au ciel et je commence ma glace. Je grimace légèrement devant sa viande, je ne sais pas comment il fait pour manger ce genre de truc. Alors comme ça on joue un jeu de séduction ? Ok pas de soucis. Je me mords alors la lèvre pour le faire craquer et j'adore tout bonnement sa réponse. Je pince mes lèvres et je ne peux m'empêcher au final de sourire. " Tu me touches tu t'en fou un entre les jambes, et crois moi elle ramollira rapidement. " Façon de parler, façon de montrer qu'il peut encore me courir après. Je ris légèrement. Je regarde autour de nous, on est un peu près à l'abris des regard et vu l'heure tardive le fast food est même pas à moitié plein. Je retire ma chaussure, juste une et je tend ma jambe vers son entrejambe à lui. Je cale mon pied sur la chaise et je le caresse doucement pour ne pas lui faire mal. Je souris lorsqu'il me retourne ma question " Si moi j'ai quelqu'un dans mon lit ou sans le sien ce soir. " Je souris .. sous entendu bonjour... J'attend qu'il finissent pour retirer mon pied et je me relève. J'avance pour jeter les affaires de plateau et je reviens. " Soit inventif " . Sous entendu débrouille toi pour que me craque.

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Bliss me demande de lui prendre une salade. Je n’avais pas oublié qu’elle était végétarienne, mais sur le coup, je tiquais, car j’avais perdu l’habitude. Au moins, pendant que nous étions ensemble, nous respections tous les deux les habitudes alimentaires de l’autre. Je crois que je ne pourrais jamais me passer de viande, c’est tout bonnement impossible pour moi de me nourrir essentiellement de salades ou de choses du genre. Je me suis toujours demandé comment Bliss faisait pour ne pas mourir de faim. Après, c’était une fille, les filles ne mangeaient pas beaucoup, c’est bien connu. Nous nous installions à une table à l’abri de regards indiscrets et le jeu continuait. Je trouvais que c’était la partie la plus excitante de la séduction, il fallait tenter de nouvelles choses, ça passait ou ça cassait, tout était imprévisible et pourtant, nous savions tous les deux où cela allait nous mener. Les images ne notre dernière nuit passée remontait à des années et pourtant, je m’en rappelais encore. Je connaissais encore chaque partie de son corps comme ma poche, sachant quels endroits la faisaient frissonner, ce qu’elle aimait et comment elle voulait être touchée. Je voyais encore nos lèvres se frôler, nos corps de faire qu’un, ondulant ensemble. Oh que oui j’avais envie de remettre ça. Qui ne voudraient pas après tout ? Vous avez vu Bliss ? Encore plus bandante années après années. Si cela ne tenait qu’à moi et qu’il n’y aurait personne ici, elle serait déjà à moi. Mais je me retenais, laissant l’excitation et le désir prendre place. Elle s’amusait à se mordre la lèvre, c’était le genre de chose qui me faisait craquer, j’avais envie de mordre cette lèvre à présent. Ma menace la fit rire et pourtant, il y avait une part de vérité là-dedans et elle le savait. Je n’allais pas dans le romantique, j’étais plus dans le charnelle, il n’y avait rien de mal à s’adonner aux plaisirs du corps. Elle tente de me filer une douche froide par ses menaces, mais elle vient juste d’augmenter la valeur du prix, m’indiquant que je devais encore faire des efforts pour pouvoir la toucher « Tu sais ce qu’on dis des femmes qui disent qu’elles ne finiront pas dans un certain lit… » J’arquais un sourcil et me mordais la lèvre, trouvant cette tournure forte intéressante. Soudain, je sentais son pied venir caresser mon entrejambe, je me raidis par surprise et finit par me détendre, me mordant la lèvre, trouvant cela fort agréable. Nous échangions un sourire complice à sa réplique et je me levais à mon tour pour mettre mon plat à la poubelle. Alors, je la coinçais contre le comptoir. Elle me mettait au défi, je me fendais d’un sourire et caressais très doucement son cou du bout des doigts et lui murmurais à l’oreille tandis que mes doigts frôlaient ses bras, parcourant ces derniers, formant une certaine électricité « Hm, j’ai le souvenir que tu me sautais dessus dès l’instant que je jouais de la guitare, si on allait chez moi pour que je t’en joue un morceau… » je frôlais ses lèvres, puis glissait mes mains dans les poches arrière de son jean pour la coller contre moi, jouant encore à frôler ses lèvres pendant un moment jusqu’à craquer et l’embrasser avec ferveur

∞everleigh

Tobias& Arizona

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J'ai toujours aimé lorsque l'un de nous deux cherche à séduire l'autre. On le faisait déjà lorsqu'on était ensemble. Nous n'avons jamais eu de relation vraiment niaise ou on doit s'embrasser tout le temps, ou on se dit toujours des mots doux. C'était assez houleux parfois, mais c'était fort, extrêmement fort. Vous ne trouverez pas de relation plus forte que la notre. Enfin que feu notre relation, elle n'existe plus, il a tout brisé. Je suis curieuse de savoir si nous serions toujours ensemble à l'heure qu'il est. Si là tout de suite, si il n'avait pas voulu absolument que je le largue, nous serions ensemble. Peut-être que nous ne sommes pas dans le niais mais je rêve d'un mariage quand même alors je me demande si nous serions mariés. Je suis stupide de penser à ça, mais j'imagine tellement notre mariage. A Las Vegas juste lui et moi, pas de tenue, moi en short déchiré avec des boots et lui un peu près dans le même style. Pourquoi pas après tout ? C'est débile, mais si on avait dû le faire, c'est comme ça que j'aurais aimé que ça se produise. Pourtant il n'en est rien, puisqu'on est toujours plus ou moins en colère l'un envers l'autre. Mais je crois que c'est ce qui fait que j'ai envie de lui. De plus je n'ai pas eu de relation depuis un baye alors forcément. Et puis Thobias, c'est juste un canon, il fait retourner toutes les femmes du fast food. Ce qui j'avoue m'agace un peu qu'elles le matent de la sorte. Elles voient pas qu'il est avec moi ?

Alors je joue le tout pour le tout. Mon pied entre ses jambes. Quoi ? Je ne l'aurais pas fait à un inconnu mais je sais que Thobias aime ce genre de démonstration, ça le fait monter au créneau. Je lui fais vulgairement du pied mais un peu plus prononcé. Je tente de l'exciter, ce n'est pas vraiment un premier pas, puisque j'attends qu'il le fasse. Puis le voyant prendre un peu trop de plaisir à cette caresse public que retire mon pied et je remet ma chaussure pour aller vider mon plateau. En passant je lui demande d'être inventif. Pour me reconquérir ou juste me faire l'amour ? Qui sait les deux peut-être. Mais je crois que ce soir on parle de faire l'amour, juste du sexe. Entre ex il n'y a pas de mal ? Non ? Si ? Je ne veux pas me poser de questions, c'est toujours ce que je dis à Jaycee, ne te pose pas de question fonce, alors autant suivre mes propres conseils, elle s'en tire à merveille ma Jay. Il me suit de près et vide son plateau. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me plaque contre le comptoir, j'aime bien l'audace, pourtant il y a des gens autour de nous et cela me gène peut-être un peu. Pourquoi je le trouve excitant comme jamais. Le courant qu'il créait avec ses doigts me rend presque folle. C'est comme si mon corps entier lutter pour ne pas le violer sur place. Je frissonne au lieu de ça.. Je souris à sa trouvaille. Il est vrai que j'adorais lorsqu'il me jouer de la guitare.. Cela le rendait tellement sexy. Je me mords la lèvre, pas vraiment volontairement. Ses lèvres frôlent les miennes. Je tremble un peu, l'excitation devient dure à contenir. Il m'embrasse alors.. Je ne m'y attendais pas.. Mais j'aime, je lui rend le baiser avec autant de passion. Puis je me souviens qu'on est dans un fast food. Je le repousse et je me pince les lèvres. Je souris malicieusement. Puis j'avance vers la sortie en voyant qu'il me suit. On rentre rapidement chez lui. Mais une fois qu'il a ouvert la porte et qu'on est entré, je fond sur lui telle une panthère sur sa proie, pas le temps de jouer de la guitare. Je claque la porte avec mon pied et je saute dans ses bras enroulant mes jambes autour de lui. " Moi je me souviens que je faisais l'amour comme un dieu.. Je suis curieuse de savoir si tu as progressé ou pas.. " Je le mets au défis. Je lui retire son haut dans la foulée reprenant possession de ses lèvres.

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Je ne sais pas ce que c’était, l’adrénaline de la course poursuite, notre dernier entretiens houleux ou sa simple présence. Je crois que c’était un peu des trois qui faisaient que j’avais vraiment envie d’elle, maintenant, tout de suite. Si cela ne tenait qu’à moi, Bliss y serait déjà passée depuis longtemps. Oui, nous n’étions plus ensemble, mais ce n’est pas ce genre de chose qui m’arrête. Ce qui était encore plus excitant avec Bliss, c’est qu’on ne savait jamais. Elle était imprévisible et elle pouvait très bien partir d’une minute à l’autre. Elle me mettait sans cesse au défi. Mon dieu j’avais oublié ça alors que c’est ainsi qu’elle m’avait gardé pendant plusieurs années. Ne nous voilons pas la face, elle est la meilleure chose qui me soit arrivé, elle me rendait heureux et c’est pour cette raison que je suis parti, parce qu’elle était ma source de bonheur malgré notre relation houleuse. Nous n’avons jamais été le gentil couple romantique, certes, avec elle j’ai été capable de douceur, mais la majorité de nos ébats étaient après une dispute. La réconciliation sur l’oreiller, c’était ce qu’il y avait de mieux, parce que c’était fort et intense. Oh que oui, dans mes souvenirs, Bliss a toujours été un bon coup. Et elle savait ce qui me faisait vibrer, pour cette raison, elle plaça son pied contre mon entrejambe. Cela me faisait un effet intense, mais je ne le laissais pas apparaitre sur mon visage. Si seulement je pouvais lui arracher ses vêtements genre maintenant. Elle me mettait au défi. Sans crier gare, je la bloquais contre le comptoir, elle ne pouvait pas m’échapper comme ça et mes doigts effleuraient son cou tandis que je lui murmurais mes paroles à l’oreille d’une voix suave. Je la sentais frissonner, moi aussi j’étais capable de faire mon petit effet. Je sentais cette électricité faire crépiter l’air et j’adorais ça. Mes lèvres effleuraient les siennes plusieurs fois, je sentais son souffle contre les miennes, je voulais presque qu’elle me supplie de l’embrasser, mais je craquais le premier. Cela me fit l’effet d’une explosion tandis que nos lèvres dansaient ensemble, j’en oubliais que nous étions entourés dans un fast food. Elle est la première à se détacher, je lui rendais son petit sourire malicieux et nous prenions la direction de mon appartement. Je n’ai pas le temps de refermer la porte qu’elle est déjà sur moi et referme la porte d’un coup de pied. Je passais mes mains sous ses fesses pour la porter et la collais contre le mur pour entamer une danse avec nos lèvres, je la laissais me retirer mon haut. Mes lèvres approchaient de son oreille « Laisse-moi te montrer alors » je lui mordillais le lobe de l’oreille et passais mes mains sous son t-shirt, le lui retirant aussitôt. Je la portais jusqu’à ma chambre où je la jetais sur mon lit et revint sur elle, un éclat carnassier dans les yeux. Je passais mes lèvres sur sa poitrine, mordillant doucement cette dernière et remontait à ses lèvres, sans crier gare, je lui donnais un coup de bassin. Je mordillais sa lèvre inférieure, un grognement sourd s’échappant de ma gorge.

∞everleigh

Tobias& Arizona

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n rentre plus vite que prévu je pense à l'appartement. Je crois que nos pulsions se sont réveillées à tous les deux et que nous mourrons d'envie chacun. On ne se le cache pas, entre nous ce n'est pas le genre. On a toujours assouvi nos envies lorsqu'on était ensemble, pas les fantasmes certes mais en tout cas, nous aimons l'amour passionné, presque violent. J'adore ça moi je préfère ce genre d'ébat que les lents et moues du genoux ou tu as limite envie de t'endormir. Non Thobias je sais que c'est le genre à me caler contre un mur et me prendre là comme ça. Je crois que c'est ce que j'aime comme passion, c'st excitant et cela montre tout aussi bien l'amour que je lui porte, la passion est une façon de s'exprimer après tout. En tout cas, je me jette presque sur lui dès qu'on arrive à son appartement. Il me soulève comme un sac de plumes après que j'ai claqué la porte. Nos lèvres ne s'embrassent pas, là elle ses heurtent bourrées de passion et surtout d'envie. Nos langues dansent le plus dynamique des ballets. Je sens le mur me heurter dans le dos, j'en ai presque le souffle coupé. Je lui retire son haut le mettant presque au défis. Je veux voir la bête en lui comme avant, voir encore mieux. Il semble content de ce défis. Je finis sur son lit, mon débardeur en moins. Je lui souris légèrement, il arrive sur moi et nos lèvres comme des aimants se recollent. Je suis chaude comme la braise là ! Ses lèvres glissent sur ma petite poitrine. Je me mords la lèvre à cause du plaisir qu'il me donne déjà. Je soupire, je le laisse prendre possession de moi corps. Ses coups de bassin sont effectués, je soupire à nouveau. Rapidement je détache son jean et je remarque que c'est plutôt excitant ce que je découvre, il a envie et là, je peux le sentir. Je descend son jean pour lui retirer, je mordille à mon tour sa lèvre. C'est presque bestiale, je m'accroche à lui par le dos, je suis sûre que je l'ai griffé.. il portera mes marques. Je retire avec son aide mon jean. Je sens tout son désir d'un peu plus près maintenant. Je lui mordille l'épaule, je veux le rendre fou. Je veux ma nuit de folie. Je me mets sur lui à califourchon et je me penche pour récupérer ses lèvres. On est encore en sous vêtements mais je sens qu'ils ne vont pas rester longtemps. " J'avais oublié à quel point tu es bon dans ce domaine, t'arrête pas .. !"

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“I put a spell on you because you’re mine”. Les paroles de Nina Simone résonnaient dans ma tête tandis que nos lèvres se heurtaient. « And I don’t care if you don’t want me, because I’m yours right now ». C’était si bon de retrouver sa peau contre la mienne. Cela me rappelait toutes ces fois où nous cédions à nos pulsions, augmentant le volume de la musique afin de ne pas se faire entendre. Je crois que c’est pour cette raison que cette chanson passait dans ma tête, nous l’avions fait une fois sur celle-ci. J’avais tendance à être à la limite du violent, mais Bliss ne s’en est jamais plains, je crois qu’elle préférait cela. Je mordais le lobe de son oreille, l’aidant à me débarrasser de mon haut. Bientôt, le mur n’est pas aussi pratique que je le désirais, je la portais jusqu’à ma chambre, la laissant tomber sur mon lit. Bon dieu ce que j’avais envie d’elle. Je me glissais jusqu’à elle, prenant possession de ses lèvres et je descendais jusqu’à sa poitrine, la mordillait presque pendant que mes mains parcouraient son corps que j’ai vu nu tant de fois. Il est aussi beau qu’autrefois. Elle me mordille la lèvre, je pousse un grognement bestial. Mon corps était en feu tandis que ses ongles griffaient mon dos. Je perdais pieds, rejetant ma tête en arrière, je poussais un juron alors qu’elle me mordait l’épaule. Elle était partout et c’était bon. Je lui retirais son jean, l’envoyant valser dans la chambre. Elle entreprit de retirer le mien afin de découvrir mon désir se dresser devant elle. Elle se posait à califourchon sur moi, je me redressais, passant mes mains dans son dos pour retirer son soutien-gorge et passais mes lèvres dans son cou. J’attrapais ses fesses pour entamer des mouvements de bassin contre elle. J’échappais un nouveau grognement. Puis, ma main se glissait dans sa culotte « Hm, tu es déjà toute mouillée » et sans crier gare, je caressais son intimité et entrepris des va et viens avec mes doigts. Je mordillais son cou et repris possession de ses lèvres et arrêtais mon mouvement pour retirer sa culotte et lui donnais un énième coup de rein afin qu’elle sente mon désir pour elle « tu sens ? C’est pour toi » grognais-je, reprenant le dessus afin de lui assener un fiévreux baiser.

∞everleigh

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La situation dégénère. Il est clair que je ne devrais pas céder comme ça. J'ai vraiment envie de lui mais je sais que je vais regretter. Pourtant je ne réfléchis pas, comme je le dis souvent, il faut arrêter de se poser des questions. C'est bien mieux, après je culpabilise c'est comme ça. Je sens le mur dans mon haut. La chaleur monte, monte.. elle est déjà bien élevée. Bon sang j'ai envie de lui, c'est terrible, à croire que son corps m'avait manqué, il m'a trop manqué, et là, je m'en rend compte. Je ne sais pas pourquoi je réagis comme ça, je veux dire, Thobias j'avais réussi à l'oublier jusqu'à il y a quelques mois que je l'ai recroisé. Et maintenant je m'apprête à coucher avec lui. BORDEL ! J'arrête de me poser des questions, j'arrête de me dire que c'est Thobias, j'arrête, je m'abandonne à lui, je le veux, c'est tout ce qui compte. Alors je le laisse m'emmener dans sa chambre, il me pose sur son lit, arrivant sur moi, je sens son désir, nos vêtements volent, on a tous les deux autant envie l'un que l'autre. On aime le sexe violent et je crois que c'est ce qui fait que nos ébats soient sans gène comme ça. Je prend le dessus, lui retire mon soutient gorge, s'emparant de ma poitrine. Mutuellement on s'envoie des coups de bassin bien placé pour augmenter le désir et cela fonctionne. Tout mon corps réagit. Il glisse alors une main à l'intérieur de ma culotte. Je frissonne et je me mords fort la lèvre lorsqu'il glisse deux doigts en moi. Je me cambre et ma tête part en arrière. On s'embrasse, se mordille.. On frissonne, en gémit. Pourtant nous ne faisons pas encore qu'un. Il arrête ses caresse pour reprendre le dessus, je me laisse faire, j'aime l'action dans les ébats sexuels. Il colle alors son sexe sous son boxer contre le mien.. m'annonçant que c'est pour moi ce désir de fou. Je souris et je chope ses lèvres, ma langue caressant la sienne. " Fais moi l'amour " Je descend son caleçon, une fois retirer, une de mes mains fait gonfler son plaisir, mes lèvres frôlent les siennes. " c'est dingue combien tu m'avais manqué " Ok c'était pas à dire et je pris qu'il ne relève pas.

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