Stop looking at me ° Kit

Des math. Pourquoi? Je veux devenir entraîneur, à quoi bon les math, j'ai déjà les base, ça suffit largement non? Eh bien, non figurez vous. Avec ce prof qui se croit toujours supérieur à vous. Vous voyez de quel prof je parle? Eh bien pour ma part c'est ce foutu prof de math! Bon, je veux bien comprendre en tant qu'entraîneur je dois savoir gérer mon budget, mais de là à nous parlé de vecteur, de division, multiplication, de règle, de je ne sais quoi. C'est une heure de gâché! Enfin! Je pouvais enfin oublier tout ça, l'heure était terminé, le prof nous regardait tous partir, petit à petit, les uns courraient vers la sortie, pendant que d'autres, comme moi, prenait leurs temps. De tout façon j'allais faire quoi en sortant? Allez dans ma chambre? Ou jouer au foot au parc? Au pire je pourrais aller me faire un petit jogging. En plein milieu de la semaine il y a rarement quelque chose d'intéressant à faire. Ah! Oui juste, il fallait que j'étudie, je devais rattraper mes points, une raison de plus pour traîner dans les couloirs.

Je me suis débarrassé de ces quelques potes qui me cassait l'ambiance. Je voulais un peu faire le vide après les cours, après tout une journée d'étude, j'ai bien mérité un peu de repos je trouve, enfin si ce que je vais faire s'appel du repos, l'étude ce n'est pas trop mon truc, mais il le fallait, il fallait que j'étudie pour pouvoir atteindre mon rêve. Je soupirais donc et j'accélérais le pas. Pour arriver dans ma chambre sans me faire déranger, plus vite j'y serrais moins de chance j'aurais de tomber sur un abrutis qui voudrait me gratter l'amitié! Manque de bol, quelque instant plus tard quelqu'un m'interpella par mon surnom, il s'agissait donc quelqu'un de mon entourage. Un client, bon au moins il ne serra pas long. Je le voyais s'approcher de moi et d'une voix stressé me demande ce dont il avait besoin. Je regardais à gauche puis à droite personne dans les parage, je me suis abaissé et j'ai retiré une petite boulette de shit que j'ai caché dans ma chaussette. Après quoi celui ci partit. Je voulais donc reprendre mon chemin, mais en me retournant j'ai cogné quelqu'un. Mon coeur doubla de vitesse, et si c'était l'adjointe qui avait tout vu? Ou quelqu'un d'autre qui voudrait me dénoncer? "Désolé". Sa voix était plus dans le ton intimidé que stressé, elle n'avait rien vu. Un sourire s'était donc dessiné sur mon visage, cette jolie fille je ne la connaissait pas, enfin pas vraiment, de vu surtout, nous suivions certains cours ensemble, je ne saurais dire le quel. "Ca va? Je t'ai pas fait mal?" Elle était toute rouge, timide surement, j'adorais ça les filles timide, ça me faisait craquer! Laissons tomber l'étude, j'ai une jolie fille que je veux convaincre à coucher avec moi!

Voyant qu'elle n'était pas décidé à relevé la tête j'ai délicatement relevé son visage vers le haut en poussant avec mon index en dessous de son menton, je devenais très vite proche d'elle. Un peu trop vite peut-être? Mais les filles adorent le rentre-dedans habituellement, je tente le coup alors. "Je m'appel Aaron, mais mes amis m'appellent Kit". Si elle allait me remballer? Je n'en sais rien. Mais une fille timide est souvent une fille facile à amené au lit si on sait comment procéder.

Je n'ai jamais vu une fille aussi timide, ça me faisait sourire, elle était toute rouge, trop timide surement et moi je comptais coucher avec elle... Je suis vraiment un salaud et je le savais en plus! Au plus profond de moi je savais aussi que si je brisais les coeur des jeunes demoiselles c'est pour me venger de celle qui m'a brisé le mien. J'étais très faible mentalement peut-être ou alors je l'aimais plus que d'autres? Je n'en savais rien, mais je ne faisais pas partis de ceux qui prenait le risque de souffrir une fois de plus, non. Je préfère être seul le restant de mes jours... Je ne cache pas que j'ai toujours voulu d'un petit garçon. Un enfant que j'aimerais plus que tout, mais mon style de vie m'en empêche. Oui, j'ai choisis mon style de vie et personne ne m'empêchera de vivre ainsi. Si je vois que des sentiments commencent à apparaitre j'arrête de fréquenter cette personne, quitte à lui briser le coeur, je m'en fous. Au moins ainsi je ne souffre pas.

Elle me dit son prénom timidement, après quoi elle recula et faillit même de s'étaler par terre, par chance je l'ai attrapé au dernier moment, je me disais que ce n'était peut-être pas le bon moment pour la draguer, elle ne se sentait peut-être pas très bien après tout. Je cachais mon côté dragueur pour le moment et j'étais bien décidé à l'aider. Après tout, j'avais déjà assez de plan cul comme ça pour laisser une fille de côté pour le moment non? Rien qu'en regardant mon répertoire de numéro je pouvais facilement trouver une vingtaine de fille prête à coucher avec moi le soir même et bien d'autre qui serraient probablement d'accord si j'insistais un peu. Je fronçais légèrement les sourcil en voyat le comportement de la jeune fille. "Ca va?" Oui je posais la question, je ne comprenais pas pourquoi elle réagissait ainsi, elle ne pouvait pas être juste timide, ça allait bien plus loin que ça, j'étais un garçon? C'est ça qui l'intimidait?

Je restais calme, cette fille me plaisait bien d'un certain côté... Elle est innocente, un coup facile, c'est ce que je me disais d'un certain côté, un morceau de chaire fraîche que tout le monde voudrais goûter... Cependant, si je voulais arriver à quoi que ce soit il faudrait que j'y aille avec douceur. Je me ferrais un plaisir de coucher avec elle un peu plus d'une fois... Mais... Je repensais un peu à moi. Oui elle me faisait penser à moi par le passé, oui je me suis fait bien baiser par le passé. Oui au sens propre du terme en plus... Cette catin de fille qui sortais avec moi à l'époque m'a fait croire à l'amour et m'a laissé ainsi... Son regard tellement innocent, je pourrais moi aussi lui faire croire à l'amour et puis la jeter comme une vulgaire chaussette sans paire. Je me perdais dans mes pensée, mais ça ne dura pas, lorsqu'elle m'annonça qu'elle est un peu maladroite.

Je l'ai relâché, maintenant qu'elle ne risquais plus de tomber sur le sol, je la fixais toujours et notre regard se croisa enfin. Elle rougissait encore, ce qui m'a fait sourire de toute mes dent. C'était une fille très simple, apparemment le maquillage ce n'était pas trop son truc, elle était plutôt, hippie? Je n'en sais rien. Mais je n'allais surtout pas la juger à son apparence. Je ne tomberais pas dans le panneau deux fois! Mais passons, j'ai faillit oublié pourquoi je discutais avec elle. "Sinon... T'es plutôt occupé en ce moment?" Bon, j'ai déjà connus des meilleurs approche, mais pour elle ça suffira largement je pense "Je suppose que ça ne t'intéresse pas de faire plus ample connaisance avec moi?" Je souriais. J'étais comme un animale, j'avais repéré ma proie et j'essayais d'attirer ma proie dans ma tanière. Plutôt glauque comme image, non? Mais le terme "faire l'amour" n'était en aucun cas approprié dans ce contexte là... Pas du tout.

Je la regardait, un sourire au lèvre. Elle ne savait pas quoi dire, mais elle accepta. Sans faire exprès? Voulait elle peut-être dire non, mais la panique la fit dire une réponse positive? Je n'en savais rien, mais elle avait dit oui et n'avait surement pas assez de courage pour se corriger. Je l'invitais donc à me suivre, j'allais en effet l'emmené boire un verre, mais dans ma chambre. Cela nous offrirais peut-être plus de possibilité. Peut-être bien entendu, je n'ai jamais obligé une fille à coucher avec moi. Mais comme je l'ai déjà dit, il me semblait que ce soit un coup facile.

Je m'imaginait déjà le moment où nous serrions seul dans ma chambre. Est-ce qu'elle tombera dans mes bras? Comment réagira-t-elle lorsqu'elle découvrira que ce n'était qu'une fille parmi tant d'autre à mes yeux? Je ne pouvais nier le fait qu'elle avait beaucoup de charme. Mais c'est un fait: Je ne veux aucune relation sérieuse, ni aujourd'hui ni jamais! Nous nous approchions enfin de ma chambre. J'ouvris la porte et je la faisais entrer en première. Une chambre banale d'un étudiant comme un autre. On pouvait apercevoir deux lit d'une place. Mon colocataire n'était pas là. Une télé, une playstation 3, deux ou trois jeux à côté de cette dernière, un ordinateur portable posé sur mon lit. On pouvait aussi voir un carte de beuh posé sur le bureau, ne sachant pas trop quoi faire en voyant ça sur le bureau j'ai sortis un "C'est... A mon colocataire" Mais après quelques instant d'hésitation, je lui ai avoué la vérité. "En fait... C'est à moi... Mais j'ai tellement honte de fumer que... Je n'ose pas trop l'avouer devant une si jolie fille." Je l'invitais à s’asseoir sur mon lit. Je suis allé fouillé dans mon armoire et je n'ai pas trouvé de café, malheureusement. Je me suis tourné vers elle "Je n'ai plus de café, tu veut autre chose peut-être?"

Nous étions enfin dans ma chambre, un endroit un peu plus intime que le couloir de l'école. Mes remarque la faisait toujours rougir, elle semblait ne pas trop avoir de contacte avec la gente masculine. Hm... Maintenant que j'y pense c'est rare que je la vois avec des garçon, bon je n'ai jamais fait particulièrement attention à elle c'est vrais aussi. Bref, je n'en ai qu'à faire de ces histoire là. Elle semblait prendre de la confiance petit à petit mais il y avait encore du boulot! Ce n'est pas le fait d'entendre sa petite voix construire, enfin, une phrase complète en ma présence qui me fit sourire sur ce coup là ni le fait qu'elle avait un sourire gêné, c'est le fait qu'elle m'ai enfin regardé dans les yeux sans cherché à détourner le regard. Elle me dit donc qu'elle boirais la même chose chez moi. Je me dirigeais vers le petit frigo de la chambre et j'ai regardé ce qu'il t avait.
Pas trop gâté, il ne restait plus qu'un demi-bouteille de coca.
J'ai saisi cette bouteille et je nous ai versé un verre chacun, ce n'était pas aussi élégant qu'un café, mais c'était mieux que rien. Je me suis posé sur le lit, gardant une distance pour ne pas devenir trop vite trop "collant".

Je buvais une gorgée de mon verre et je le déposais sur la table de nuit. Je la regardait dans les yeux, ou du moins j'essayais de le faire. Il y eu un moment de silence qu'elle brisa, assez étonnant d'ailleurs, je pensais que je serrais obligé de le faire moi. Je souriais à sa réplique. Mais je n'y répondais pas tout de suite. J'hésitais à faire passer à passer à l'action, à faire quelque chose quoi. "Sinon... Tu es en couple?" Bah quoi? Imaginez que c'est un grand black de trente-cinq ans champion de boxe? "Enfin, excuse moi, je ne devrais pas poser cette question... " j'ai fait semblant de me rattraper.