discord
FRATERNITIES, NOW
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

FRATERNITIES, NOWConnexion
Historique  
  • AccueilAccueil  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le deal à ne pas rater :
    Cartes Pokémon EV6.5 : où trouver le Bundle Lot 6 Boosters Fable ...
    Voir le deal

    Nous sommes sur scène, le moment est venu de tout donner à ce public venu en nombre pour écouter mon live. Je suis heureux, je me sens tellement chanceux d’être ici, d’avoir l’occasion de défendre mon album avant même sa sortie le 11 août, je suis impatient et inquiet à la fois, j’ai hâte de pouvoir découvrir la réaction de tous ces gens qui ont fait le déplacement, c’est eux qui me permettront de me faire une idée de ce que mon album risque d’inspirer. Ce soir je suis en forme vocalement, j’ai rarement autant eu la pêche, je me suis économisé au maximum depuis deux ou trois jours pour ne pas avoir la voix fatiguée et je peux vous assurer que je me sens plus que jamais prêt à faire le show. Les artistes féminines à voix sont nombreuses si bien qu’on ne les distingue plus vraiment pour leur puissance vocale mais du côté des garçons c’est autre chose. J’ai la chance de figurer dans le groupe des hommes qui peuvent tenir des notes aussi hautes qu’une Whitney Houston, une Céline Dion ou même Mariah Carey tiens. Bon, je ne suis pas aussi doué que cette dernière lorsqu’il s’agit de tenir des notes très aigües mais je m’en sors plutôt bien, n’oublions pas que je ne suis qu’au début de ma carrière, je ne contrôle pas encore à cent pourcent ma voix comme ça peut être le cas pour elle. J’ai minutieusement préparé ma tracklist de sorte à ne pas tout donner dès le départ, je commence par mon single, le seul titre qui a, pour le moment, été dévoilé, un titre influencé par l’eurodance, il y a des moments très électroniques, très techno mais aussi de belles envolées vocales. Un juste milieu qui permet au morceau d’être produit et harmonisé, de ne pas trop en faire. « Merci à tous d'être présent ce soir ! Un maximum d'applaudissement pour Lewis Graham s'il vous plait ! » Je souris, adressant un dernier petit regard à Maddy avant de m’avancer légèrement, les premiers accords résonnent et je questionne le public, le sourire en coin. « Vous êtes prêt pour un peu de musique ? »
    Le jeune homme à côté de lui devait avoir environs vingt ans de moins que lui. Il lui répondit qu'il ne connaissait pas les artistes de ce soir. Il n'était pas rare de voir de la nouveauté sur les scènes du Coachella et c'était finalement ça qui était appréciable dans le festival : découvrir de nouvelles choses qu'on aurait potentiellement jamais découvert autrement. Il hocha la tête et quelques secondes après, les lumières s’éteignirent. Le jeune homme sembla soulager et alors qu'il reprit une gorgée de sa boisson, Joseph fit de même, observant aussi la faune ambiante. Beaucoup de jeunes, finalement. Il n'était pas le seul à avoir plus de trente ans mais tout de même, il se sentait légèrement esseulé au milieu de toute cette jeunesse possédée... Il déclara « Passe un bon concert ! » Et s'avança finalement vers la scène. Il contourna un peu les gros groupes de personnes qui s'agitaient et tenta de se trouver un petit coin tranquille pour voir la scène et boire sa bière. Bientôt les artistes se présentèrent et remercièrent la foule d'être là. Apparemment, ce soir ce ne serait que des chansons exclusives étant donné que le jeune homme sortait à peine son nouvel album. Jo avait repérer de loin certains de ses collègues à la recherche de musiciens qui n'avaient potentiellement pas encore trouvé de sociétés de production, en marge du festival il y avait toujours quelques personnes qui essayaient de mettre l'ambiance de leur côté. Sans l'avoir vraiment remarqué, Joseph s'était rapproché plus ou moins de l'entrée du public. Une gamine vérifiait les passes symbolisés par des bracelets. Ce métier n'avait pas particulièrement l'air d'être passionnant mais au moins il semblait offrir le bénéfice d'assister à des concerts à l’œil. Il finit par adresser la parole à la jeune fille (Mady). « C'est le moyen que tu as trouvé pour voir des concerts gratos ? » avec un petit sourire en coin. Elle devait potentiellement être une étudiante et entre les emprunts, les dettes et les cours, elle n'avait potentiellement pas assez d'argent pour se payer tous les billets du festival...

    Re: HUITIEME INTRIGUE ♫ LE COACHELLA ouverture du festival : troisième scène, lewis et maddy.

    Mar 5 Aoû 2014 - 10:59
    more_horiz
    Kai Norton
    Kai Norton
    person
    PROFIL
    Messages : 5323
    Date d'inscription : 16/04/2014
    Identité HRP : Anaïs alias Nana
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Adam Senn
    Nationalité/origines : Américain, des origines françaises
    Orientation & situation : Hétéro
    Métier/occupation : Coach sportif et agent professionnel
    Études & fraternité/sororité : Sport-études basket ball + Management / Delta Theta
    Résidence : Villa à Santa Monica


    L’inconnu souhaita un bon concert à Kai qui lui répondit un vague. « Merci, de même. » tout en le regardant partir s’éloigner dans la foule. Au moins, il n’aura pas besoin de se coltiner un vieux de l’âge de son père tout le long du concert et bizarrement, cela rendait heureux Kai. Enfin, un petit peu. Il n’avait aucune expérience de fête avec les quarantenaires. Alors lui demander de faire la causette avec l’un d’eux, totalement inconnus durant le Coachella de plus, c’est un peu trop lui demander. Voir beaucoup trop même. Merci d’être partit. Cela peut paraître égoïste, mais ce n’était pas le cas. C’est juste qu’il ne sache pas comment se comporter, voilà tout. Les deux chanteurs, stars de la soirée venaient de prendre place sur la scène et Kai les regarda. Attendant que ça commence. Oui il était prêt pour la musique comme le demande si bien monsieur le chanteur. Ce fameux Lewis. Terminant sa boisson, il jeta un rapide coup d’œil à la foule qui se trouvait non loin de lui. Tentant d’apercevoir un visage qu’il connaîtrait. Mais ce fut peine perdue. Il resta plusieurs minutes à observer chaque personne présente ici, mais aucune ne lui semblait assez connue pour lui qui lui permettrait de taper la causette. La vérité, c’est qu’il s’ennuyait ici. Tout seul. Il n’y avait même pas sa sœur pour l’embêter. Autrement dit, il se faisait chier. Pas que la musique était mauvaise ou pas à son goût, mais il n’avait personne avec qui rire, délirer, s’amuser, profiter du concert comme il se doit. Jetant la canette dans la première poubelle venue, il décida de s’en aller. Retourner à l’hôtel. Retrouver Théa. Passer une soirée qui lui plaisait. Bien plus intéressante que celle-ci. En tout cas pour lui. Oui, pour lui, ce concert n’était pas ce qu’il en attendait. Il préféra partir. Se fondant dans la foule, poussant quelques jeunes par ci par là qui commençaient déjà à être bien bourrés, il se fraya un chemin jusqu’à la sortie. Qui pour le moment n’était qu’une entrée. De nombreuses personnes passaient en montrant leur bracelet. Heureusement pour Kai, il avait réussi à se décoter un pass VIP, il pouvait se permettre tout ce qu’il voulait. Ou presque. Indiquant à un agent de la sécurité d’un signe de tête qu’il voulait partir, il escalada une rembarre en deux, trois mouvements et s’en alla loin de tout ce brouhaha. Direction l’hôtel ! Cela serait sûrement mieux pour lui. Au pire des cas, il pourra se reposer.

    Statut / Tâches :


    Petite explication :


    FIN POUR KAI
    extensionauto_awesomeac_unitvolunteer_activism


    FRAT LOVE :


    Quand Kai essaie de convaincre qu'il est un bon père ...
    HUITIEME INTRIGUE ♫  LE COACHELLA ouverture du festival : troisième scène, lewis et maddy. - Page 2 9a634c697c7f1e6d6988309b179a8dda

    ... Mais que la réalité est tout autre :
    Au vu de la masse compacte, il était difficile de se faire une place et pourtant j'y étais parvenu, à l'écart dans l'espoir d'avoir un air un peu plus respirable, je n'avais nullement envie de faire souffrir la vie qui grandissait en moi à cause de possibles fumées toxiques dû à la cigarette ou pire. De nos jours on se permet tout et n'importe quoi. Et alors que les protagonistes du concert venaient à se présenter et à remercier la foule présente, l'euphorie se fit encore plus ressentir. Malgré toutes les précautions que j'avais prises pour ne pas souffrir de l'ambiance bruyante, chaude et survoltée, mes jambes commençaient à me porter difficilement, certainement la fatigue à cause du travail intensif de ces derniers jours. J'essayais de tenir bon par tous les moyens, essayant de concentrer mes pensées sur ma respiration, malgré le bruit environnant qui se transformait peu à peu en un bourdonnement. Petit à petit, l'infirmière en moi savait que quelque chose clochait vu les symptômes qui ne faisait que s'accroître. Passant ma main sur mon front, les sueurs froides étaient bel et bien présentes. Malgré toutes mes tentatives pour retrouver mes esprits, rien n'y faisait, et un sentiment d'oppression se faisait même ressentir. Si seulement, j'avais su rester sur ma première idée que c'était une très mauvaise idée que de me rendre à ce concert, dans une chaleur moite et étouffante qui ne cessait de m'envelopper de secondes en secondes. Totalement déphasée, le monde se brouillait autour de moi si bien qu'il me devenait impossible de demander de l'aide à qui que ce soit. Rien plus rien ne répondait, blackout total et malgré la force de l'impact quand mon corps se fracassa contre la poussière, je ne ressentis aucune douleur.
    Il y a du monde ce soir et une sacrée ambiance. Je demande au public s’il est prêt pour un peu de musique, je n’ai pas la prétention de me mettre trop en avant parce que j’ai horreur de cela mais je n’ai hélas pas trop le choix puisque c’est moi qui, pour le moment, me trouve sur scène. Je tente de chauffer un peu le public avant de me lancer et je sais très bien pourquoi, parce que je vais commencer par le titre chargé de lancer mon album dans les charts, le titre qui donnera un avis aux spectateurs et j’ai opté pour une chanson empruntant des influences à l’eurodance, du bon son qui donne envie de danser mais qui offre également la part belle à la voix, j’ai notamment quelques grandes notes qui, à la base, n’étaient qu’un moyen comme un autre de m’échauffer la voix en studio. Et oui, certaines des notes les plus impressionnantes du répertoire musical ne viennent pas forcément d’un entrainement mais d’une improvisation entre deux enregistrements sérieux. Je regarde brièvement ma camarade guitariste et je fais signe aux musiciens, notamment au DJ qui m’accompagne ce soir pour les morceaux les plus électroniques. « Je veux voir toutes les mains en l’air ! » Et sans plus attendre je me lance dans un couplet assez calme, le tempo monte au fur et à mesure pour exploser pendant les refrains, je tiens d’ailleurs toutes mes notes sans problèmes, j’ai l’habitude de prendre des risques vocalement et jusqu’à maintenant ça a toujours payé. Les danseurs sont au taquet, pendant les morceaux de la chanson sans paroles chantées je les rejoins pour danser, effectuant la chorégraphie imaginée par Julian. Il fait chaud mais je n’y prête pas attention, les cris du public m’encouragent à tout donner.
    Des cris, au loin. Initialement faibles, s’intensifiant cependant avec les instants. Il s’agissait de cris d’euphorie. Il s’agissait de cris de joie. « C’est lui, c’est Lewis, mon dieu, mes ovaires vont exploser ! » lui rentrait par une oreille, rejoignant rapidement le « Oh mon dieu, c’est le plus beau jour de ma vie, je crois que je vais m’évanouir ! » ayant emprunté le chemin de l’autre. Ces bribes de conversations, d’exclamations et d’indignations se retrouvèrent toutes dans les plus sombres recoins de son cerveau tandis que lui tentait d’en faire abstraction, ignorant l’avalanche d’apostrophes effectuées par les personnes l’entourant. C’était dans ce genre de moments là que Paul se souvenait avec ferveur des raisons qui le poussaient à ne pas apprécier les grandes foules ; malheureusement pour lui, il était à présent trop tard, bien trop tard, pour oser rebrousser chemin. Tentant tant bien que mal de se concentrer sur le concert s’offrant à ses yeux, malgré lui, il écoutait distraitement la voix grondante du chanteur résonner dans ses oreilles, se disant que ce genre de musique ne correspondait absolument pas au type de mélodies que lui, en tant qu’homme, appréciait écouter. N’y avait-il donc pas de scènes de bon vieux Rock ‘n’ Roll ou de langoureuse Salsa ? Où se cachait désormais cette musique ayant peuplé son enfance qu’il avait tant affectionnée en grandissant et qu’il peinait à présent à retrouver dans le monde se métamorphosant ? Il n’en savait rien.

    C’est alors que de nouveaux cris interrompirent le flot de ses pensées. Plus proches, cette fois-ci. Intenses depuis le départ. À l’opposé des cris d’euphorie entendus précédemment, cependant, il semblait cette fois-ci que ces cris transportaient avec eux des sentiments d’inquiétude, d’effroi et d’incompréhension. Rapidement suivis par des murmures, murmures cherchant difficilement à s’élever au-delà du brouhaha ambiant, ces cris semblaient provenir de la gauche et c’était à la fois par curiosité et par espoir de pouvoir se retrouver face à une situation qu’il saurait mieux gérer que le gynécologue se dirigea, malgré lui, vers le lieu d’où semblait provenir toute cette commotion. « Un docteur, un docteur ! Que quelqu’un appelle un docteur ! » « Au secours, au secours, elle est morte, au secours ! » « Mais non, ne voyez-vous pas que sa poitrine monte et descend ? Elle n’est pas morte, elle respire ! » « Mademoiselle ? Réveillez-vous … Mademoiselle ? » « Un docteur, un docteur ! Personne ne sait où on pourrait trouver un docteur ? »

    Malheureusement pour ces jeunes gens, la mélodie assourdissante noyait leurs cris dans sa lancée, empêchant à la majorité des spectateurs du concert de prendre conscience de la scène se déroulant alors à quelques mètres de la scène. Heureusement pour eux, cependant, Paul avait entendu leurs implorations et c’est presque avec soulagement qu’il se dirigea donc vers le noyau du cercle (où se trouvait très certainement la victime) avant de déclarer avec son calme naturel et sa voix imposante : « Je suis médecin, que se passe-t-il ? » En réalité, cela faisait bien des années qu’il avait renoncé à la médecine générale afin de se spécialiser en gynécologie … Il n’empêchait cependant qu’il avait malgré tout les compétences nécessaires pour gérer un malaise. La seule question demeurant actuellement était la suivante : aurait-il également les compétences nécessaires pour gérer le retour de sa femme ? Car ce n’est qu’après avoir prononcé ces quelques paroles que, tétanisé, Paul se retrouva face au visage inanimé de celle qu’il avait, quelques mois auparavant, et ce, jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    Jamais ne s’était-il attendu à ce que leurs chemins ne se recroisent un jour, et certainement pas aussi tôt.

    Re: HUITIEME INTRIGUE ♫ LE COACHELLA ouverture du festival : troisième scène, lewis et maddy.

    Mer 3 Sep 2014 - 12:46
    more_horiz
    Californian Karma
    Californian Karma
    sports_esports
    PROFIL
    Messages : 1792
    Date d'inscription : 02/07/2012
    Identité HRP : Dieu.
    Disponibilité RP : Indisponible
    Avatar (+ crédits) : Personne © FRATNOW.
    Nationalité/origines : Aucune et tout à la fois.
    Orientation & situation : #FRAT7YL.
    Résidence : Derrière chez toi.
    Autres comptes : Aucun autre compte
    SUJET ARCHIVÉ love
    privacy_tip Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
    power_settings_newSe connecter pour répondre